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Le deuxième salon Djurdjura des arts plastiques organisé depuis le 17 juin, à la Maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, a été clôturé par une grande cérémonie organisée dans l’une des salles de cette structure en présence de Ould Ali El Hadi, directeur de la culture de Tizi Ouzou et d’une centaine d’artistes venus des quatre coins de l’Algérie.
Durant ces journées dédiées à l’art plastique, en plus de l’exposition, plusieurs autres manifestations culturelles ont eu lieu.
Il y a eu la réalisation de fresques par l’école régionale des Beaux-Arts d’Azazga, une conférence sous le thème : La peinture contemporaine algérienne, animée par Abderrahmane Aïdoud. Histoire de la miniature, animée par Abdelkader Gouaiche, La sémiologie animée par Mohamed Boukerche et enfin Regard sur le désert : les peintures rupestres du Tassili N’Ajjer, animée par Mahfoud Mekhzoumi. Durant ces journées, il y a eu également des démonstrations de la cuisson traditionnelle de la poterie, la réalisation de sculpture par les ateliers de la Maison de la culture de Tizi. Des démonstrations en 3D, des animations et des circuits touristiques. A cette manifestation de dimension nationale, il y a eu la participation de 40 wilayas du pays avec une centaine d’artistes.
Elle a été dédiée à l’artiste Mohamed El Kechaï, né en 1916 à Tizi Ouzou et décédé le 25 avril 1998. La cérémonie de clôture a eu lieu en présence des membres de la famille du défunt artiste. Des cadeaux ont été attribués aux participants. “C’est l’art qui perpétue et nourrit la civilisation”, a déclaré un artiste venu d’Illizi. “Je suis surpris par les compétences que j’ai trouvé dans cette région, notamment à l’école des Beaux-Arts d’Azazga. Je dirais que ce sont les Kabyles qui ont lutté pour la sauvegarde et le développement de l’art et de la langue arabes”, a déclaré l’artiste Boukercha, habillé d’une tenue traditionnelle. Ould Ali El Hadi a clôturé son intervention par des remerciements aux participants : “Nous remercions tous les participants des écoles régionales et de l’école supérieure des Beaux-Arts. Nous avons besoin d’entraide, de solidarité et de paix et je pense que l’avenir est encourageant”, a déclaré le directeur de la culture de Tizi Ouzou.
La clôture a été, à titre d’honneur dédiée au fils du défunt Mohamed El Kechaï. “Je n’oublierai jamais ce festival, cette fête. Merci à tous”, a-t-il conclu.
Par La Dépêche de Kabylie
Durant ces journées dédiées à l’art plastique, en plus de l’exposition, plusieurs autres manifestations culturelles ont eu lieu.
Il y a eu la réalisation de fresques par l’école régionale des Beaux-Arts d’Azazga, une conférence sous le thème : La peinture contemporaine algérienne, animée par Abderrahmane Aïdoud. Histoire de la miniature, animée par Abdelkader Gouaiche, La sémiologie animée par Mohamed Boukerche et enfin Regard sur le désert : les peintures rupestres du Tassili N’Ajjer, animée par Mahfoud Mekhzoumi. Durant ces journées, il y a eu également des démonstrations de la cuisson traditionnelle de la poterie, la réalisation de sculpture par les ateliers de la Maison de la culture de Tizi. Des démonstrations en 3D, des animations et des circuits touristiques. A cette manifestation de dimension nationale, il y a eu la participation de 40 wilayas du pays avec une centaine d’artistes.
Elle a été dédiée à l’artiste Mohamed El Kechaï, né en 1916 à Tizi Ouzou et décédé le 25 avril 1998. La cérémonie de clôture a eu lieu en présence des membres de la famille du défunt artiste. Des cadeaux ont été attribués aux participants. “C’est l’art qui perpétue et nourrit la civilisation”, a déclaré un artiste venu d’Illizi. “Je suis surpris par les compétences que j’ai trouvé dans cette région, notamment à l’école des Beaux-Arts d’Azazga. Je dirais que ce sont les Kabyles qui ont lutté pour la sauvegarde et le développement de l’art et de la langue arabes”, a déclaré l’artiste Boukercha, habillé d’une tenue traditionnelle. Ould Ali El Hadi a clôturé son intervention par des remerciements aux participants : “Nous remercions tous les participants des écoles régionales et de l’école supérieure des Beaux-Arts. Nous avons besoin d’entraide, de solidarité et de paix et je pense que l’avenir est encourageant”, a déclaré le directeur de la culture de Tizi Ouzou.
La clôture a été, à titre d’honneur dédiée au fils du défunt Mohamed El Kechaï. “Je n’oublierai jamais ce festival, cette fête. Merci à tous”, a-t-il conclu.
Par La Dépêche de Kabylie