Les Tunisiens ont remué ciel et terre pour que ce projet soit concrétiser et ils ont eu raison.
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Des gratte-ciel de plus de soixante étages… des méga-centres commerciaux… des résidences au luxe féerique… des espaces sportifs et culturels… des cafés et restaurants à faire pâlir les grandes métropoles européennes… une belle marina et un port de plaisance…
Ce n’est pas vous qui irez à Dubaï, mais c’est Dubaï qui viendra aux portes de Tunis. Focus sur le projet du siècle sur les berges du Lac-Sud de Tunis.
Si les berges du Lac-Nord ont beaucoup changé la face de Tunis, ceux du Lac-Sud la métamorphoseront radicalement en la plongeant dans quelques années dans un futurisme éblouissant. Ce rêve deviendra réalité dans dix ou quinze ans grâce aux conventions signées avec différents investisseurs émiratis qui se proposent de réaliser de méga-projets, pratiquement des villes nouvelles intégrées avec des programmes d’aménagement et de constructions immobilières à caractère résidentiel, touristique et commercial qui vont transformer totalement le paysage urbain qui va prendre des allures futuristes et impulser un processus de développement ouvert sur l’extérieur tendant à concrétiser la vision et l’ambition du Président de la République de faire de Tunis un centre régional d’affaires et de services.
Les impacts positifs seront multiples à différents niveaux : local et régional, national et international, d’ordre technologique, économique financier et humain.
De vastes terrains marécageux et pollués : est-ce un cadeau ?
Les pouvoirs publics tunisiens, selon la convention signée avec Sama Dubaï, ont cédé 836 hectares de terrains pour un dinar symbolique. De quoi s’agit-il en fait ?
Pour un esprit mal intentionné, cela pourrait ressembler à un bradage. En fait il n’en est rien. Même si le site est stratégique, aux portes de Tunis, avec une façade maritime, ce qui est exceptionnel pour une capitale politique et économique en pleine croissance, les terrains cédés sont en réalité marécageux, vaseux, pollués, incultes et désaffectés depuis toujours.
Certes le Lac Sud , qui dégageait des odeurs nauséabondes en été et qui a été longtemps le réceptacle des rejets polluants et toxiques des 200 entreprises industrielles de la banlieue Sud, a bien été assaini avec dragage du fond du Lac, des berges rectifiées et aménagées afin d’assurer la circulation de l’eau et un remblaiement portant sur 700 ha pour un investissement de 100MDT.
Mais en fait il est peu profond (2 mètres) donc peu navigable et peu propice en l’état actuel à la navigation et à une mise en valeur facile et peu coûteuse.
Il ne s’agit ni d’un cadeau ni d’une cession gratuite car elle implique de multiples obligations, contraintes engagements et responsabilités. Car pour édifier des tours de 20 ou 60 étages sur une lagune, il faudra creuser profondément le sol pour des fondations de 80 à 110 m et injecter des piliers de béton sous pression pour sécuriser les fondations. Tout est donc à faire à partir d’une nature ingrate : infrastructures et bâtiments, une technologie de pointe, coûteuse et complexe, parfois risquée.
La suite...
http://www.realites.com.tn/index1.ph...7516&a=detail1
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Des gratte-ciel de plus de soixante étages… des méga-centres commerciaux… des résidences au luxe féerique… des espaces sportifs et culturels… des cafés et restaurants à faire pâlir les grandes métropoles européennes… une belle marina et un port de plaisance…
Ce n’est pas vous qui irez à Dubaï, mais c’est Dubaï qui viendra aux portes de Tunis. Focus sur le projet du siècle sur les berges du Lac-Sud de Tunis.
Si les berges du Lac-Nord ont beaucoup changé la face de Tunis, ceux du Lac-Sud la métamorphoseront radicalement en la plongeant dans quelques années dans un futurisme éblouissant. Ce rêve deviendra réalité dans dix ou quinze ans grâce aux conventions signées avec différents investisseurs émiratis qui se proposent de réaliser de méga-projets, pratiquement des villes nouvelles intégrées avec des programmes d’aménagement et de constructions immobilières à caractère résidentiel, touristique et commercial qui vont transformer totalement le paysage urbain qui va prendre des allures futuristes et impulser un processus de développement ouvert sur l’extérieur tendant à concrétiser la vision et l’ambition du Président de la République de faire de Tunis un centre régional d’affaires et de services.
Les impacts positifs seront multiples à différents niveaux : local et régional, national et international, d’ordre technologique, économique financier et humain.
De vastes terrains marécageux et pollués : est-ce un cadeau ?
Les pouvoirs publics tunisiens, selon la convention signée avec Sama Dubaï, ont cédé 836 hectares de terrains pour un dinar symbolique. De quoi s’agit-il en fait ?
Pour un esprit mal intentionné, cela pourrait ressembler à un bradage. En fait il n’en est rien. Même si le site est stratégique, aux portes de Tunis, avec une façade maritime, ce qui est exceptionnel pour une capitale politique et économique en pleine croissance, les terrains cédés sont en réalité marécageux, vaseux, pollués, incultes et désaffectés depuis toujours.
Certes le Lac Sud , qui dégageait des odeurs nauséabondes en été et qui a été longtemps le réceptacle des rejets polluants et toxiques des 200 entreprises industrielles de la banlieue Sud, a bien été assaini avec dragage du fond du Lac, des berges rectifiées et aménagées afin d’assurer la circulation de l’eau et un remblaiement portant sur 700 ha pour un investissement de 100MDT.
Mais en fait il est peu profond (2 mètres) donc peu navigable et peu propice en l’état actuel à la navigation et à une mise en valeur facile et peu coûteuse.
Il ne s’agit ni d’un cadeau ni d’une cession gratuite car elle implique de multiples obligations, contraintes engagements et responsabilités. Car pour édifier des tours de 20 ou 60 étages sur une lagune, il faudra creuser profondément le sol pour des fondations de 80 à 110 m et injecter des piliers de béton sous pression pour sécuriser les fondations. Tout est donc à faire à partir d’une nature ingrate : infrastructures et bâtiments, une technologie de pointe, coûteuse et complexe, parfois risquée.
La suite...
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