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C'est une tranche de vie du Quotidien d'Oran que j'ai lue avec le sourire aux lèvres et cette envie de la partager avec vous. Chaque jour que Dieu fait est une bénédiction et la vivre intensément en la partageant et en l'enrichissant avec d'autres n'est que du pur bonheur à consommer sans modération.
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La guerre a tué, elle tue encore. El-guirra tue, et l'homme n'arrête pas de lui procurer tous les instruments pour tuer plus vite. Le froid tue. La chaleur tue. On vend alors du froid pour tuer la chaleur. La faim tue. Trop de bouffe tue.
La mer tue. Le tabac tue. La voiture tue. L'avion tue. Le train tue. Le sucre tue. La viande tue. Le terrorisme tue. Le rire tue. Ne dit-on pas mourir de rire ? Le sport tue. L'oisiveté tue. Tu te rends compte ? Tout tue. La vie est donc condamnée «à mort», et avec ça on dit que le monde appartient à celui qui se lève tôt ! Je ne sais pas ce qu'en pensent les éboueurs, eux qui vivent dans le zabel.
Amala, que vous soyez un homme ou une femme, un père ou une mère, un frère ou une soeur, la seule façon de grandir et de bien profiter des années de sursis avant de partir, c'est de ne pas reproduire les mêmes souffrances que vous avez subies, mais plutôt d'en tirer une leçon, ou d'en donner une, pour éviter qu'elles se reproduisent.
Voyez comme le monde évolue. Tout n'est que superficialité dans une société aussi réelle. Pourquoi n'êtes vous pas écoutés ? Peut-être n'avez-vous pas la conviction de vouloir vous faire entendre ? La colère, la violence ne pourront pas vous donner plus de poids dans votre argumentation.
C'est ce qui s'appelle se battre contre des moulins à vent. Brasser de l'air et ne rien saisir. La banalisation de tout tue la réalisation et la progression de tout ! L'amour de soi et de l'autre, ou des autres, ne devrait pas être qu'une littérature, une brochure ou une idée télévisuelle mais un art de vivre. Ce n'est pas de la morale. La morale tue aussi !
Par El-Guellil, le Quotidien d'Oran
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La guerre a tué, elle tue encore. El-guirra tue, et l'homme n'arrête pas de lui procurer tous les instruments pour tuer plus vite. Le froid tue. La chaleur tue. On vend alors du froid pour tuer la chaleur. La faim tue. Trop de bouffe tue.
La mer tue. Le tabac tue. La voiture tue. L'avion tue. Le train tue. Le sucre tue. La viande tue. Le terrorisme tue. Le rire tue. Ne dit-on pas mourir de rire ? Le sport tue. L'oisiveté tue. Tu te rends compte ? Tout tue. La vie est donc condamnée «à mort», et avec ça on dit que le monde appartient à celui qui se lève tôt ! Je ne sais pas ce qu'en pensent les éboueurs, eux qui vivent dans le zabel.
Amala, que vous soyez un homme ou une femme, un père ou une mère, un frère ou une soeur, la seule façon de grandir et de bien profiter des années de sursis avant de partir, c'est de ne pas reproduire les mêmes souffrances que vous avez subies, mais plutôt d'en tirer une leçon, ou d'en donner une, pour éviter qu'elles se reproduisent.
Voyez comme le monde évolue. Tout n'est que superficialité dans une société aussi réelle. Pourquoi n'êtes vous pas écoutés ? Peut-être n'avez-vous pas la conviction de vouloir vous faire entendre ? La colère, la violence ne pourront pas vous donner plus de poids dans votre argumentation.
C'est ce qui s'appelle se battre contre des moulins à vent. Brasser de l'air et ne rien saisir. La banalisation de tout tue la réalisation et la progression de tout ! L'amour de soi et de l'autre, ou des autres, ne devrait pas être qu'une littérature, une brochure ou une idée télévisuelle mais un art de vivre. Ce n'est pas de la morale. La morale tue aussi !
Par El-Guellil, le Quotidien d'Oran
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