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L'économie algérienne a-t-elle beaucoup avancé pour démontrer qu'elle est déjà attractive aux IDE ? Certes, on peut avancer que les IDE, plus particulièrement occidentaux et en dehors du secteur des hydrocarbures, n'ont pas répondu à nos aspirations et à nos ambitions, mais il faudrait quand même remarquer que depuis 2005, il y a eu de l'accélération, si on intègre la venue des investisseurs arabes, en termes d'apport de capitaux, de savoir-faire et de technologie, la situation serait bien sûr à l'optimisme, d'autant que nous en sommes seulement au début. On pourrait comparer notre pays aux pays voisins et plus particulièrement dans le domaine du tourisme. Néanmoins, cette façon de faire occulte complètement les données de l'implication de la tragédie nationale qui a provoqué la mise en quarantaine de l'Algérie et de son économie et l'augmentation pénalisante du risque pays. Ce taux pénalisant s'est traduit par un encouragement aux importations, c'est-à-dire aux affaires commerciales, c'est-à-dire pas d'investissements qui contribuent au développement.
Si retard il y a, à la fois dans la mise en œuvre des réformes et dans la venue des IDE, il faudrait l'imputer aux conditions d'insécurité et d'instabilité qui avaient prévalu durant toute la décennie 90.
Le Président a toujours placé le retour de la sécurité et de la paix comme préalable au développement.
C'est ainsi que l'Etat met les "bouchées doubles " aujourd'hui sur les conditions à réunir pour lancer le développement, même à travers la dépense publique, en attendant la mise en œuvre d'une nouvelle stratégie qui renforcera l'économie de marché au service du développement.
N.B.
lemaghrebdz
Si retard il y a, à la fois dans la mise en œuvre des réformes et dans la venue des IDE, il faudrait l'imputer aux conditions d'insécurité et d'instabilité qui avaient prévalu durant toute la décennie 90.
Le Président a toujours placé le retour de la sécurité et de la paix comme préalable au développement.
C'est ainsi que l'Etat met les "bouchées doubles " aujourd'hui sur les conditions à réunir pour lancer le développement, même à travers la dépense publique, en attendant la mise en œuvre d'une nouvelle stratégie qui renforcera l'économie de marché au service du développement.
N.B.
lemaghrebdz