Je voudrais parler d’un fait assez sérieux que vivent les Algériens, ou pour être plus précis, les Algériennes de Montréal avec l'administration du consulat général. Sachez qu'une Algérienne, résidant légalement au Québec — et donc au Canada — mariée à un Algérien qui réside également au Canada, ne peut s'inscrire ou s'immatriculer au niveau du consulat général de la République algérienne, sans la présence de son... mari. Vive l'égalité des sexes !
Ce que je raconte a été vécu par ma propre femme qui, s’étant présentée il y a de cela quelques mois au consulat pour ladite immatriculation, a été invitée à ramener son époux et la chose n’a pu se faire que lorsque je l’ai accompagnée. Un ami vient de me rapporter que le même refus a été opposé à sa femme qui, étant sur le point de rentrer au pays pour régler des formalités administratives, s’est vu exiger la présence physique de son mari. Nous sommes «bled rojla» ou...?
Babay (Montréal)
Ce que je raconte a été vécu par ma propre femme qui, s’étant présentée il y a de cela quelques mois au consulat pour ladite immatriculation, a été invitée à ramener son époux et la chose n’a pu se faire que lorsque je l’ai accompagnée. Un ami vient de me rapporter que le même refus a été opposé à sa femme qui, étant sur le point de rentrer au pays pour régler des formalités administratives, s’est vu exiger la présence physique de son mari. Nous sommes «bled rojla» ou...?
Babay (Montréal)
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