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Le projet "Géo-Aquifer" qui met les données satellitaires au service de la gestion du Système aquifère du bassin souterrain du Sahara septentrional (SASS), partagé par l'Algérie, la Libye et la Tunisie a démarré, mercredi à Tunis, à l'occasion de la tenue d'un atelier organisé par l'Observatoire du Sahara et du Sahel (OSS).
Le financement de ce projet évalué à 487 mille euros sur une péiode de 18 mois, est un don de la Facilité africaine de l'Eau (FAE).
Il porte sur l'exploitation des données satellitaires, en vue de mettre à la disposition des gestionnaires de l'eau dans les trois pays, des outils d'aide à la décision fiables et harmonisés, favorisant ainsi une gestion concertée du bassin SASS qui s'étend sur plus d'un million de km2.
Les experts estiment qu'en 2025, le bassin SASS sera habité par 8 millions de personnes, contre 4 millions en 2000.
Le coordinateur du projet à l'OSS, Jamel Latrech, souhaite mettre en place un système d'information commun aux trois pays concernés et approfondir l'étude des aspects environnementaux et socio- économiques de la gestion de ce bassin.
L'OSS, organisation internationale à vocation régionale basée à Tunis, compte 22 pays africains membres ainsi que des pays occidentaux tels la France et l'Allemagne.
Le financement de ce projet évalué à 487 mille euros sur une péiode de 18 mois, est un don de la Facilité africaine de l'Eau (FAE).
Il porte sur l'exploitation des données satellitaires, en vue de mettre à la disposition des gestionnaires de l'eau dans les trois pays, des outils d'aide à la décision fiables et harmonisés, favorisant ainsi une gestion concertée du bassin SASS qui s'étend sur plus d'un million de km2.
Les experts estiment qu'en 2025, le bassin SASS sera habité par 8 millions de personnes, contre 4 millions en 2000.
Le coordinateur du projet à l'OSS, Jamel Latrech, souhaite mettre en place un système d'information commun aux trois pays concernés et approfondir l'étude des aspects environnementaux et socio- économiques de la gestion de ce bassin.
L'OSS, organisation internationale à vocation régionale basée à Tunis, compte 22 pays africains membres ainsi que des pays occidentaux tels la France et l'Allemagne.