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L'envoyé britannique sur les changements climatiques, George Edgar, en visite en Zambie, a estimé mardi que le continent africain serait gravement affecté par les changements climatiques en raison de l'absence de politiques adaptées face à la situation.
M. Edgar a dit à la presse que le continent africain, en particulier les pays vulnérables, serait sérieusement touché à cause du fait que la plupart des pays font face déjà aux défis dans la production agricole, soulignant que les études avaient montré que les changements climatiques aboutiraient, entre autres, à des changements dans la productivité agricole consécutifs aux changements dans les modes de précipitations.
Il a fait remarquer que certains pays subiraient des sécheresses, tandis que d'autres, de graves inondations.
Les changements climatiques conduiront à de nouvelles formes de maladies et certains pays en Afrique australe verront une baisse de précipitations, a-t-il souligné.
A cette occasion, il a invité les gouvernements concernés à tenir compte des changements climatiques dans leur prise de décisions, ajoutant qu'il fallait une réponse d'urgence de tous en matière d'investissements dans les énergies propres et d'amélioration de la capacité à faire face aux catastrophes.
Arrivé à Lusaka pour une visite de deux jours, M. Edgar doit rencontrer des ministres zambiens, ainsi que des reponsables des organisations préoccupées par les changements climatiques.
- Jeuneafrique
M. Edgar a dit à la presse que le continent africain, en particulier les pays vulnérables, serait sérieusement touché à cause du fait que la plupart des pays font face déjà aux défis dans la production agricole, soulignant que les études avaient montré que les changements climatiques aboutiraient, entre autres, à des changements dans la productivité agricole consécutifs aux changements dans les modes de précipitations.
Il a fait remarquer que certains pays subiraient des sécheresses, tandis que d'autres, de graves inondations.
Les changements climatiques conduiront à de nouvelles formes de maladies et certains pays en Afrique australe verront une baisse de précipitations, a-t-il souligné.
A cette occasion, il a invité les gouvernements concernés à tenir compte des changements climatiques dans leur prise de décisions, ajoutant qu'il fallait une réponse d'urgence de tous en matière d'investissements dans les énergies propres et d'amélioration de la capacité à faire face aux catastrophes.
Arrivé à Lusaka pour une visite de deux jours, M. Edgar doit rencontrer des ministres zambiens, ainsi que des reponsables des organisations préoccupées par les changements climatiques.
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