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La France a besoin du gaz algérien
Sarkozy cherche un accord « privilège » pour faire réussir son programme
L’approvisionnement de la France en gaz naturel va être le plus important sujet que le président français Nicolas Sarkozy va exposer, durant sa visite prévue le 10 juillet, à son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika, afin de garantir « la sécurité énergétique française » qui doit faire face à des défis délicats pour réaliser une croissance économique acceptable sans pertes.
Les nouveaux indicateurs économiques révèlent que la France a besoin en urgence de nouvelles ressources énergétiques, surtout dans le domaine du gaz naturel, pour réaliser ses objectifs en augmentant l’indicateur de croissance de 2.3 à 3.3% par an. La machine industrielle et productive française, qui fait face à une concurrence asiatique et européenne féroce, a besoin de « s’affranchir » de la dépendance dans le domaine de l’approvisionnement gazier, imposé par ses voisins européens, l’Espagne et l’Italie, qui sont liées par de vieilles relations d’approvisionnement avec l’Algérie à travers les gazoduc traversant la méditerranéen.
En dépit du fait que tous les opérateurs et experts aient insisté dans les recommandations de la conférence de la stratégie industrielle, sur la nécessité d’utilisation de l’Algérie de ses moyens de pression que ce soient du point de vue de la position en tant que premier fournisseur de gaz à une partie importante de l’Europe. Au moment où la Corée du Sud et l’Arabie Saoudite ont réussi à devenir les plus grands pays producteurs de gaz après les Etats-Unis et ce malgré que le premier pays n’est pas producteur de gaz, l’Algérie reste le seul pays qui vend du gaz à des prix dérisoires dans le marché international. Ces raisons ont probablement poussé Nicolas Sarkozy à se déplacer en Algérie pour discuter d’un « accord privilège » pour le programme de son Gouvernement.
el khabar
Sarkozy cherche un accord « privilège » pour faire réussir son programme
L’approvisionnement de la France en gaz naturel va être le plus important sujet que le président français Nicolas Sarkozy va exposer, durant sa visite prévue le 10 juillet, à son homologue algérien Abdelaziz Bouteflika, afin de garantir « la sécurité énergétique française » qui doit faire face à des défis délicats pour réaliser une croissance économique acceptable sans pertes.
Les nouveaux indicateurs économiques révèlent que la France a besoin en urgence de nouvelles ressources énergétiques, surtout dans le domaine du gaz naturel, pour réaliser ses objectifs en augmentant l’indicateur de croissance de 2.3 à 3.3% par an. La machine industrielle et productive française, qui fait face à une concurrence asiatique et européenne féroce, a besoin de « s’affranchir » de la dépendance dans le domaine de l’approvisionnement gazier, imposé par ses voisins européens, l’Espagne et l’Italie, qui sont liées par de vieilles relations d’approvisionnement avec l’Algérie à travers les gazoduc traversant la méditerranéen.
En dépit du fait que tous les opérateurs et experts aient insisté dans les recommandations de la conférence de la stratégie industrielle, sur la nécessité d’utilisation de l’Algérie de ses moyens de pression que ce soient du point de vue de la position en tant que premier fournisseur de gaz à une partie importante de l’Europe. Au moment où la Corée du Sud et l’Arabie Saoudite ont réussi à devenir les plus grands pays producteurs de gaz après les Etats-Unis et ce malgré que le premier pays n’est pas producteur de gaz, l’Algérie reste le seul pays qui vend du gaz à des prix dérisoires dans le marché international. Ces raisons ont probablement poussé Nicolas Sarkozy à se déplacer en Algérie pour discuter d’un « accord privilège » pour le programme de son Gouvernement.
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