Les caprices du climat (dérèglement des saisons et irrégularités pluviométriques) ont eu des conséquences désastreuses sur le verger arboricole à travers la daïra de Tazmalt.
A Ath Mlikech, une des régions formant la circonscription agricole de Tazmalt et qui est à vocation exclusivement arboricole, les bilans en sont les meilleurs indicateurs. En 2006, 4,5 ha consacrés à la cerise et 3 étant en production ont donné la récolte de 45 quintaux, soit un rendement moyen de 15 q à l’hectare.
Résultat : au marché, la cerise est entre 250 et 300 DA le kilo. Raisons imputées à la situation de cette culture en pleine expansion, la coïncidence de pluies intenses en mars-avril avec la période de floraison. Même sort réservé à l’abricotier et aux pêchers qui lors de leur réveil végétatif ont été la proie à une sécheresse puis lors de leur floraison à des chutes de pluies incessantes ou encore à des chutes de grêle.
Illustration : au marché un kilo d’abricot se vend majestueusement à 100 DA. Enfin, l’amandier fait l’objet d’une attaque des pucerons et est le plus touché par la cératite. Le reste est a été réalisé par la dernière canicule qui a grillé le figuier, pourtant rustique et résistant.
Par La Dépêche de Kabylie
A Ath Mlikech, une des régions formant la circonscription agricole de Tazmalt et qui est à vocation exclusivement arboricole, les bilans en sont les meilleurs indicateurs. En 2006, 4,5 ha consacrés à la cerise et 3 étant en production ont donné la récolte de 45 quintaux, soit un rendement moyen de 15 q à l’hectare.
Résultat : au marché, la cerise est entre 250 et 300 DA le kilo. Raisons imputées à la situation de cette culture en pleine expansion, la coïncidence de pluies intenses en mars-avril avec la période de floraison. Même sort réservé à l’abricotier et aux pêchers qui lors de leur réveil végétatif ont été la proie à une sécheresse puis lors de leur floraison à des chutes de pluies incessantes ou encore à des chutes de grêle.
Illustration : au marché un kilo d’abricot se vend majestueusement à 100 DA. Enfin, l’amandier fait l’objet d’une attaque des pucerons et est le plus touché par la cératite. Le reste est a été réalisé par la dernière canicule qui a grillé le figuier, pourtant rustique et résistant.
Par La Dépêche de Kabylie
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