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Le fils du président tchadien retrouvé mort à Courbevoie

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  • Le fils du président tchadien retrouvé mort à Courbevoie

    Le fils du président tchadien Idriss Deby, Brahim, 27 ans, a été retrouvé mort lundi matin dans le parking de son immeuble situé rue Baudin à Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine. Les circonstances de son décès ne sont pas précisées. La brigade criminelle de la police judiciaire parisienne a été saisie de l'enquête. Selon le parquet de Nanterre, il s'agit d'un "homicide" mais "seule l'autopsie permettra de déterminer les causes exactes de la mort".

    La découverte a été faite entre 7h et 7h30 du matin par le gardien de l'immeuble dans le sas menant du parking à la cage d'escalier. Le corps portait une plaie à la tête. En début d'après-midi, la police s'affairait au premier niveau du parking souterrain autour d'une Mercedes noire immatriculée en Allemagne.

    Selon une source diplomatique tchadienne à Paris, le meurtre n'a apparemment pas de motivation politique.

    Condamné pour "port d'arme" et "détention" de drogue

    "Nous adressons nos condoléances aux familles et aux proches", a déclaré la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Pascale Andréani. "S'agissant d'une affaire criminelle, cela relève des autorités judiciaires", a-t-elle ajouté.

    Brahim Deby était connu des services de police, entre autres pour des affaires de stupéfiants. Il avait été condamné en juin 2006 à six mois de prison avec sursis pour "port d'arme" et "détention" de drogue par le tribunal correctionnel de Paris. A l’origine de l’affaire, une bagarre avec un autre client d’une discothèque du 8e arrondissement de Paris, au cours de laquelle un pistolet semi-automatique, porté sans autorisation, était tombé de son pantalon. Au cours de la perquisition qui a suivi à son domicile de Courbevoie, les policiers avaient retrouvé 375 grammes de cannabis et 2 grammes de cocaïne.

    Le président tchadien Idriss Deby avait alors immédiatement mis fin aux fonctions de conseiller technique de son fils aîné Brahim. «Brahim Deby est une personne majeure. Tout acte qu'il pose ne saurait engager la responsabilité du Tchad et encore moins celle de ses parents, qui ne sont pas comptables de ses faits et gestes», avait indiqué la direction générale de la communication de la présidence tchadienne.

    Par le Figaro

  • #2
    Paix a son âme
    « Ça m'est égal d'être laide ou belle. Il faut seulement que je plaise aux gens qui m'intéressent. »
    Boris Vian

    Commentaire


    • #3
      Selon une source diplomatique tchadienne à Paris, le meurtre n'a apparemment pas de motivation politique.
      En effet, il a glissé dans les escaliers!...
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Un règlement de compte, certes, mais pas politique, c'est une affaire de drogue, ça crève les yeux.
        Un jour, liberté naîtra, volonté existera, conscience on aura, et enfin, la paix sera...

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