Alger veut doter ses forces de défense aérienne de drones. L’inquiétude grandissante pour le contrôle de ses frontières, notamment avec les pays africains d’où passent les soi-disant combattants d’Al-Qaïda dans le Maghreb islamique, a incité le chef d’état-major de ses forces, le général Ali Bekkouche, d’évoquer ce sujet avec le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le responsable militaire a été convaincu de la nécessité des drones, lors du colloque sur la Défense aérienne tenu à Alger, le mercredi dernier. Surtout après que les représentants des «5+5 Défense», ont prôné l’échange d’informations sur les avions suspects.
Si Alger possède les moyens nécessaires à l’acquisition de ces drones, il reste cependant un obstacle, quant au choix du type et du pays fournisseur. Notamment, lorsqu’on sait que la Russie, le principal fournisseur des forces aériennes algériennes, n’est pas très avancée dans ce domaine. Ce qui poussera certainement les dirigeants de cette dernière, à s’orienter vers les groupes français, EADS et Thales
gazette du maroc
Si Alger possède les moyens nécessaires à l’acquisition de ces drones, il reste cependant un obstacle, quant au choix du type et du pays fournisseur. Notamment, lorsqu’on sait que la Russie, le principal fournisseur des forces aériennes algériennes, n’est pas très avancée dans ce domaine. Ce qui poussera certainement les dirigeants de cette dernière, à s’orienter vers les groupes français, EADS et Thales
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