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Abranis

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    Toi et moi ma belle

  • #2
    Le Groupe Abranis
    Au cours des années soixante, la chanson Kabyle, se contentait de ressasser les mêmes thèmes sur fond d’orchestration imprégnées d’un orientalisme peu en rapport avec les lignes mélodiques originales.[…]. En 1967, deux immigrés, férus à la fois, de la tendance ambiante, incarnée par la vague des rockers aux noms américanisés et de musique du terroir, se rencontrent, se découvrent pas mal de goûts communs et créent un groupe renforcé par deux autres musiciens, Samir et Mehdi. Le chanteur guitariste Karim, de ses noms et prénom SID Mohand Tahar, né un 20 février à Tifilkout (Illilten), et l’organiste Shamy Elbaz, CHEMINI Abdelkader, pour l’état civil, né un 26 octobre à Tilatiouine (Bejaia). Le nom de guerre est puisé dans l’histoire et renvoie à la souche des BRANES, évoqué par l’historien sociologue Ibn Khaldoun dans ses « Prolégomènes ».

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    • #3
      Karim Abranis
      Karim ABRANIS est le talentueux rocker Kabyle des années 70. Il est chanteur, auteur et compositeur du groupe ABRANIS, qu’il fonda en 1967 et qu’il concrétisera avec ses amis Schamy, Mehdi, et Chaban en 1973.
      Immigré dès son jeune âge (13 ans), il a été bercé, à la fois, par la musique du terroir et la vague de rock des années 60-70. Ce mélange marque l’originalité et la démarche artistique de Karim. Tourné vers la modernité et l’universalité, Karim revendique sa culture Amazigh dans toutes ses dimensions. Il affirme, lui même, dans une interview accordée à un journaliste, qui lui demandait pourquoi il ne chantait pas en langue étrangère : « Chacun chante selon sa sensibilité et sa langue. Chez nous, nous ne tenons pas compte des étiquettes. Ce qui caractérise notre musique, c’est l’ouverture, dans le sens plein du terme. Tous les apports sont les bienvenus pourvu qu’ils soient porteurs d’espérance ».

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      • #4


        Tilelli

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        • #5


          ABRANIS- Tadukli

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          • #6


            Chenar le blues

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            • #7



              Oh coeur

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              • #8



                Avehri (le vent)

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                • #9
                  manque t il quelqu'undan sle groupe

                  Bonsoir Awai

                  Est ce Arezki Baroudi ne figurait pas dans le groupe à un certain moment?

                  S tegmats

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                  • #10
                    qui connait les chansons de son fils ?

                    le fils de Karim ( Belaïd Abranis ) ?? il a tendance à un Rock métal en Kabyle

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                    • #11
                      Belaid Branis





                      Bélaïd Branis, de son nom d'artiste, est le fils d'un des membres du groupe Abranis paru sur le scène artistique dans les années 70.
                      Un groupe que nous avons, hélas, presque tous raté de plébisciter à temps. Ce n'était ni du raï ni du rap, même si ces deux genres n'en déméritent pas pour autant. C'était tout simplement un souffle vivant avant-coureur non écouté à temps et à tord. Ils étaient en avance de deux décennies sur les besoins nouveaux de l'écoute dominée aujourd'hui par un formidable jeu de l'orchestration et de la thématique qui nous fait défaut dans la chanson kabyle d'aujourd'hui, mis à part quelques rares exceptions. Le jeune Bélaïd Branis apporte du baume au cœur tant sur le plan musicale que sur le plan du texte. Il comble ainsi un vide et satisfait les attentes des jeunes qui ont commencé par aller chercher plus loin (bien sûr pourquoi pas, puisque la musique est universelle) ce qu'ils ne trouvent pas tout près d'eux.
                      On ne peut pas passer devant un café ou un salon de thé sans entendre la voix de Bélaïd fredonner et animer l'ambiance. Bélaïd Branis fait dans le mouvement dynamique du corps et !e jeu du prolongement du vocal comme pour dire que les mots ne se terminent pas. Sur ce plan, il rejoint à quelque chose près le majestueux Samir El Djazaïri qui était passé pour être le maître des jeux de la voix.
                      Le vent auquel le groupe des années 70 a souhaité la bienvenue, continue de balayer l'esprit furtif de Branis des années 2000.
                      Ainsi donc, la chanson kabyle, grâce à Bélaïd et bien d'autres jeunes talents à l'exemple de Djamel Bani, saura-t-elle sortir du marasme dans lequel elle se trouve coincée actuellement ? C'est à souhaiter



                      De Abranis junior à Belaïd Branis, le chanteur tente de rééditer l'exploit du mythique "Abranis", un groupe qui a connu un grand succès dans les années 70. Sur les traces de son père (Karim), Belaïd s'essaye au dur métier de la scène et de l'édition. Il nous confie la dure réalité du showbiz, les difficultés que rencontre un jeune compositeur. Son premier album est l'aboutissement d'une quête riche en expériences qu'il a glanées au cours des multiples galas animés ça et là et qui l'ont conduit à Béjaïa où il obtint le premier prix au festival de la chanson amazighe amateur.
                      En reprenant le même groupe constitué de musiciens chevronnés, Belaïd enregistre son premier album qui sera vite épuisé sur le marché.
                      Ce nouveau style qui tente de sortir la chanson kabyle de son ghetto folklorisé en essayant d'arrimer une poésie contemporaine aux sonorités universelles, s'est fait dans la douleur et l'impuissance de beaucoup de jeunes talents victimes d'un "showbiz" qui ne dit pas son nom.
                      "Avec le genre de musique que je fais, je ne trouve pas au studio les sons et mixages que je recherche", dira Belaïd. Pour son deuxième album qui sortira prochainement, il promet beaucoup de surprises. L'enregistrement à Béjaïa et la production en France où II compte aussi rééditer son premier album.
                      L'orchestration du groupe est constituée de guitares électriques, clavier et basse, batterie pour le rythme, des instruments amplifiés qui permettent un son et des effets raffinés sur des rythmes dansants invitant à la fête, et surtout à la réflexion, puisque le jeune chanteur traite des sujets du moment comme : l'amour et le mal de vivre d'une jeunesse qui brûle son talent en attente d'un avenir porteur d'espoir.







                      ILLILTEN

                      Belaïd Branis innove

                      Tel père, tel fils, dit l'adage dans sa sagesse. Véridique à plus d'un titre. L'exemple nous vient de Tifiikout, un bourg romantique d'Illilten (Iferhounène). Belaïd Branis est chanteur comme son père. Son père, c'est Karim du célèbre groupe Les Abranis. Un groupe qui a imposé la chanson kabyle sur les plus grandes scènes artistiques du monde à une époque où il n'était pas facile de le faire. Et pourtant... D'aucuns parmi les mélomanes reconnaissent volontiers que Les Abranis sont pour beaucoup dans 1' « exportation » de la chanson kabyle, eux, qui ont su chanter le blues dans la langue de Mammeri. Le chanteur des Abranis n'a pas encore rangé son gamber que son fils Belaïd décide de reprendre le flambeau. Maîtrisant bien son sujet, Belaïd Branis chante le rock comme un professionnel. 11 est en quelque sorte l'Elvis des Kabyles.

                      Il pince les fils de sa guitare électrique avec dextérité et un art consommé. Ayant déjà enseigné la musique, il fait son numéro avec une persévérance jamais démentie. Le style musical adopté par le chanteur se veut une identité qui le distingue des autres groupes rock. Ce jeune de Tifiikout, qui porte la musique dans les veines, met beaucoup de sérieux et de convictions dans la composition de ses oeuvres. Et pour cause, sa thématique est aussi riche que variée. Sur ce chapitre, Belaïd hérite beaucoup de son père.
                      Ayant constitué un « frigo » de chansons, Belaïd Branis pense à présent à l'édition, ce monde qu'il sait difficile avec ses différentes imbrications. Un album de six tubes est déjà fin prêt. Il sortira sous peu, avons-nous appris auprès de l'artiste. Pour ce dernier, la scène n'est pas une culture étrangère. Pour preuve, quand il est sur scène, Belaïd Brans fournit une prestation artistique des plus belles. Son public qui le suit à chacune de ses sorties publiques à Michelet, à Akbou ou à Tizi, notamment à la fac de Oued Aïssi, ne manque pas de l'encourager à persévérer, lui qui a toute sa vie devant lui. Tout compte fait, Belaïd ne veut pas s'arrêter en si bon chemin. Il vient d'innover en s'essayant au jazz. Bravo !


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                      • #12
                        buhu

                        Arezki Baroudi était l'un de ses batteurs


                        Biographie du groupes


                        Au cours des années soixante, la chanson Kabyle, se contentait de ressasser les mêmes thèmes sur fond d’orchestration imprégnées d’un orientalisme peu en rapport avec les lignes mélodiques originales.[…]. En 1967, deux immigrés, férus à la fois, de la tendance ambiante, incarnée par la vague des rockers aux noms américanisés et de musique du terroir, se rencontrent, se découvrent pas mal de goûts communs et créent un groupe renforcé par deux autres musiciens, Samir et Mehdi. Le chanteur guitariste Karim, de ses noms et prénom SID Mohand Tahar, né un 20 février à Tifilkout (Illilten), et l’organiste Shamy Elbaz, CHEMINI Abdelkader, pour l’état civil, né un 26 octobre à Tilatiouine (Bejaia). Le nom de guerre est puisé dans l’histoire et renvoie à la souche des BRANES, évoqué par l’historien sociologue Ibn Khaldoun dans ses « Prolégomènes ».
                        En fin de ces années soixante, les Abranis, auxquels se joindront le batteur Arezki BARROUDI, et le bassiste Hachemi BELLALI, étaient trop en avance sur le temps : le public Kabyle n’était pas prêt à écouter les instruments électriques, rompant avec la tradition, même s’il se délecte des guitar-heroes de Woodstock et Wight. La formation et ses membres portant cheveux longs et patte d’Eph déroute au début. Il a fallu attendre un contexte plus favorable, celui de l’esprit 70, lorsque la chanson Kabyle a commencé à imposer sa loi moderniste sur le marché maghrébin et international.
                        En 1973, les Abranis se rendent à Alger pour participer au premier Festival National de la chanson et remporte un prix. Une apparition à la télévision algérienne leur permet de populariser leur répertoire et leur ouvre les portes d’une tournée triomphale dans de nombreuses villes algériennes. Ces succès se concrétisent par d’autres enregistrements et la discographie impressionnante des Abranis en regorge. En France, où ils sont de retour, la communauté leur réserve, à chacun de leurs passages, un accueil enthousiaste.
                        A l’extérieur, ils se font remarquer avec leur Rockabylie ( de la musique moderne mais non occidentale, précisent–ils souvent) dans diverses festivals. Finalement, l’âme Amazigh semble se sentir à l’aise dans un flot électrique habilement canalisé d’autant que les thèmes ( amour, social et revendications culturo-politique) l’alimentent bien.

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                        • #13
                          sensib

                          Belaid Branis à interpreter

                          Tamacahuts
                          Rock n Roll


                          2 morceaux que j'ai trouver sur un site , domage que le liens ne s'affiche pas

                          Dernière modification par NAWATT, 07 juillet 2007, 10h14.

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