Des yeux froids de Russie
Dans tes yeux froids en plain été
J’ai lu ma joie et la mort dans mon cœur
J’ai porté en moi cet amour que t’as voulu
Amour fraternel, amical et non charnel
Alors que moi, je n’ai rêvé que de toi
Au fin fond des nuits chaudes
Dénudés, noyés ensemble dans la sueur
Des banyas brûlantes de Russie
Ma princesse russe,
Au fond de mon cœur, j’ai désiré tant l’amour
le bleu de tes yeux au couleur de la Volga
J’ai désiré tant tes lèvres doux
Au raillons du soleil couchant de la Datcha
Princesse russe au foulard rouge,
Donne moi cette potion de l’oubli
Cherche dans les livres des poussières
Que je puisse t’effacer de ma lisière
Que je puisse te donner la place d’une sœur
Ou que je puisse t’aimé d’autres manière
Ma princesse russe folle de joie
Pardonne moi le mensonge
D’avoir caché mon vrai visage
D’avoir étrangler mes pures sentiments
Et de peindre le tableau différemment
J’ai tant espérer et désespérer de te voir
Radieuse entre tes camarades le soir
Tu a ébloui mon existence
Un orage sibérien éclata dans mes entrailles
De tes yeux froids au bleu d’élégance
De ton sourire luisant entre tes cheveux dorés
De ta beauté mélodieuse, séduisante
Combien secrète, combien délicate, combien éclatante
Sucre d’orge, je t’aimerai comme tu le voulais
On s’aimerait, et selon ton espoir on sèmerait
Aujourd’hui je suis loin de ces souffrances
J’ai gardé cette chanson en silence
Je ne pouvais croire de bon,
Qu’on pouvait gardé un amour en souvenir !
Postra
Dans tes yeux froids en plain été
J’ai lu ma joie et la mort dans mon cœur
J’ai porté en moi cet amour que t’as voulu
Amour fraternel, amical et non charnel
Alors que moi, je n’ai rêvé que de toi
Au fin fond des nuits chaudes
Dénudés, noyés ensemble dans la sueur
Des banyas brûlantes de Russie
Ma princesse russe,
Au fond de mon cœur, j’ai désiré tant l’amour
le bleu de tes yeux au couleur de la Volga
J’ai désiré tant tes lèvres doux
Au raillons du soleil couchant de la Datcha
Princesse russe au foulard rouge,
Donne moi cette potion de l’oubli
Cherche dans les livres des poussières
Que je puisse t’effacer de ma lisière
Que je puisse te donner la place d’une sœur
Ou que je puisse t’aimé d’autres manière
Ma princesse russe folle de joie
Pardonne moi le mensonge
D’avoir caché mon vrai visage
D’avoir étrangler mes pures sentiments
Et de peindre le tableau différemment
J’ai tant espérer et désespérer de te voir
Radieuse entre tes camarades le soir
Tu a ébloui mon existence
Un orage sibérien éclata dans mes entrailles
De tes yeux froids au bleu d’élégance
De ton sourire luisant entre tes cheveux dorés
De ta beauté mélodieuse, séduisante
Combien secrète, combien délicate, combien éclatante
Sucre d’orge, je t’aimerai comme tu le voulais
On s’aimerait, et selon ton espoir on sèmerait
Aujourd’hui je suis loin de ces souffrances
J’ai gardé cette chanson en silence
Je ne pouvais croire de bon,
Qu’on pouvait gardé un amour en souvenir !
Postra
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