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Dix-sept «harragas», nom donné en Algérie aux candidats à l'émigration clandestine, ont été arrêtés, tôt jeudi matin, par les garde-côtes algériens au large de Tlemcen (600km à l'ouest d'Alger), après une spectaculaire course-poursuite qui s'est soldée par l'interception en pleine mer de l'embarcation mise en cause, rapporte samedi le «quotidien d'Oran».
Comment jugez-vous cet article?
Le journal estime que le choix de planifier leur escapade en cette nuit du 4 au 5 juillet était loin d'être fortuit. Les 17 «harragas» aurait espéré profiter d'une éventuelle baisse de vigilance des garde-côtes le jour de la fête de l'Indépendance, pour rallier les côtes espagnoles.
Agés de 22 à 28 ans, les 17 candidats à l'émigration, originaires de la région d'Alger, avaient embarqué à partir de la plage «Draouch», dans la région de Ghazaouet, à bord d'une embarcation pneumatique munie de deux moteurs. Ils ont été repérés, vers 3h30 heure locale (GMT&1), à près de deux milles marins au nord de la côte par un patrouilleur du Groupe territorial des garde-côtes (GTGC) de Ghazaouet.
Dans la nuit du 1er au 2 juillet, cinq «harragas» avaient, déjà, été secourus au large d'Arzew (400km à l'ouest d'Alger), alors que quatre autres sont toujours portés disparus.
D'habitude, la saison estivale, malgré les bonnes conditions climatiques, n'est pas considérée par les candidats à l'émigration clandestine comme une période propice pour tenter ce type de traversées, à cause de la surveillance du littoral du côté des deux rives de la Méditerranée, nettement plus renforcée en saison touristique. AP
ham/sb
Source: AP
Dix-sept «harragas», nom donné en Algérie aux candidats à l'émigration clandestine, ont été arrêtés, tôt jeudi matin, par les garde-côtes algériens au large de Tlemcen (600km à l'ouest d'Alger), après une spectaculaire course-poursuite qui s'est soldée par l'interception en pleine mer de l'embarcation mise en cause, rapporte samedi le «quotidien d'Oran».
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Le journal estime que le choix de planifier leur escapade en cette nuit du 4 au 5 juillet était loin d'être fortuit. Les 17 «harragas» aurait espéré profiter d'une éventuelle baisse de vigilance des garde-côtes le jour de la fête de l'Indépendance, pour rallier les côtes espagnoles.
Agés de 22 à 28 ans, les 17 candidats à l'émigration, originaires de la région d'Alger, avaient embarqué à partir de la plage «Draouch», dans la région de Ghazaouet, à bord d'une embarcation pneumatique munie de deux moteurs. Ils ont été repérés, vers 3h30 heure locale (GMT&1), à près de deux milles marins au nord de la côte par un patrouilleur du Groupe territorial des garde-côtes (GTGC) de Ghazaouet.
Dans la nuit du 1er au 2 juillet, cinq «harragas» avaient, déjà, été secourus au large d'Arzew (400km à l'ouest d'Alger), alors que quatre autres sont toujours portés disparus.
D'habitude, la saison estivale, malgré les bonnes conditions climatiques, n'est pas considérée par les candidats à l'émigration clandestine comme une période propice pour tenter ce type de traversées, à cause de la surveillance du littoral du côté des deux rives de la Méditerranée, nettement plus renforcée en saison touristique. AP
ham/sb
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