Tweet
Le président français Nicolas Sarkozy est attendu mardi à Tunis pour "une visite d'amitié et de travail" de deux jours "à l'invitation du président Zine El Abidine Ben Ali", a annoncé lundi le porte-parole officiel de la présidence tunisienne.
L'arrivée du chef de l'Etat français dans la capitale tunisienne, deuxième étape, après Alger, de sa brève tournée maghrébine, est prévue vers 18h. La cérémonie officielle d'accueil aura lieu peu après au palais présidentiel de Carthage, à environ 10km de Tunis, où les deux chefs de l'Etat auront d'"importants entretiens politiques sur des questions d'ordre bilatéral, régional et international", indique l'agence de presse tunisienne TAP sans plus de précisions.
Les discussions se poursuivront lors d'un dîner de travail que le président tunisien offrira en l'honneur de son hôte français et de la délégation qui l'accompagne. Celle-ci comprend notamment le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, et la secrétaire d'Etat aux droits de l'homme, Rama Yade. Pour la TAP, ce voyage "illustre le caractère privilégié et la profondeur des liens tuniso-français et traduit une volonté commune de leur donner une nouvelle impulsion au service des intérêts des deux peuples".
Le programme officiel ne prévoit pas de rencontre du président français avec la presse, cette tâche ayant été confiée à son porte-parole David Martinon qui présentera un compte-rendu aux journalistes en fin de soirée. Nicolas Sarkozy passera la nuit à Tunis et s'envolera pour Paris mercredi dans la matinée. On ignore s'il rencontrera la communauté française établie en Tunisie.
Comme à Alger, le président de la République défendra notamment le projet d'Union méditerranéenne, un projet qui suscite "intérêt et enthousiasme" en Tunisie, selon l'agence officielle.
Elle considère en effet que cette initiative que Ben Ali avait dès le départ salué dans un message de félicitations adressé au nouveau président français, "ouvre la voie à une réflexion approfondie entre tous les partenaires méditerranéens pour mettre sur pied un projet susceptible de rendre la coopération méditerranéenne plus efficace et d'aider au renforcement de la stabilité et de la prospérité dans cette région, sur la base du partenariat et du co-développement".
Par AP
L'arrivée du chef de l'Etat français dans la capitale tunisienne, deuxième étape, après Alger, de sa brève tournée maghrébine, est prévue vers 18h. La cérémonie officielle d'accueil aura lieu peu après au palais présidentiel de Carthage, à environ 10km de Tunis, où les deux chefs de l'Etat auront d'"importants entretiens politiques sur des questions d'ordre bilatéral, régional et international", indique l'agence de presse tunisienne TAP sans plus de précisions.
Les discussions se poursuivront lors d'un dîner de travail que le président tunisien offrira en l'honneur de son hôte français et de la délégation qui l'accompagne. Celle-ci comprend notamment le ministre des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, et la secrétaire d'Etat aux droits de l'homme, Rama Yade. Pour la TAP, ce voyage "illustre le caractère privilégié et la profondeur des liens tuniso-français et traduit une volonté commune de leur donner une nouvelle impulsion au service des intérêts des deux peuples".
Le programme officiel ne prévoit pas de rencontre du président français avec la presse, cette tâche ayant été confiée à son porte-parole David Martinon qui présentera un compte-rendu aux journalistes en fin de soirée. Nicolas Sarkozy passera la nuit à Tunis et s'envolera pour Paris mercredi dans la matinée. On ignore s'il rencontrera la communauté française établie en Tunisie.
Comme à Alger, le président de la République défendra notamment le projet d'Union méditerranéenne, un projet qui suscite "intérêt et enthousiasme" en Tunisie, selon l'agence officielle.
Elle considère en effet que cette initiative que Ben Ali avait dès le départ salué dans un message de félicitations adressé au nouveau président français, "ouvre la voie à une réflexion approfondie entre tous les partenaires méditerranéens pour mettre sur pied un projet susceptible de rendre la coopération méditerranéenne plus efficace et d'aider au renforcement de la stabilité et de la prospérité dans cette région, sur la base du partenariat et du co-développement".
Par AP