L’ancien adjoint de l’émir du GSPC avant d’être condamné
<<Hassan Hattab est entré à la présidence de la République et a discuté avec des responsables, qui lui ont donné une voiture et un logement pour effectuer, en contre partie, des contacts avec des éléments armés en vue de les convaincre d’abandonner les armes >>, c’étaient là les aveux de Lokmane Guellab, un des principaux adjoints de l’ancien émir du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat, GSPC, avant d’être condamné à dix ans de prison.
Lorsque la juge du tribunal criminel d’Alger a invité l’accusé Lokmane Guellab a répondre à l’accusation « d’appartenance à un groupe terroriste armé responsable de destruction et propageant la terreur dans la population », il a répondu en indiquant « moi madame la juge je suis un homme armée qui s’est rendu aux autorités lorsqu’il a été convaincu par le projet de la réconciliation nationale, j’étais avec Hattab en 2005 quand il a débuté les contacts avec les autorités pour convaincre les terroristes de jeter les armes ». Il a souligné que l’ancien émir du GSPC appelé « Abu Hamza » se rendait souvent à la présidence de la République et qu’il a effectué des contacts qui luis ont permis d’obtenir une Mercedes noire et un logement à Boukhalfa à Tizi Ouzou.
Le parquet a rejeté la requête de la défense de permettre à l’accusé de bénéficier des dispositions de la réconciliation et a requis la peine de mort.
source: El Khabar
<<Hassan Hattab est entré à la présidence de la République et a discuté avec des responsables, qui lui ont donné une voiture et un logement pour effectuer, en contre partie, des contacts avec des éléments armés en vue de les convaincre d’abandonner les armes >>, c’étaient là les aveux de Lokmane Guellab, un des principaux adjoints de l’ancien émir du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat, GSPC, avant d’être condamné à dix ans de prison.
Lorsque la juge du tribunal criminel d’Alger a invité l’accusé Lokmane Guellab a répondre à l’accusation « d’appartenance à un groupe terroriste armé responsable de destruction et propageant la terreur dans la population », il a répondu en indiquant « moi madame la juge je suis un homme armée qui s’est rendu aux autorités lorsqu’il a été convaincu par le projet de la réconciliation nationale, j’étais avec Hattab en 2005 quand il a débuté les contacts avec les autorités pour convaincre les terroristes de jeter les armes ». Il a souligné que l’ancien émir du GSPC appelé « Abu Hamza » se rendait souvent à la présidence de la République et qu’il a effectué des contacts qui luis ont permis d’obtenir une Mercedes noire et un logement à Boukhalfa à Tizi Ouzou.
Le parquet a rejeté la requête de la défense de permettre à l’accusé de bénéficier des dispositions de la réconciliation et a requis la peine de mort.
source: El Khabar
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