A toutes les filles que j’ai aimé
Si l’amour était une incantation
Combien d’histoires aurai-je
recommencé
Je vous écris cette méditation,
A vous mes amours perdu..
A celles que j’ai aimé et celles
qu’en ne puisse
J’ai gardé de chaque sourire
Une part de souvenir immense
De joie, de rêves et tendresse,
A vos, les filles de mes chemins
Celles qui ont partagé mon roman
A vos les filles de ma jeunesse
Pour vous,
Celles que j’ai respecté de
ma plume
A celles dont je n’ai point perdu
la rime
A celle qui a oublié mes vers
Qui a torturé mes heures
A celle qui n’a jamais pousser
la porte
Que j’ai vu mourir comme
une plante
Et qui revivra à la hâte
A celle que j’ai toujours
accompagnée
comme un amant ensommeillé
A celle que j’aurais pu mettre
à genoux
Mais que j’ai relevé tendrement
Et hisser avec toutes mes forces
A celle qui m’a confié tant
de secrets
Qui m’a donné toutes les clefs
de son coffret
Qui voulais quitter les bons
d’école
Pour traîné dans les hôtels
Aujourd’hui tu a des enfants,
tu es mère
J’en suis ravi et parfaitement fière
Du passé me reste ces regrets
De ne pas avoir su profité de
vos noblesses
Des instants ou j’étais détourné
de vous
A courir dans tous les sens
Maintenant il se fait tard
je pense
Vous êtes mariées sans
ma présence
On ne peut plus se parler ni se voir
On se reconnais plus dans l’histoire
Je vous dis adieu mes belles amies
Mes amours, mes ivresses
Je continu mon chemin sous cette pluie
Nul ne me reconnaîtra sous ces averses
Tant mieux, c’est de mon destin
l’errance
Si l’amour était une incantation
Combien d’histoires aurai-je
recommencé
Je vous écris cette méditation,
A vous mes amours perdu..
A celles que j’ai aimé et celles
qu’en ne puisse
J’ai gardé de chaque sourire
Une part de souvenir immense
De joie, de rêves et tendresse,
A vos, les filles de mes chemins
Celles qui ont partagé mon roman
A vos les filles de ma jeunesse
Pour vous,
Celles que j’ai respecté de
ma plume
A celles dont je n’ai point perdu
la rime
A celle qui a oublié mes vers
Qui a torturé mes heures
A celle qui n’a jamais pousser
la porte
Que j’ai vu mourir comme
une plante
Et qui revivra à la hâte
A celle que j’ai toujours
accompagnée
comme un amant ensommeillé
A celle que j’aurais pu mettre
à genoux
Mais que j’ai relevé tendrement
Et hisser avec toutes mes forces
A celle qui m’a confié tant
de secrets
Qui m’a donné toutes les clefs
de son coffret
Qui voulais quitter les bons
d’école
Pour traîné dans les hôtels
Aujourd’hui tu a des enfants,
tu es mère
J’en suis ravi et parfaitement fière
Du passé me reste ces regrets
De ne pas avoir su profité de
vos noblesses
Des instants ou j’étais détourné
de vous
A courir dans tous les sens
Maintenant il se fait tard
je pense
Vous êtes mariées sans
ma présence
On ne peut plus se parler ni se voir
On se reconnais plus dans l’histoire
Je vous dis adieu mes belles amies
Mes amours, mes ivresses
Je continu mon chemin sous cette pluie
Nul ne me reconnaîtra sous ces averses
Tant mieux, c’est de mon destin
l’errance
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