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Le président khalifa ben zayed al nahyane aujourd’hui à alger

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  • Le président khalifa ben zayed al nahyane aujourd’hui à alger

    Cette visite intervient comme le point culminant de plusieurs visites de plusieurs responsables émiratis à la tête de délégations d’hommes d’affaires et de responsables de holdings, visites qui ont atteint une vitesse de croisière ces dernières semaines, avec le président de la chambre de commerce et d’industrie d’Abu Dhabi, reçu par le président de la République à la fin du mois de juin dernier.

    Dans son message au président Bouteflika à l’occasion de la fête du 5 Juillet, le président Cheikh Khalifa Ben Zayed Al Nahyane avait émis le vœu de renforcer les relations de coopérations bilatérales et “l’action commune”. Les relations bilatérales entre l’Algérie et les Émirats arabes unis se caractérisent par un extraordinaire flux d’investissements directs, ces dernières années. Particulièrement depuis septembre 2001, les attentats aux États-Unis qui ont fait vite “d’expatrier” les investissements arabes demeurés un moment en quête de placement.
    grâce aux opportunités offertes par l’Algérie qui amorça son ouverture, les capitaux émiratis ont trouvé une place quasiment vierge. Ce qui explique les intentions vite revues à la hausse des investissements. On est ainsi passé de moins de un milliard de dollars à une prévision de 25 milliards de dollars dans divers secteurs, allant de l’énergie à l’industrie, la pétrochimie, les télécoms, l’immobilier, le tourisme et les services. Ces prévisions sont encore revues à la hausse puisque le groupe Emaar a l’intention d’investir jusqu’à 28 milliards de dollars.
    Contrairement aux capitaux occidentaux qui demeurent au stade de promesses, les investisseurs arabes, de manière générale, et les émiratis en particulier sont passés à l’acte en ciblant des secteurs “porteurs”, mais qui sont leur traditionnel créneau. L’immobilier et le tourisme sont néanmoins les plus convoités par tous les groupes. Al Qudra, Emaar, El Gharir, entre autres, comptent rafler tous les marchés disponibles et investir tous les domaines.
    Ce n’est donc pas surprenant que des responsables de la chambre de commerce et d’industrie émiratie aient séjourné deux fois de suite en moins de deux mois en Algérie, et que des délégations, chèque en main, se succèdent à Alger et concrétisent des projets dans des délais relativement plus courts.
    Usant d’une part de ses relations et de ses connaissances personnelles, et de l’autre de l’opportunité de l’ouverture de presque tous les secteurs à l’investissement privé et étranger, le président de la république a réussi à capter les capitaux émiratis rapatriés des États-Unis que le moyen-orient n’a pas pu absorber. L’ampleur des chantiers ouverts en Algérie a suscité un intérêt grandissant de la part des investisseurs arabes qui ont trouvé satisfaction à leur frénésie. Il faut dire aussi qu’en plus du marché vierge, les Émiratis ont trouvé des partenaires expérimentés, à l’image de Sonatrach.
    Par ailleurs, rompus à “l’école” anglo-saxonne et son pragmatisme, les investisseurs et les responsables émiratis attachent moins d’importance au superflu et aux questions politiques ou internes ou accessoires sans lien avec leurs intérêts. Business is business, mais dans les règles. D’où leur credo : “ce que nous avons réalisé à Dubaï, nous pouvons le faire ici.” Il ne s’agit pas d’une simple ambition ou prétention, mais d’actes concrets et de réalisations. Le nombre de projets commencés ou inscrits dénote de cet attrait pour “le chantier” Algérie.
    Et c’est dans ce sens que la visite du président Cheikh Khalifa Ben Zayed Al Nahyane pourrait bien porter la signification d’une caution politique. Elle s’inscrit ainsi sous le signe de “booster les investissements”. Comme elle pourrait constituer un déclic pour les autres investisseurs de la région.

    Djilali B.
    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

  • #2
    j'esper que les chantiers de EEMAR demarerons bientot !
    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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    • #3
      Il faut lui dérouler le tapis rouge , et soyez le bien venu ya sheik ben zeyed zaretna barakka!!!
      ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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      • #4
        Algérie: les investissements au cœur de la visite lundi du président des Emirats à Alger
        Par nacer safer le 15/07/2007 à 19:09

        Le président des Emirats arabes unis, cheikh Khalifa Ben Zayed Al-Nahyane, est attendu lundi à Alger pour une visite d'Etat de deux jours, selon un communiqué de la présidence de la République rendu public aujourd’hui. Cheikh Khalifa effectue cette visite à l'invitation du président Abdelaziz Bouteflika. Les deux hommes entretiennent des relations amicales. Le président émiratis se rend à Alger dans le cadre d’une tournée qui le conduira également en France.

        La concrétisation des investissements émiratis en Algérie devrait figurer au cœur de ce déplacement. En effet depuis quelques années, les groupes des Emirats arabes unis multiplient les annonces sur leurs intentions d’investir dans le pays, notamment dans les secteurs du tourisme et de l’immobilier. Mais peu de projets se sont concrétisés du fait de la persistance des problèmes liés au foncier. Récemment, le gouvernement algérien s’est engagé à fournir des efforts pour mettre fin à cette situation.
        Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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        • #5
          C'est normal, qu'il vient en Algérie, puisque les projets n'avancent pas, et ils doivent se demander ce que fait l' État algérien ? En Libye et au Maroc les projet ont déjà commencé depuis un bon moment.
          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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          • #6
            Dynamiser la coopération algéro-émiratie

            Cheikh Zayed Ibn Sultan Al-Nahyane, président des Emirats arabes unis (EAU), effectuera, à partir d’aujourd’hui, une visite officielle en Algérie, selon les services de communication de la Présidence.
            Cette visite de deux jours, selon des sources officielles, intervient à l'invitation du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika et entre dans le cadre d'une tournée qui conduira Cheikh Zayed Ibn Sultan Al-Nahyane en Syrie et en France. Le président émirati sera accompagné d'une délégation importante, notamment le ministre chargé des Affaires présidentielles et des Affaires étrangères, la ministre de l'Economie et enfin le ministre chargé du Développement du secteur gouvernemental.
            Les deux chefs d'Etat axeront leurs discussions sur le renforcement des relations bilatérales, notamment politiques et économiques, dont l'augmentation des échanges commerciaux. Il sera également question des dossiers d'intérêt commun et les crises qui frappent le monde arabe, dont la question irakienne, la situation en Palestine et au Liban et les différents enjeux mondiaux. Il est à noter que la coopération entre l'Algérie et les Emirats arabes unis est en phase de connaître une nouvelle étape qui sera certainement plus dynamique avec le rapprochement entre les deux chefs d'Etat et l'intérêt manifesté par d'importants groupes économiques émiratis pour investir en Algérie à l'instar de groupe El Qudra, Moubadalete, El Ghourair, Emaar et d'autres. D'ailleurs plusieurs visites ont été effectuées par les hommes d'affaires émiratis pour voir de près le potentiel de l'Algérie, dont celle de la délégation de la Chambre de commerce et d'industrie d'Abu Dhabi, présidée par M. Ben Oumeir El Chammassi, qui a eu également un entretien avec le président Bouteflika.
            Il est à noter que cette visite intervient après la réunion de la commission mixte algéro-émaratie tenue à Alger au mois dernier. Cette quatrième session a été une occasion pour inviter la communauté des hommes d'affaires à traduire la volonté politique des deux Etats par des actes concrets et renforcer les échanges commerciaux et surtout de profiter des opportunités d'investissement qu'offrent les marchés des deux pays. L'Algérie offre aujourd'hui beaucoup d'occasions d'affaires, à travers notamment le plan quinquennal de consolidation de la croissance, qui sera financé exclusivement par l'Etat et auquel le chef de l'Etat a consacré une enveloppe de plus de 150 milliards de dollars. A préciser que les Emiratis sont à Alger avec des projets d'investissement déjà ficelés et qui n'attendent que leur réalisation.
            Pour rappel, l'ex-ministre des Finances, M. Mourad Medelci, avait souligné en marge d'une rencontre d'hommes d'affaires des deux pays tenue au mois de mai dernier, que d'importants investissements sont programmés dans plusieurs secteurs, notamment dans l'immobilier, où les Emiratis comptent investir dans les villes intelligentes de Sidi Abdellah, la construction d'hôtels et des centres d'affaires. Le secteur de l'industrie intéresse également les Emiratis avec des projets dans la pétrochimie, les matériaux de construction et l'agroalimentaire. Une coopération qui sera renforcée aussi par la réalisation d'une usine de médicaments et une autre d'aluminium. Par ailleurs, la première banque émiratie s'installera prochainement en Algérie, une société de capital risque verra aussi le jour et enfin vu leur grand savoir-faire en la matière, les Emirats arabes unis et l'Algérie travaillent sur des projets de coopération dans la gestion portuaire. Il est à préciser que les échanges commerciaux entre les deux pays sont estimés à plus de 700 millions de dollars.
            Nacera C.

            lemaghrebdz
            Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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            • #7
              je crois que cette visite fera avancé les travaux !enfin... sa lancera les travaux prevu !!
              Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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              • #8
                emirate-algerie

                Le forcing des hommes d’affaires émiratis

                Le président des Emirats arabes unis, Cheikh Khalifa Ben Zayed Al-Nahyane, est arrivé, hier, à Alger pour une visite d'Etat de deux jours, à l'invitation du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.

                Une visite qui se présente sous de bons auspices au regard de la qualité des relations politiques qui lient les deux pays et que des analystes attribuent aux bons rapports personnels qu'entretient Bouteflika avec les émirs du Golf et particulièrement des Emirats arabes unis. La coopération est soutenue depuis quelques années par de grands projets d'investissement. Ces efforts ont connu une nouvelle impulsion depuis la réunion de la 4e session de la commission mixte en mai 2006 à Alger - après une rupture de 16 ans - et la tenue de la 5e réunion les 12 et 13 juin 2007 à Abou Dhabi. Les deux pays sont, désormais, liés par 22 documents juridiques couvrant la majorité des domaines de coopération dont l'investissement, l'exonération fiscale, le dessalement de l'eau de mer, l'information, la culture, la jeunesse et les sports et le tourisme. Neuf projets sont actuellement en cours d'examen dans les domaines de l'environnement, la formation professionnelle, les affaires religieuses et les PMI. Au volet commercial, les échanges entre les deux pays ont atteint en 2006 près de 130 millions de dollars, selon les mêmes sources qui ont souligné que "les relations bilatérales seront consolidées dans un avenir proche à travers le renforcement de la coopération en matière de transport aérien et maritime et le parachèvement de la mise sur pied du Conseil mixte des hommes d'affaires des deux pays en application du mémorandum d'entente signé en 2006 entre les deux chambres de commerce et d'industrie des deux pays".
                Concernant l'investissement et le partenariat à la base de la coopération bilatérale, les contacts et les visites effectuées par les hommes d'affaires émiratis en Algérie leur ont permis d'avoir un aperçu sur la situation économique du pays et les possibilités d'investissement qui s'y offrent.
                Un accord a été signé en mars 2007, entre le consortium émirati Mubadala developpement company-Dubai Aluminium (Dubal) et le consortium algérien Sonatrach-Sonelgaz, pour la réalisation à Beni Saf d'un complexe pour la fonte d'aluminium d'un coût global estimé à 5 milliards de dollars, outre l'annonce par le groupe émirati Emaar de grands projets d'investissement dans le domaine de l'énergie électrique et de l'exploration pétrolière et gazière, ainsi que d'autres projets à lancer dans le domaine du ciment, de la construction d'hôpitaux, du tourisme et du bâtiment.
                Ce n'est pas un hasard si, à la veille de cette visite, le Conseil national de l'investissement, se réunissant sous la présidence du chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, a donné son accord pour 7 projets d'investissement initiés en partenariat entre des opérateurs algériens et émiratis. Les projets en question, couvrant les domaines de l'immobilier, le tourisme, l'industrie et d'autres secteurs d'activité seront lancés dans différentes régions du pays.
                Farouk N.
                Dernière modification par kaiser sosi, 17 juillet 2007, 12h18.
                Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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                • #9
                  Les Emiratis tablent sur un investissement concret

                  e président des Emirats arabes unis Cheikh Khalifa Ben Zayed Al Nahyane, a entamé hier sa visite d'Etat de deux jours en Algérie à l'invitation du président de la République.

                  Une visite qui vient raffermir davantage les relations bilatérales entre les deux pays. Jamais la coopération n'a été aussi intense entre l'Algérie et les Emirats arabes unis. Plus que des intentions, c'est une volonté réelle, politique s'entend, de renforcer le partenariat. Les domaines ne manquent pas et, depuis des mois, ils ont été clairement identifiés. Les hommes d'affaires émiratis ont d'ailleurs effectué plusieurs séjours en Algérie. D'où cette volonté de concrétiser les projets retenus. A ce titre, le Conseil national de l'investissement, qui tenu sa 33e session à la veille de la visite du président émirati, a donné son accord pour la réalisation de plusieurs projets d'investissement. Quatre projets concernent les émiratis. Il s'agit du projet de convention entre l'ANDI et la Société algéro-émiratie de promotion immobilière (EMIRAL) pour la réalisation d'un complexe multifonctionnel composé d'un hôtel, d'une résidence et d'un centre commercial. Le deuxième concerne le projet hôtelier Moretti. Cet investissement est projeté par la société Emirates International Investment Compagny (EIIC). Le secteur de la santé n'est pas en reste puisque Emirate Hospital Supplies a eu l'accord pour la construction d'un complexe hospitalier, composé de trois centres spécialisés au niveau de la wilaya d'Alger. Le quatrième projet, quant à lui, sera réalisé par Emirates International Investment Compagny (EIIC), au parc des Grands Vents contribuant ainsi au développement de ce site. C'est dire que les opportunités d'affaires existent. Les hommes d'affaires émiratis ont opéré un véritable forcing ces dernières années. Le montant des investissements à réaliser à moyen terme est considérable. En témoigne le dernier accord signé en mars dernier entre le consortium émirati Mubadala developpement company-Dubai aluminium (Dubal) et le consortium algérien Sonatrach-Sonelgaz pour la réalisation à Beni Saf d'un complexe pour la fonte d'aluminium d'un coût global estimé à 5 milliards de dollars. Un projet de grande envergure d'une capacité de production de 700 000 tonnes dont 80% sont destinées à l'exportation. Ajouter à cela les projets retenus par le groupe Emaar dans divers domaines tels l'énergie électrique, l'exploration pétrolière et gazière, ainsi que d'autres projets à lancer dans le domaine du ciment, de la construction d'hôpitaux, du tourisme et du bâtiment. Le coût global de ces investissements qui verront le jour dans les prochaines années est estimé à quelque 20 milliards de dollars. De quoi booster les investissements en Algérie d'autant que le Forum des hommes d'affaires algéro-émirati est en passe de voir le jour prochainement. Au vu de l'ambition et la volonté de faire de l'Algérie une destination de choix, les Emiratis renforcent de plus en plus leur présence dans le paysage économique de notre pays. Une façon de montrer que l'investissement en Algérie ne se résume plus au seul secteur des hydrocarbures. Les opportunités existent et les hommes d'affaires émiratis sont loin d'être frileux.
                  Abdelghani M.
                  Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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                  • #10
                    Accord cadre avec Emirates International Investment Compagny

                    Développement du parc des Grands Vents


                    Le Conseil national de l'Investissement (CNI) a tenu dimanche sa 33ème réunion au cours de laquelle il a donné son accord pour plusieurs projets d'investissements soumis par des opérateurs émiratis. C'est dans ce contexte que le fonds d'investissement émirati Emirates International Investment Compagny (EIIC) pourra lancer les travaux de réalisation du projet hôtelier Moretti. Le CNI a également donné son feu vert au projet de protocole d'accord, concernant le développement du site dit "parc des Grands Vents" à Alger par la société Emirates International Investment Compagny (EIIC). Pour rappel, le parc des Grands Vents, qui est situé à Dely Brahim à Alger, baptisé Dounia, dispose d'une superficie de 630 hectares, ce qui fera de lui l'un des plus grands espaces verts du monde. En plus d'un jardin italien, le parc des Grands Vents abritera des infrastructures sportives ludiques et culturelles. Certaines de ces infrastructures sont déjà en cours de réalisation, à savoir la clôture du site, la Maison de l'environnement et du développement durable, les retenues collinaires, la passerelle qui fera la jonction entre les deux rives du parc. Aussi, le parc Dounia vient combler un déficit en matière d'espaces verts dont souffre cruellement la capitale qui connaît une incroyable avancée du béton. Ce parc est intégré à plusieurs autres pôles, à savoir le parc de la Concorde, la forêt de Baïnem, le jardin citadin méditerranéen de Bouinan, le parc de Sidi Abdellah, la forêt de Sidi Fredj et Zéralda, et le jardin public de Oued Semmar qui s'étend sur 32 hectares. Concernant le groupe EIIC, celui-ci est un groupe d'investissements direct basé à Abu-Dhabi. Disposant de ressources financières importantes, EIIC investit dans le domaine des télécommunications, rachat d'entreprises, prise de participations, immobilier, et a des projets identifiés en Europe, en Libye et en Algérie. EIIC a déjà marqué une petite présence dans le domaine des télécommunications en Algérie à travers une participation minoritaire de l'ordre de 7,91% des parts d'Orascom Télécom Algérie (OTA). Orascom Télécom Holding a d'ailleurs racheté ces parts au début de l'année en cours pour un montant de 399 millions USD.
                    En France, EIIC possède un peu plus de 3% du capital, ce qui représente un investissement de 1 à 1,1 milliard d'euros, de long terme.
                    Dalila T.
                    Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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                    • #11
                      Les projets d’investissement entrent en phase de réalisation

                      Après l'adoption des résolutions des 31e et 32e sessions, le Conseil national de l'investissement a donné son accord lors de sa 33e session tenue dimanche sous la présidence de chef du gouvernement, M. Abdelaziz Belkhadem, pour le projet de convention entre l'Andi et la société algéro-émiratie de promotion immobilière, par abréviation Emiral, pour la réalisation d'un complexe multifonctionnel composé d'un hôtel, d'une résidence et d'un centre commercial.
                      Une décision qui coïncide avec la visite d'Etat du président des Emirats arabes unies, Cheikh Zaid Ben Sultan Al Nahyane suite à l'invitation du chef de l'Etat, M. Abdelaziz Bouteflika.
                      L'accord du Conseil national d'investissement met fin à la polémique qui a entouré le projet du groupe Emaar et qui faisait état du retrait du groupe émirati à cause de l'indisponibilité du foncier. Il est à noter que ce groupe est considéré parmi les plus grands investisseurs potentiels en Algérie, vient en tête de liste avec une projection d'investissement global estimé à 28 milliards de dollars, répartis sur cinq grands projets. Le président de Emaar, Mohammed Ben Ali Al-Abbar, avait présenté, en juillet 2006, au président Abdelaziz Bouteflika, les maquettes de projets de restructuration urbaine d'Alger.
                      Il est ainsi prévu le réaménagement et l'agrandissement de la gare centrale pour accueillir 80 000 voyageurs par jour, la construction d'un hôtel, d'un centre commercial et de trois tours de bureaux. Un second projet porte sur la construction de marinas, d'hôtels de luxe, de bureaux et d'appartements de haut standing sur le front de mer, face à la baie d'Alger, ainsi que la cité de la santé, la cité technologique de Sidi Abdallah et le complexe touristique Colonel Abbès.
                      Pour un premier travail, le groupe est en train d'installer sa filiale algérienne Emaar Algérie, et certains de ses projets sont en phase de maturation, notamment celui du complexe touristique de Zéralda.
                      Lors de sa visite en Algérie au mois de mai dernier, la ministre émirati de l'Economie, Loubna Alqassimi, a révélé que les projets des groupes Emaar et Nacer en Algérie se dirigent vers une concrétisation effective sur le terrain, soulignant que le coût des projets de "Emaar" a été estimé à 20 milliards de dollars. Aussi, l'exemple du groupe Emaar, qui veut emprunter la destination Algérie, est suivi par plusieurs autres groupes émiratis intéressés par le marché algérien, notamment le groupe Moubadalate qui projette de réaliser une usine d'aluminium à Beni Saf avec un investissement de 5 milliards de dollars, au moment où un autre groupe, en l'occurrence El Qudra, vient prospecter les opportunités d'investissement en Algérie.
                      Nacéra C.
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                      • #12
                        je savais que cette visite aller lancer tout ses projets !!
                        Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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