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Le directeur général de la Coface Algérie, M. Jean-Marc Pons, qui était à la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie (CCIO), hier, pour une journée d’information sur les missions de la Coface, a évoqué la “notation de solvabilité donnée aux entreprises ainsi que la note sur le risque Algérie”. Ainsi, l’intervenant précisera que sur les 8 000 entreprises répertoriées en Algérie, la banque de données de la Coface n’en retient que 3 500 “qui sont vraiment actives…”
Revenant sur la question du classement pour le “risque Algérie” qui, depuis peu, a été revu à la baisse par la Coface, faisant ainsi passer notre pays du classement B à A4, M. Jean-Marc Pons a estimé que c’était là un très bon classement : “L’Algérie est depuis 2006 parmi les meilleurs classements… Elle est passée à un risque maîtrisé…” Et de poursuivre : “La note d’un pays reflète une situation macro et microéconomique et c’est justement le microéconomique qui est le plus important dans la notation du pays…
Le saut qu’a effectué l’Algérie, les étapes importantes enregistrées sont surtout, par exemple, le désendettement qui a permis ce ce bond…”Interrogé sur l’impact que pourrait avoir les scandales de banques privées en Algérie quant à la notation du risque Algérie, l’orateur a estimé qu’en l’état des choses, il n’y a pas vraiment d’incidences. “Tout dépend de l’ampleur…”, lâchera M. Jean-Marc Pons en guise d’explication.
source : Liberté
Revenant sur la question du classement pour le “risque Algérie” qui, depuis peu, a été revu à la baisse par la Coface, faisant ainsi passer notre pays du classement B à A4, M. Jean-Marc Pons a estimé que c’était là un très bon classement : “L’Algérie est depuis 2006 parmi les meilleurs classements… Elle est passée à un risque maîtrisé…” Et de poursuivre : “La note d’un pays reflète une situation macro et microéconomique et c’est justement le microéconomique qui est le plus important dans la notation du pays…
Le saut qu’a effectué l’Algérie, les étapes importantes enregistrées sont surtout, par exemple, le désendettement qui a permis ce ce bond…”Interrogé sur l’impact que pourrait avoir les scandales de banques privées en Algérie quant à la notation du risque Algérie, l’orateur a estimé qu’en l’état des choses, il n’y a pas vraiment d’incidences. “Tout dépend de l’ampleur…”, lâchera M. Jean-Marc Pons en guise d’explication.
source : Liberté