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Bélaid Abdesselam : l’enfer, c’est les autres !

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  • Bélaid Abdesselam : l’enfer, c’est les autres !

    Les regards se tournent inévitablement vers la France où nombre d’apparatchiks du système, et néanmoins citoyens français, font prospérer leurs affaires.
    Cela ne m'étonne pas, ceux qui ont fait souffrir le peuple algérien depuis des décennies sont retournés chez leurs anciens maîtres. Ils s'en sont mis plein les poches pendant que le peuple tirait la langue et avalait leurs discours démagogique.
    ------------------------------------------------------------------------

    Bélaid Abdesselam, ancien Premier ministre sous l’ère du Haut Comité d’Etat, publie ses mémoires. Avec ce livre, disponible en téléchargement sur son site Internet, il entend « rétablir certaines vérités sur treize mois à la tête du gouvernement».

    Abdesselam a choisi de recourir à Internet, le média le plus puissant, pour assurer la meilleure promotion à son ouvrage. L’ancien ministre de l’Industrie sous Boumediene, qui connaît les us et coutumes du sérail politique, ne parle pas pour ne rien dire. Comme de coutume, les hommes du «premier cercle» sont utilisés pour lancer les ballons-sondes destinés à orienter l’opinion lorsqu’un «changement de cap» est mûri «quelque part»…

    Sa proximité affichée avec le président Bouteflika lui a imposé le silence pendant des mois et il a cru utile – peut-être «pour rendre service» !- de s’inviter au débat récurrent sur la «responsabilité historique», l’influence supposée ou avérée de tel ou tel «décideur» sur le cours des événements, souvent tragiques, vécus par l’Algérie.

    En août 1992, il entre dans l’Histoire, certes, par la petite porte, en devenant le premier chef du gouvernement de l’Algérie indépendante à suspendre des journaux. Trois au total : Le Matin, La Nation et El Dazaïr El Youm (l’Algérie Aujourd’hui). Mais, cet épisode liberticide semble relever de l’anecdote dans les rangs d’une corporation qui a donné en sacrifice des dizaines de journalistes pour que le souci de l’honnêteté et la recherche de la vérité prévalent sur l’oukase et la compromission.

    A ceux qui croyaient - pauvres benêts !- que l’Algérie et les Algériens s’étaient affranchis de la tutelle coloniale, Abdesselam assène ses certitudes : les manifestations populaires du printemps 2001 en Kabylie, puis leur répression sauvage n’avaient rien de spontané et seraient l’œuvre de la funeste «main étrangère» responsable de tous nos maux dans la bouche de… nos responsables à l’heure de la retraite!

    Les regards se tournent inévitablement vers la France où nombre d’apparatchiks du système, et néanmoins citoyens français, font prospérer leurs affaires. Une «traversée du désert» paisible en bords de Seine, il n’y a rien de tel pour vous requinquer un ex-futur gouvernant promis à un grand destin politique.

    En attendant, on peut pérorer sans fin sur le sort d’un pays adulé quand il distribue privilèges et prébendes ; honni il ne reconnaît pas les «mérites» et la «science infuse»…

    Par said kaced
    19/07/2007 Tout sur l'Algérie

    POUR RÉTABLIR CERTAINES VÉRITÉS SUR TREIZE MOIS À LA TÊTE DU GOUVERNEMENT
    http://www.belaidabdesselam.com/?page_id=6
    Dernière modification par zek, 19 juillet 2007, 08h41.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    Si je comprend bien certains "décideurs et hommes importants" de l'algérie de l'époque du tout-pourri ("élus et hauts-fonctionnaires militaro-civils"... ) essayent de soulager leur petite conscience.

    Même s'il faut dire qu'il est toujours important et surtout salutaire de dénoncer les ordures et autres chacals galeux mais force est de faire remarquer qu'il fallait faire preuve de courage à l'époque et résister à ces vautours et traitres.

    Aujourd'hui le plus efficace serait de les traduire en justice (et qu'elle frappe fort), de leur saisir tout leur "butin" volé au peuple.Ce ne serait que justice en fait.La moindre des choses.

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    • #3
      Je ne sais pas s'il vont le laisser ou pas, en tout cas voilà le commentaire que j'ai envoyé sur son blog!!!

      # Dalhocine dits: Votre commentaire est en attente de modération.
      19 juillet 2007 à 18:58

      Bonjour!

      Dès que j’ai commencé à lire le livre de notre illustre Belaid, je suis tombé sur le sommaire où il est question de lutte contre la corruption!!! Je m’avisai donc de lancer une recherche dans le livre (322 pages quand même) des termes “El Paso” et à aucun moment ces termes ne reviennent dans le “livre” de Si Bélaid!!! Ceux qui savent ce qu’est l’affaire “El paso” me comprendront!!!
      Ya si Belaid!!!
      Arrêtez de prendre les Algériens pour des débiles!!! qui croyez-vous duper avec votre torchon!!!Vous ne croyez pas que vous avez l’âge de la retraite??? C’est quand même incroyable!! les Khorotos veulent aller du Koursi au cimetière!!!
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Les Droles de Cocos

        Faudrait qu'il nous parle de l'industrie industrialisante qu'il a mis en place sous le temps de feu ou fou Boumédienne.
        bOnNe rEfLeXiOn!!!

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        • #5
          l'industrie industrialisante, usine clef en main, qui n'a servi qu'a toucher de grosses commissions pour les barrons de l'époque.
          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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          • #6
            En fait C t'un livre où il règle C compte rien de plus, en fait Belaïd Abdeslam était dépassé par les enjeux, et son livre montre que juska aujourd'hui il a du mal a comprendre .
            Dernière modification par éliamine, 30 août 2013, 10h14.

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