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Comme à l’accoutumée, pour commémorer le 45ème anniversaire de la police algérienne, un riche programme et varié a été établi par les services de la Sûreté de wilaya d’Alger (SWA) durant la journée d’hier.
Ayant pour principale mission d’assurer la sécurité des personnes et des biens des personnes, la police algérienne, qui s’est mis depuis quelques années, au diapason de la modernité et des nouvelles technologies, fait dans la prévention et ce, en essayant d’impliquer le plus possible les citoyens, notamment la société civile dans le combat contre la criminalité et la délinquance juvénile qui ne cessent de prendre de l’ampleur.
Pour démontrer le rôle primordial que peut jouer la société civile dans la prévention contre la criminalité au sein de la société algérienne, la SWA a organisé à la salle El Mouggar une conférence sous le thème «Le rôle de la société civile dans la prévention contre le crime». Dans son intervention, le commissaire principal Rachid Boulemallah, chargé de la formation mettra en exergue la nouvelle politique de lutte contre le crime mise en place par la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN).
Une politique basée sur le renforcement des effectifs de la police, l’installation de caméras de surveillance au niveau des grandes villes, l’intensification du travail de proximité, l’organisation des conférences, des colloques et des portes ouvertes.
Tout cet éventail de mesures ne suffira pas pour contrecarrer une criminalité dont la courbe reste ascendante, et cela la police l’avait compris. Partant du principe l’union fait la force, la police algérienne à travers la DGSN multiplie les appels vers la société civile, plus proche du citoyen, pour travailler en commun et mettre en place une stratégie nationale ou un observatoire de prévention contre le crime.
Considérée comme une force de proposition et génératrice des idées, la société civile, selon le conférencier, doit s’impliquer davantage dans ce combat car la sécurité est l’affaire de tout un chacun. Continuant sa déclaration, le représentant de la SWA invitera également les autorités locales et les comités de quartiers à travailler le plus possible avec les services de la police pour éradiquer, un tant soit peu, les phénomènes de la toxicomanie, de la contrebande, les atteintes aux biens et aux personnes.
Le souci de faire participer la société civile et de l’intégrer dans cette lutte démontre que la police algérienne moderne est sortie du monopole de la sécurité et ce, en se basant sur le principe que la sécurité appartient à tous pour le bien de tous, d’autant plus que tous les indicateurs favorisant l’évolution du crime en Algérie sont au rouge. Une stratégie nationale pour la lutte contre la délinquance est plus qu’urgente pour mettre un terme à la violence grandissante.
Dans son programme, une exposition sur les missions de la SWA a été organisée au niveau du hall de Riadh El Feth. Entre police scientifique, police judiciaire, service de sécurité publique, service de la sécurité routière, les URS et la salle des opérations.
elmoujahid
Ayant pour principale mission d’assurer la sécurité des personnes et des biens des personnes, la police algérienne, qui s’est mis depuis quelques années, au diapason de la modernité et des nouvelles technologies, fait dans la prévention et ce, en essayant d’impliquer le plus possible les citoyens, notamment la société civile dans le combat contre la criminalité et la délinquance juvénile qui ne cessent de prendre de l’ampleur.
Pour démontrer le rôle primordial que peut jouer la société civile dans la prévention contre la criminalité au sein de la société algérienne, la SWA a organisé à la salle El Mouggar une conférence sous le thème «Le rôle de la société civile dans la prévention contre le crime». Dans son intervention, le commissaire principal Rachid Boulemallah, chargé de la formation mettra en exergue la nouvelle politique de lutte contre le crime mise en place par la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN).
Une politique basée sur le renforcement des effectifs de la police, l’installation de caméras de surveillance au niveau des grandes villes, l’intensification du travail de proximité, l’organisation des conférences, des colloques et des portes ouvertes.
Tout cet éventail de mesures ne suffira pas pour contrecarrer une criminalité dont la courbe reste ascendante, et cela la police l’avait compris. Partant du principe l’union fait la force, la police algérienne à travers la DGSN multiplie les appels vers la société civile, plus proche du citoyen, pour travailler en commun et mettre en place une stratégie nationale ou un observatoire de prévention contre le crime.
Considérée comme une force de proposition et génératrice des idées, la société civile, selon le conférencier, doit s’impliquer davantage dans ce combat car la sécurité est l’affaire de tout un chacun. Continuant sa déclaration, le représentant de la SWA invitera également les autorités locales et les comités de quartiers à travailler le plus possible avec les services de la police pour éradiquer, un tant soit peu, les phénomènes de la toxicomanie, de la contrebande, les atteintes aux biens et aux personnes.
Le souci de faire participer la société civile et de l’intégrer dans cette lutte démontre que la police algérienne moderne est sortie du monopole de la sécurité et ce, en se basant sur le principe que la sécurité appartient à tous pour le bien de tous, d’autant plus que tous les indicateurs favorisant l’évolution du crime en Algérie sont au rouge. Une stratégie nationale pour la lutte contre la délinquance est plus qu’urgente pour mettre un terme à la violence grandissante.
Dans son programme, une exposition sur les missions de la SWA a été organisée au niveau du hall de Riadh El Feth. Entre police scientifique, police judiciaire, service de sécurité publique, service de la sécurité routière, les URS et la salle des opérations.
elmoujahid
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