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Bonsoir
Genève – «Maximus», un chien d’attaque, avait été mis sous séquestre en août 2006 sur décision du vétérinaire cantonal.
Le molosse, un Presa Canario de 4 ans, attendait la mort dans les couloirs de la fourrière cantonale depuis près d’un an. Le 5 juillet dernier, le Tribunal fédéral a sauvé la vie de l’animal qui, depuis, a disparu de la fourrière! «Maximus», c’était un gros pépère» lâche un habitué des chiens. Un pépère dont le propriétaire ne se gênait pas pour dire à l’office vétérinaire «qu’après 20 ans de taule, il était capable de tuer». Un pépère impliqué dans trois incidents, dont la morsure à la cuisse d’un gendarme. Une semaine après avoir séquestré l’animal, l’Office vétérinaire ordonnait son euthanasie. Son maître, interdit de détenir un chien pour une durée indéterminée, recourait contre la décision. Si aujourd’hui, les juges de Lausanne accordent sa grâce à «Maximus», c’est parce que l’évaluation du service vétérinaire n’a pas été faite dans les règles. Le Tribunal fédral se demande aussi si ce n’est pas davantage «l’inaptitude du détenteur que le caractère du chien qui doit être mis en cause». Une évaluation a été ordonnée. Si celle-ci confirme l’euthanasie, la procédure suivra son cours. Sinon, le molosse sera remis à une société de protection des animaux ou à une société cynologique. Pour autant que d’ici là, on ait réussi à retrouver «Maximus».
http://www.youtube.com/watch?v=u_PGm0p64bU
20 minutes
Genève – «Maximus», un chien d’attaque, avait été mis sous séquestre en août 2006 sur décision du vétérinaire cantonal.
Le molosse, un Presa Canario de 4 ans, attendait la mort dans les couloirs de la fourrière cantonale depuis près d’un an. Le 5 juillet dernier, le Tribunal fédéral a sauvé la vie de l’animal qui, depuis, a disparu de la fourrière! «Maximus», c’était un gros pépère» lâche un habitué des chiens. Un pépère dont le propriétaire ne se gênait pas pour dire à l’office vétérinaire «qu’après 20 ans de taule, il était capable de tuer». Un pépère impliqué dans trois incidents, dont la morsure à la cuisse d’un gendarme. Une semaine après avoir séquestré l’animal, l’Office vétérinaire ordonnait son euthanasie. Son maître, interdit de détenir un chien pour une durée indéterminée, recourait contre la décision. Si aujourd’hui, les juges de Lausanne accordent sa grâce à «Maximus», c’est parce que l’évaluation du service vétérinaire n’a pas été faite dans les règles. Le Tribunal fédral se demande aussi si ce n’est pas davantage «l’inaptitude du détenteur que le caractère du chien qui doit être mis en cause». Une évaluation a été ordonnée. Si celle-ci confirme l’euthanasie, la procédure suivra son cours. Sinon, le molosse sera remis à une société de protection des animaux ou à une société cynologique. Pour autant que d’ici là, on ait réussi à retrouver «Maximus».
http://www.youtube.com/watch?v=u_PGm0p64bU
20 minutes