Des sources de presse françaises et internationales (le quotidien économique La Tribune et l’agence Dow Jones) affirment aujourd’hui que le gouvernement algérien est opposé à une alliance entre Sonatrach et Gaz de France (GDF), comme le souhaite le président Nicolas Sarkozy.
Les dirigeants de Sonatrach seraient également hostiles à un tel rapprochement. Des sources proches du dossier, citées par La Tribune, affirment en effet que la compagnie nationale des hydrocarbures n'a nullement besoin de s'adosser à un groupe étranger pour assurer la vente de son gaz en Europe. « Les alliances exclusives nous ne intéressent pas. Nous sommes pour des partenariats commerciaux gagnant- gagnant. Aujourd'hui, nous n'avons pas besoin des compagnies françaises pour vendre notre gaz en Europe», affirme dans La Tribune un haut responsable de la compagnie publique, qui a requis l’anonymat.
Depuis quelques semaines, les Algériens, pour justifier leur refus de toute alliance exclusive avec un groupe européen, assurent que les fournitures européennes en gaz ont toujours été assurées, même pendant les années où le terrorisme déchirait le pays. Alger souhaite garder le contrôle de sa compagnie gazière dont les revenus représentent, il est vrai, 98% des recettes du pays en devises.
toutsurlalgerie
Les dirigeants de Sonatrach seraient également hostiles à un tel rapprochement. Des sources proches du dossier, citées par La Tribune, affirment en effet que la compagnie nationale des hydrocarbures n'a nullement besoin de s'adosser à un groupe étranger pour assurer la vente de son gaz en Europe. « Les alliances exclusives nous ne intéressent pas. Nous sommes pour des partenariats commerciaux gagnant- gagnant. Aujourd'hui, nous n'avons pas besoin des compagnies françaises pour vendre notre gaz en Europe», affirme dans La Tribune un haut responsable de la compagnie publique, qui a requis l’anonymat.
Depuis quelques semaines, les Algériens, pour justifier leur refus de toute alliance exclusive avec un groupe européen, assurent que les fournitures européennes en gaz ont toujours été assurées, même pendant les années où le terrorisme déchirait le pays. Alger souhaite garder le contrôle de sa compagnie gazière dont les revenus représentent, il est vrai, 98% des recettes du pays en devises.
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