La darbouka daterait de 1100 avant J.-C. Elle est fabriquée en terre cuite, en métal (aluminium) ou plus rarement en bois et est recouverte d'une peau animale (généralement mouton, chèvre ou poisson) ou de plastique. Les peaux en animal nécessitent d'êtres chauffées afin d'obtenir une tension correcte avant utilisation. La peau se chauffe généralement en frottant la paume de la main sur celle-ci et, si possible, en la plaçant devant une source de chaleur intense (flammes, braises). Dans les pays africains, certaines personnes utilisent le sable pour tendre la peau des darboukas et des bendirs.
Alors que les corps en céramique sont souvent considérés comme produisant le meilleur son, les corps métalliques et en peaux synthétiques sont généralement préférés par les professionnels, du fait de leur solidité (donc longévité), et la relative indépendance de leur son vis-à-vis des conditions climatiques (humidité). De plus, les darboukas en matériaux modernes produisent un son plus puissant et plus clair, ce qui les rend plus attrayantes dans les musiques modernes.
En pratique, les drebkis (joueurs de darbouka) utilisent des instruments différents, tantôt un instrument plus traditionnel, tantôt plus moderne, en fonction du contexte musical et du timbre désiré.
Alors que les corps en céramique sont souvent considérés comme produisant le meilleur son, les corps métalliques et en peaux synthétiques sont généralement préférés par les professionnels, du fait de leur solidité (donc longévité), et la relative indépendance de leur son vis-à-vis des conditions climatiques (humidité). De plus, les darboukas en matériaux modernes produisent un son plus puissant et plus clair, ce qui les rend plus attrayantes dans les musiques modernes.
En pratique, les drebkis (joueurs de darbouka) utilisent des instruments différents, tantôt un instrument plus traditionnel, tantôt plus moderne, en fonction du contexte musical et du timbre désiré.
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