Poeme inspiré de la fameuse chanson de Claude Barzotti belle:
Que toutes les tiges et les pétales, lèvent encre, lèvent les voiles.
Pour qu'enfin se dévoile, de loin ta beauté comme l'éclat des étoiles.
Belle:
A ne plus savoir ce qu'est aimer,avant ce jour avant cet âge.
A envelopper mon cœur de ton amour, de ton sourire, de ton image.
A vouloir faire tourner la terre, vers tes rayons, vers ton sillage.
A vouloir traverser toutes les mers, pour te rejoindre à la nage.
Belle:
A ne savoir si c'est la lune qui brille de ta lumière, si c'est ton visage.
Qui illumine toute la terre, si j'ai menti, si je suis sage !.
De vouloir décrire ta beauté, avec des mots, remplir des pages.
Sans pouvoir estimer ta valeur, à mon avis une rude tâche.
Belle:
Si les poètes se bousculaient, et ta beauté contempleraient.
De loin est-ce ou de près!.
Plus qu'émerveillés, ils le seraient.
Que de leurs génies, de leurs talents, et qu'ils aient le temps tout le temps.
Et que leurs langues soient dénouées, et que leurs vers libérés.
Telle une tornade, telle une cascade, des mots qui soufflent, d'autres qui coulent.
Seulement ta beauté est tellement belle, tel un diamant sur une étoffe.
Et que leurs vers si majestueux, par ton éclat, elle les étouffe.
Car quelque soient leurs qualités, pour te décrire et leurs facultés.
Ils ne pourraient, puisque impossible que ta beauté leur soient une cible.
Belle:
Pardonnez-moi si j'ai tant écrit, et sur ta beauté je n'ai rien su dire.
Pardonnez-moi toutes ces conneries, un délit sont et un délire.
C'est un cauchemar si je puis dire, que mon stylo devrait pour cause agonir.
Et que je devrais fuir, quelque parts, vers le passé, vers l'avenir.
Pardonnez-moi de telles paroles de telles passages, qui me torturent me dévisagent.
Qui en disent long sur ma façon, de te voir, t'apprécier, de te sentir.
Et qui me font mal au plus profond, mon amour noble sans mentir.
Un amour pur qui échoua, sur ta beauté sur tes rivages.
Pardonnez-moi, ma fée mon ange, pardonnez-moi mon rêve et mon songe
Si je n'ai pas su être la, par mon esprit, le bruit de mes pats.
Car près de toi, très près de moi, dans ton jardin mon paradis.
Excusez-moi, pardonnez-moi, j'étais là un jour, je serais parti.
SIN et SAIN
ORIFARDI
Que toutes les tiges et les pétales, lèvent encre, lèvent les voiles.
Pour qu'enfin se dévoile, de loin ta beauté comme l'éclat des étoiles.
Belle:
A ne plus savoir ce qu'est aimer,avant ce jour avant cet âge.
A envelopper mon cœur de ton amour, de ton sourire, de ton image.
A vouloir faire tourner la terre, vers tes rayons, vers ton sillage.
A vouloir traverser toutes les mers, pour te rejoindre à la nage.
Belle:
A ne savoir si c'est la lune qui brille de ta lumière, si c'est ton visage.
Qui illumine toute la terre, si j'ai menti, si je suis sage !.
De vouloir décrire ta beauté, avec des mots, remplir des pages.
Sans pouvoir estimer ta valeur, à mon avis une rude tâche.
Belle:
Si les poètes se bousculaient, et ta beauté contempleraient.
De loin est-ce ou de près!.
Plus qu'émerveillés, ils le seraient.
Que de leurs génies, de leurs talents, et qu'ils aient le temps tout le temps.
Et que leurs langues soient dénouées, et que leurs vers libérés.
Telle une tornade, telle une cascade, des mots qui soufflent, d'autres qui coulent.
Seulement ta beauté est tellement belle, tel un diamant sur une étoffe.
Et que leurs vers si majestueux, par ton éclat, elle les étouffe.
Car quelque soient leurs qualités, pour te décrire et leurs facultés.
Ils ne pourraient, puisque impossible que ta beauté leur soient une cible.
Belle:
Pardonnez-moi si j'ai tant écrit, et sur ta beauté je n'ai rien su dire.
Pardonnez-moi toutes ces conneries, un délit sont et un délire.
C'est un cauchemar si je puis dire, que mon stylo devrait pour cause agonir.
Et que je devrais fuir, quelque parts, vers le passé, vers l'avenir.
Pardonnez-moi de telles paroles de telles passages, qui me torturent me dévisagent.
Qui en disent long sur ma façon, de te voir, t'apprécier, de te sentir.
Et qui me font mal au plus profond, mon amour noble sans mentir.
Un amour pur qui échoua, sur ta beauté sur tes rivages.
Pardonnez-moi, ma fée mon ange, pardonnez-moi mon rêve et mon songe
Si je n'ai pas su être la, par mon esprit, le bruit de mes pats.
Car près de toi, très près de moi, dans ton jardin mon paradis.
Excusez-moi, pardonnez-moi, j'étais là un jour, je serais parti.
SIN et SAIN
ORIFARDI
Commentaire