Wafa declare « La vie devient dure pour moi, Je suis perdue. Je suis américaine. Je veux vivre ici (new York). C'est ma patrie. Je suis née ici. Dieu m'a béni avec ce passeport (américain) de liberté
Wafa est la nièce d'Oussama Ben Laden. Elle vient de poser nue pour le magazine masculin américain GQ (le numéro de janvier 2006).
Sa mère Carmen Dufour, mi-iranienne mi-suissesse, est séparée de Islam Ben Laden le demi-frère d'Oussama.
Wafa affirme n'avoir jamais rencontré son oncle Oussama ben Laden, et refuse toute la publicité faite autour de son nom. Dans une interview à la BBC elle a déclaré que son grand père avait 22 femmes. Qu’elle a 53 oncles et tantes, 300 cousins. «C'est une famille de plus de 400 personnes de quoi monter un village », « Il y a environ 400 personnes qui sont reliées à bin Laden, mais on n'en parle pas, parce qu'elles vivent en Arabie Saoudite. Moi, je suis la seule qui mène une vie publique en Occident". a-t-elle ajouté
« La vie devient dure pour moi, Je suis perdue. Je suis américaine. Je veux vivre ici (new York). C'est ma patrie. Je suis née ici. Dieu m'a béni avec ce passeport (américain) de liberté. Mais à cause de mon nom, le monde occidental me déteste. Et parce que j'ai choisi la vie à l’occidentale, les saoudiens me détestent. Ma mère a vécu en Arabie saoudite pendant cinq ans, et pour 15 ans elle a lutté pour un divorce. » a-t-elle continué.
Ayant vécu sa pleine émancipation en Suisse, Carmen sa mère se retrouve complètement acculturée en terre d'Arabie Saoudite. Elle s'enfuit alors avec ses filles vers la Suisse, en pleins événements du 11 septembre. La vie souhaitée en Suisse n'est pas non plus reluisante. Elle traîne le nom de son mari comme un boulet. Elle reçoit même des menaces de mort:
Elle a écrit un livre choc « Le voile déchiré » dans lequel elle s’explique :
"Moi qui m'étais battue pour défendre ma liberté, pour protéger mes filles d'une culture impitoyable qui annihilait leur esprit, leurs visages et leur voix, je me voyais soudain contrainte de me justifier, d'essuyer des menaces de mort. Car, enfin, comment distingue-t-on un Bin Ladin d'un autre ? Personne ne peut plus se sentir en sécurité désormais. Mes filles et moi moins que quiconque. J'ai vécu au sein du clan, je connais la société saoudienne, et j'ai peur pour l'avenir"
source: style.com
Wafa est la nièce d'Oussama Ben Laden. Elle vient de poser nue pour le magazine masculin américain GQ (le numéro de janvier 2006).
Sa mère Carmen Dufour, mi-iranienne mi-suissesse, est séparée de Islam Ben Laden le demi-frère d'Oussama.
Wafa affirme n'avoir jamais rencontré son oncle Oussama ben Laden, et refuse toute la publicité faite autour de son nom. Dans une interview à la BBC elle a déclaré que son grand père avait 22 femmes. Qu’elle a 53 oncles et tantes, 300 cousins. «C'est une famille de plus de 400 personnes de quoi monter un village », « Il y a environ 400 personnes qui sont reliées à bin Laden, mais on n'en parle pas, parce qu'elles vivent en Arabie Saoudite. Moi, je suis la seule qui mène une vie publique en Occident". a-t-elle ajouté
« La vie devient dure pour moi, Je suis perdue. Je suis américaine. Je veux vivre ici (new York). C'est ma patrie. Je suis née ici. Dieu m'a béni avec ce passeport (américain) de liberté. Mais à cause de mon nom, le monde occidental me déteste. Et parce que j'ai choisi la vie à l’occidentale, les saoudiens me détestent. Ma mère a vécu en Arabie saoudite pendant cinq ans, et pour 15 ans elle a lutté pour un divorce. » a-t-elle continué.
Ayant vécu sa pleine émancipation en Suisse, Carmen sa mère se retrouve complètement acculturée en terre d'Arabie Saoudite. Elle s'enfuit alors avec ses filles vers la Suisse, en pleins événements du 11 septembre. La vie souhaitée en Suisse n'est pas non plus reluisante. Elle traîne le nom de son mari comme un boulet. Elle reçoit même des menaces de mort:
Elle a écrit un livre choc « Le voile déchiré » dans lequel elle s’explique :
"Moi qui m'étais battue pour défendre ma liberté, pour protéger mes filles d'une culture impitoyable qui annihilait leur esprit, leurs visages et leur voix, je me voyais soudain contrainte de me justifier, d'essuyer des menaces de mort. Car, enfin, comment distingue-t-on un Bin Ladin d'un autre ? Personne ne peut plus se sentir en sécurité désormais. Mes filles et moi moins que quiconque. J'ai vécu au sein du clan, je connais la société saoudienne, et j'ai peur pour l'avenir"
source: style.com
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