Les Ouléma du Maroc condamnent les actes criminels du 16 mai dernier, dont l'objectif était de porter atteinte à la sérénité d'une ville paisible et d'attenter à la vie de ses habitants croyants. Cette ville qui abrite la Mosquée Hassan II, haut lieu de spiritualité et de recueillement qui, dans toute sa splendeur, témoigne que "le Maroc a toujours été tout au long de son histoire un espace de tolérance et de fraternité, résolument engagé sur la voie de la vertu et de la dévotion, entre les peuples de la terre", ont-ils souligné.
Ces actes barbares, qui ont fait couler le sang des innocents, rendu orphelins et veuves enfants et femmes, engendrant, par la même, des dégâts matériels, suscitent de la part de tous, condamnation, répulsion et malédiction".
Les Ouléma du Maroc avaient exprimé, dans un communiqué rendu public auparavant, "le point de vue de l'Islam vis-à-vis de ce comportement étranger à notre société, nos valeurs et nos traditions"
Ni l'infirmité, ni la vieillesse n'ont empêché les marcheurs de battre le pavé au rythme de cette impressionnante manifestation qui a réuni plus de deux millions de personnes. Tous ont voulu marquer le coup et exprimer leur condamnation de toutes formes de violence. "Je suis venu de Derb Laafou, à l'ancienne Médina, un des lieux secoués par le terrorisme pour crier ma colère contre ses actes bannis par Allah", a déclaré à la MAP, Lahcen Arsalane, 82 ans."Ils ont privé des enfants de leur joie de vivre et ont semé la tristesse et la désolation dans les coeurs de plusieurs familles", a-t-il déploré.
Pour Brahim Eddalia, 87 ans, "celui qui ne porte pas son pays, sa religion et sa famille dans son coeur n'est pas un être humain"', exprimant sa joie de participer à cette marche mémorable qui consacre l'unité de la nation et qui lui rappelle une marche imposante à laquelle il avait pris part pour l'indépendance du Maroc. "Malgré la vieillesse de mes os, je participe aujourd'hui à cette marche pour dire aux terroristes : Laissez nos petits enfants en paix".
Autres participants à cette marche dédiée à la tolérance et la paix, les habitants du quartier tomas, le quartier d'où sont issus les kamikazes, auteurs des attentats du 16 mai. Ils étaient nombreux à dénoncer vivement ces actes terroristes qui "ont entaché la réputation de leur quartier". L'un de ces jeunes garçons et filles qui scandaient des slogans comme "le terrorisme ne nous impressionne pas", a souligné que "notre pays jouit depuis 14 siècles de la stabilité et de la paix sociale et nous ne permettrons jamais à quiconque de porter atteinte à ces valeurs et acquis.
Avec un sens profond de patriotisme mêlé à un sentiment de rejet de tout acte terrorise, les Marocains ont entonné, dimanche d'une seule voix, leur refus catégorique du terrorisme et de l'obscurantisme, lors de la marche de Casablanca contre le terrorisme.
j'ai melé plusieurs articles....
Alors que pensez vous de l'acte terroriste commis à Casablanca contre,je le rappelle, un restaurant espagnol 'la casa de espana" un restaurant italien et un hotel "el farah"...l'attentat terrotiste avait fait un bilan de 42 morts..
Merci
Ces actes barbares, qui ont fait couler le sang des innocents, rendu orphelins et veuves enfants et femmes, engendrant, par la même, des dégâts matériels, suscitent de la part de tous, condamnation, répulsion et malédiction".
Les Ouléma du Maroc avaient exprimé, dans un communiqué rendu public auparavant, "le point de vue de l'Islam vis-à-vis de ce comportement étranger à notre société, nos valeurs et nos traditions"
Ni l'infirmité, ni la vieillesse n'ont empêché les marcheurs de battre le pavé au rythme de cette impressionnante manifestation qui a réuni plus de deux millions de personnes. Tous ont voulu marquer le coup et exprimer leur condamnation de toutes formes de violence. "Je suis venu de Derb Laafou, à l'ancienne Médina, un des lieux secoués par le terrorisme pour crier ma colère contre ses actes bannis par Allah", a déclaré à la MAP, Lahcen Arsalane, 82 ans."Ils ont privé des enfants de leur joie de vivre et ont semé la tristesse et la désolation dans les coeurs de plusieurs familles", a-t-il déploré.
Pour Brahim Eddalia, 87 ans, "celui qui ne porte pas son pays, sa religion et sa famille dans son coeur n'est pas un être humain"', exprimant sa joie de participer à cette marche mémorable qui consacre l'unité de la nation et qui lui rappelle une marche imposante à laquelle il avait pris part pour l'indépendance du Maroc. "Malgré la vieillesse de mes os, je participe aujourd'hui à cette marche pour dire aux terroristes : Laissez nos petits enfants en paix".
Autres participants à cette marche dédiée à la tolérance et la paix, les habitants du quartier tomas, le quartier d'où sont issus les kamikazes, auteurs des attentats du 16 mai. Ils étaient nombreux à dénoncer vivement ces actes terroristes qui "ont entaché la réputation de leur quartier". L'un de ces jeunes garçons et filles qui scandaient des slogans comme "le terrorisme ne nous impressionne pas", a souligné que "notre pays jouit depuis 14 siècles de la stabilité et de la paix sociale et nous ne permettrons jamais à quiconque de porter atteinte à ces valeurs et acquis.
Avec un sens profond de patriotisme mêlé à un sentiment de rejet de tout acte terrorise, les Marocains ont entonné, dimanche d'une seule voix, leur refus catégorique du terrorisme et de l'obscurantisme, lors de la marche de Casablanca contre le terrorisme.
j'ai melé plusieurs articles....
Alors que pensez vous de l'acte terroriste commis à Casablanca contre,je le rappelle, un restaurant espagnol 'la casa de espana" un restaurant italien et un hotel "el farah"...l'attentat terrotiste avait fait un bilan de 42 morts..
Merci
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