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C’est une performance pour le personnel hospitalier des quatre secteurs sanitaires de la wilaya de Djelfa. Malgré la recrudescence des piqûres de scorpions durant la même période par rapport à 2006 passant de 1 301 à 1 461 piqûres et l’enregistrement de 7 à 2 décès pour cette année.
Pour ces deux derniers, le premier est une vieille de 80 ans qui la chaleur aidant conjuguée au retard de transfert du milieu rural vers l’hôpital de Messaâd et pour le second, un garçon de 14 ans à Sidi Laadjel transféré tardivement sur le secteur sanitaire dans un état comateux selon le DSP. D’ailleurs, le secteur sanitaire d’Aïn Ouessara reste le plus infecté par le scorpion dit «tueur d’enfant» avec 722 piqûres et 1 décès, suivi de Messaâd avec 333 piqûres et 1 décès en troisième position Hassi-Bahbah avec 242 personnes sauvées et enfin Djelfa avec 164 personnes sauvées.
Actuellement certaines communes jusque-là non couvertes médicalement viennent d’être pourvues par des médecins cubains qui auront à traiter sur place les victimes du scorpion.
C’est ce qui fera gagner du temps et des vies. Il reste cependant, à rappeler que les secteurs sanitaires ne sont que des réceptacles où la vie humaine a une grande valeur et que les hospitaliers tentent parfois l’impossible pour la sauver.
L’hygiène publique est du ressort des collectivités locales. Car le scorpion prolifère dans les dépôts d’ordures non enlevés et autres mares d’égouts éclatés.
Par La nouvelle République
Pour ces deux derniers, le premier est une vieille de 80 ans qui la chaleur aidant conjuguée au retard de transfert du milieu rural vers l’hôpital de Messaâd et pour le second, un garçon de 14 ans à Sidi Laadjel transféré tardivement sur le secteur sanitaire dans un état comateux selon le DSP. D’ailleurs, le secteur sanitaire d’Aïn Ouessara reste le plus infecté par le scorpion dit «tueur d’enfant» avec 722 piqûres et 1 décès, suivi de Messaâd avec 333 piqûres et 1 décès en troisième position Hassi-Bahbah avec 242 personnes sauvées et enfin Djelfa avec 164 personnes sauvées.
Actuellement certaines communes jusque-là non couvertes médicalement viennent d’être pourvues par des médecins cubains qui auront à traiter sur place les victimes du scorpion.
C’est ce qui fera gagner du temps et des vies. Il reste cependant, à rappeler que les secteurs sanitaires ne sont que des réceptacles où la vie humaine a une grande valeur et que les hospitaliers tentent parfois l’impossible pour la sauver.
L’hygiène publique est du ressort des collectivités locales. Car le scorpion prolifère dans les dépôts d’ordures non enlevés et autres mares d’égouts éclatés.
Par La nouvelle République
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