Je voudrais vous faire part d’une discussion que j’ai tenu avec mes amis au mois d’Avril dernier en Kabylie. Et sans avoir la prétention de ressembler aux personnages de Platon, cette dernière était d’une profondeur à vous donner un vertige cérébral. Bien que les « Burnous » blancs et sales nous donnaient un air de philosophes, le fumier dans nos ongles nous trahissait. Sans parler du manque de sophistication que le tabac a chiqué (Chema) vous donne quand on conjuque les verbes au Passé composé.
Avant cela, je vous livre mon opinion sur ce que je pense de la femme. Je crois de tout mon être que la femme est incapable des atrocités qui sont commises tous les jours à travers le globe. Je maintiens et persiste même a dire, qu’une société où la femme ne prend pas un rôle active est une société vouée a l’échec. L’absence de la femme dans une société provoque un déséquilibre irréconciliable.
Les « mauvaises » langues vont dire que « je brosse le poil dans le bon sens », mais je m’adresse aux « bonnes » oreilles. La femme est dépourvue de cruauté, quand elle essaye de l’être, elle échoue misérablement. Tandis que chez l’homme, la cruauté est monnaie courante. Et je prends comme « témoin » l’histoire de l’humanité. Avant de vous soumettre la question que j’ai posé à mes amis, laissez-moi vous livrer le décor, car il est important et surtout, il accompagne merveilleusement cette dernière.
Alors voici la scène :
Une maison centenaire Kabyle, inhabitée depuis plus de trente ans. Ses propriétaires sont allés chercher fortune dans les grandes villes qu’ils n’ont jamais trouvée. En faisant cela, ils ont appauvris leurs enfants de la beauté dont la nature leur a fait concession. La maison a des tuiles en argile fabriquées au village même, elles ressemblent aux tuiles Espagnoles. Le toit est traversé par trois poutres en pin maritime, et entre elles, d’autres poutres, plus petites et dont la disposition est condensée. La poutre du milieu garde encore les traces d’un vieux nid d’hirondelles, qui elles aussi ont quitté la maison. Une petite fenêtre cassée par le vent et qui ne s’ouvre plus est mi-fermée. La porte est constituée de deux volets dont mêmes les clous sont en bois. L’absence de fer nous renseigne presque sur son age.
Nous sommes assis autour d’un feu de bois d’olivier, les flammes qui en jaillissent projettent nos reflets exagérés sur des murs à la chaux et ondulés par les couches successives et semblent même garder les traces des mains qui l’ont étalé année après année. Des incrustations de différentes tailles ornent le mur près de la cheminée. L’odeur de l’amitié se répand, presque à vous enivrer. Les regards de mes amis me nourrissent de joie et leur rire me saisit par le cœur que la séparation temporaire allait bientôt briser.
Alors voici ma question :
« Si Eve a retiré la pomme dont on accable la gente féminine du péché originel. Est-ce parceque Adam n’a pas été un gentilhomme pour la lui offrir ? »
Merci d’avance pour votre avis.
Avant cela, je vous livre mon opinion sur ce que je pense de la femme. Je crois de tout mon être que la femme est incapable des atrocités qui sont commises tous les jours à travers le globe. Je maintiens et persiste même a dire, qu’une société où la femme ne prend pas un rôle active est une société vouée a l’échec. L’absence de la femme dans une société provoque un déséquilibre irréconciliable.
Les « mauvaises » langues vont dire que « je brosse le poil dans le bon sens », mais je m’adresse aux « bonnes » oreilles. La femme est dépourvue de cruauté, quand elle essaye de l’être, elle échoue misérablement. Tandis que chez l’homme, la cruauté est monnaie courante. Et je prends comme « témoin » l’histoire de l’humanité. Avant de vous soumettre la question que j’ai posé à mes amis, laissez-moi vous livrer le décor, car il est important et surtout, il accompagne merveilleusement cette dernière.
Alors voici la scène :
Une maison centenaire Kabyle, inhabitée depuis plus de trente ans. Ses propriétaires sont allés chercher fortune dans les grandes villes qu’ils n’ont jamais trouvée. En faisant cela, ils ont appauvris leurs enfants de la beauté dont la nature leur a fait concession. La maison a des tuiles en argile fabriquées au village même, elles ressemblent aux tuiles Espagnoles. Le toit est traversé par trois poutres en pin maritime, et entre elles, d’autres poutres, plus petites et dont la disposition est condensée. La poutre du milieu garde encore les traces d’un vieux nid d’hirondelles, qui elles aussi ont quitté la maison. Une petite fenêtre cassée par le vent et qui ne s’ouvre plus est mi-fermée. La porte est constituée de deux volets dont mêmes les clous sont en bois. L’absence de fer nous renseigne presque sur son age.
Nous sommes assis autour d’un feu de bois d’olivier, les flammes qui en jaillissent projettent nos reflets exagérés sur des murs à la chaux et ondulés par les couches successives et semblent même garder les traces des mains qui l’ont étalé année après année. Des incrustations de différentes tailles ornent le mur près de la cheminée. L’odeur de l’amitié se répand, presque à vous enivrer. Les regards de mes amis me nourrissent de joie et leur rire me saisit par le cœur que la séparation temporaire allait bientôt briser.
Alors voici ma question :
« Si Eve a retiré la pomme dont on accable la gente féminine du péché originel. Est-ce parceque Adam n’a pas été un gentilhomme pour la lui offrir ? »
Merci d’avance pour votre avis.
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