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De par sa vocation, nullement incontestable, Béjaïa prend place parmi les huit (08) pôles touristiques existants en Algérie. Une place qui constitue aux yeux des organismes compétents de la wilaya un indicateur de taille. Conscient des missions qui lui sont dévouées et d’un plus d’efforts à consentir le département du tourisme affiche d’emblée une certaine ambition de tirer parti d’un patrimoine qui n’est, hélas, pas estimé à sa juste valeur.
Ainsi, avec 100 kilométres de côtes et des sites enchanteurs à l’image du mont Gouraya, le pic des singes, le cap Carbon et son fameux phare le plus élevé au monde, la grotte féerique d’Aokas, l’ile des Pisans à Boulimat, des monuments et des sites historiques (vestiges romains, ruines romaines de Tikhlat à El Kseur, le fort Moussa, le fort Abdelkader, la Casbah, la porte sarrasine et bien d’autres merveilles, Béjaïa est un creuset de plus d’une vocation. Cela dit, un patrimoine aussi riche que varié suscitant à la fois curiosités et convoitises d’être visité et découvert. mais dans quelles conditions et à quel prix ?
Dans une approche quantitative le directeur du tourisme de Béjaïa, a déclaré, lors de son passage au dernier numéro du forum de Radio Soummam que " l’infrastructure d’accueil demeure, certes, insuffisante pour l’heure et ne répond pas à la demande, va connaitre prochainement une amélioration notable, en vue d’équilibrer le rapport demande/offre.”
Devant ce manque, il est question de réaliser quarante-quatre (44) structures hôtelières avec une capacité d’accueil avoisinant les 3 000 lits. Toutefois quelques projets rencontrent des blocages dont 13 chantiers non encore entamés, faute de documents administratifs, financement … 16 autres projets sont à l’arrêt des travaux. A contrario, 13 projets sont en cours de réalisation et seront réceptionnés incessamment alors que deux autres enregistrent un avancement à 99%.
Dans le même sillage, le P-DG du groupe Cevital a laissé entendre, lors du premier forum de l’université de Béjaïa que son groupe compte réaliser une résidence d’été à Souk El Tenine (côte est de la wilaya) sur une superficie de 2 600 hectares, avec une capacité d’accueil avoisinant les 4 600 lits.
Le tourisme des loisirs n’est pas en reste dans la stratégie du département du tourisme.
À cet effet il est question de construire un village de vacances à Toudja. Lequel projet s’étalerait sur une superficie de 1 000 hectares dont le site sera dégagé prochainement , l’étude est confiée à un bureau d’étude étranger.
Dans la somme des réalisations projetées à l’horizon, figure l’optimisation, entre autres de trois (03) stations thermales à savoir, Hammam Sillal, Hammam Kerria, Hammam Sidi Yahia ainsi que la revalorisation du patrimoine forestier de l’Akfadou aussi que d’autres sites. Toute cette dynamique a pour finalité, comme énoncé précédemment l’optimisation des atouts et des potentialités touristiques de Béjaia, pour ne reprendre que les propres termes du directeur du tourisme, M. Haddad . Par ailleurs il a souligné que " Tous les secteurs tendent en priorité à servir le secteur du tourisme ".
À titre d’exemple le nouveau Plan d’urbanisme intercommunal englobant sept (07) communes à savoir, BéjaÏa, Tichy, Boukhelifa, Tala Hamza, Oued Ghir, Toudja et El Kseur a été conçu pour répondre, d’après ses concepteurs, aux nouvelles exigences en matière d’aménagement du territoire et l’optimisation des sites multipolaires de Béjaïa, plus particulièrement les sites touristiques. Lesquels, d’après le département du tourisme constituent le pactole de la région et éventuellement pourvoyeurs d’un nombre important de poste d’emploi.
Avec un flux de 200 000 visiteurs par jour, Béjaïa de par sa vocation touristique demeurant une destination prisée du tourisme balnéaire, pourrait également devenir un véritable havre où se côtoient des randonneurs, des baigneurs, des amateurs de pêche , de sport nautique, des passionnés des découvertes de sites archéologiques, de vestiges culturels et civilisationnels et une destination pour toutes celles et ceux qui se prêtent merveilleusement à l’impromptu du séjour.
source : la dépêche de Kabylie
Ainsi, avec 100 kilométres de côtes et des sites enchanteurs à l’image du mont Gouraya, le pic des singes, le cap Carbon et son fameux phare le plus élevé au monde, la grotte féerique d’Aokas, l’ile des Pisans à Boulimat, des monuments et des sites historiques (vestiges romains, ruines romaines de Tikhlat à El Kseur, le fort Moussa, le fort Abdelkader, la Casbah, la porte sarrasine et bien d’autres merveilles, Béjaïa est un creuset de plus d’une vocation. Cela dit, un patrimoine aussi riche que varié suscitant à la fois curiosités et convoitises d’être visité et découvert. mais dans quelles conditions et à quel prix ?
Dans une approche quantitative le directeur du tourisme de Béjaïa, a déclaré, lors de son passage au dernier numéro du forum de Radio Soummam que " l’infrastructure d’accueil demeure, certes, insuffisante pour l’heure et ne répond pas à la demande, va connaitre prochainement une amélioration notable, en vue d’équilibrer le rapport demande/offre.”
Devant ce manque, il est question de réaliser quarante-quatre (44) structures hôtelières avec une capacité d’accueil avoisinant les 3 000 lits. Toutefois quelques projets rencontrent des blocages dont 13 chantiers non encore entamés, faute de documents administratifs, financement … 16 autres projets sont à l’arrêt des travaux. A contrario, 13 projets sont en cours de réalisation et seront réceptionnés incessamment alors que deux autres enregistrent un avancement à 99%.
Dans le même sillage, le P-DG du groupe Cevital a laissé entendre, lors du premier forum de l’université de Béjaïa que son groupe compte réaliser une résidence d’été à Souk El Tenine (côte est de la wilaya) sur une superficie de 2 600 hectares, avec une capacité d’accueil avoisinant les 4 600 lits.
Le tourisme des loisirs n’est pas en reste dans la stratégie du département du tourisme.
À cet effet il est question de construire un village de vacances à Toudja. Lequel projet s’étalerait sur une superficie de 1 000 hectares dont le site sera dégagé prochainement , l’étude est confiée à un bureau d’étude étranger.
Dans la somme des réalisations projetées à l’horizon, figure l’optimisation, entre autres de trois (03) stations thermales à savoir, Hammam Sillal, Hammam Kerria, Hammam Sidi Yahia ainsi que la revalorisation du patrimoine forestier de l’Akfadou aussi que d’autres sites. Toute cette dynamique a pour finalité, comme énoncé précédemment l’optimisation des atouts et des potentialités touristiques de Béjaia, pour ne reprendre que les propres termes du directeur du tourisme, M. Haddad . Par ailleurs il a souligné que " Tous les secteurs tendent en priorité à servir le secteur du tourisme ".
À titre d’exemple le nouveau Plan d’urbanisme intercommunal englobant sept (07) communes à savoir, BéjaÏa, Tichy, Boukhelifa, Tala Hamza, Oued Ghir, Toudja et El Kseur a été conçu pour répondre, d’après ses concepteurs, aux nouvelles exigences en matière d’aménagement du territoire et l’optimisation des sites multipolaires de Béjaïa, plus particulièrement les sites touristiques. Lesquels, d’après le département du tourisme constituent le pactole de la région et éventuellement pourvoyeurs d’un nombre important de poste d’emploi.
Avec un flux de 200 000 visiteurs par jour, Béjaïa de par sa vocation touristique demeurant une destination prisée du tourisme balnéaire, pourrait également devenir un véritable havre où se côtoient des randonneurs, des baigneurs, des amateurs de pêche , de sport nautique, des passionnés des découvertes de sites archéologiques, de vestiges culturels et civilisationnels et une destination pour toutes celles et ceux qui se prêtent merveilleusement à l’impromptu du séjour.
source : la dépêche de Kabylie
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