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Les importations algériennes en biens alimentaires ont atteint 2,26 milliards de dollars durant le premier semestre 2007 contre 1,86 milliard durant la même période de l’année 2006, soit une hausse de 21 %, selon les statistiques des douanes algériennes.
Excepté le groupe «sucre et sucreries qui a régressé de 14,47 %, passant de 240,13 millions de dollars durant les six premiers mois de l’année 2006 à 205,38 millions de dollars durant la même période de l’année 2007, tous les produits alimentaires ont enregistré des augmentations.
D’abords, la hausse a concerné le groupe «café et thé» qui a occupé le quatrième rang dans la structure des importations avec 6,93 %. Les importations en café et thé ont atteint 156,70 millions de dollars, durant le premier semestre 2007 contre 86,06 millions de dollars, durant la même période de l’année précédente.
Il en est de même pour le groupe «céréales, farines et semoule» qui a accaparé le premier rang dans la structure des importations avec 40,58 %. L’Algérie a importé durant la même période de référence pour une valeur de 917,10 millions de dollars contre 672,57 millions de dollars en 2006, soit une évolution positive de 36,36%.
Les importations en «lait et produits laitiers» ont, quant à elles, progressé de 25,13%, passant de 398,64 millions de dollars en 2006 à 498,81 millions durant la période de référence de 2006.
L’Algérie a également augmenté ses dépenses en légumes secs durant la même période (22,54%), avec une facture de 94,23 millions de dollars, contre 76,9 millions de dollars durant la même période de l’année 2006.
La hausse a concerné également le groupe «viandes» qui a occupé le sixième rang des importations avec 18,64 %. L’Algérie a importé l’équivalent de 71,59 millions de dollars durant la période de référence contre 60,34 millions de dollars en 2006.
Notons que les importations algériennes durant le premier semestre 2007 ont atteint 12,804 milliards de dollars.
Si les importations algériennes en biens alimentaires suivent le rythme du premier semestre 2007, elles pourront atteindre les 4,5 milliards de dollars à la fin de l’année 2007 contre 3,7 milliards de dollars en 2006.
La facture alimentaire demeure toujours lourde et les pouvoirs publics sont encore loin de lever le défi de la réduire.
La Nouvelle Republique
25-07-2007
Bahia A.
Excepté le groupe «sucre et sucreries qui a régressé de 14,47 %, passant de 240,13 millions de dollars durant les six premiers mois de l’année 2006 à 205,38 millions de dollars durant la même période de l’année 2007, tous les produits alimentaires ont enregistré des augmentations.
D’abords, la hausse a concerné le groupe «café et thé» qui a occupé le quatrième rang dans la structure des importations avec 6,93 %. Les importations en café et thé ont atteint 156,70 millions de dollars, durant le premier semestre 2007 contre 86,06 millions de dollars, durant la même période de l’année précédente.
Il en est de même pour le groupe «céréales, farines et semoule» qui a accaparé le premier rang dans la structure des importations avec 40,58 %. L’Algérie a importé durant la même période de référence pour une valeur de 917,10 millions de dollars contre 672,57 millions de dollars en 2006, soit une évolution positive de 36,36%.
Les importations en «lait et produits laitiers» ont, quant à elles, progressé de 25,13%, passant de 398,64 millions de dollars en 2006 à 498,81 millions durant la période de référence de 2006.
L’Algérie a également augmenté ses dépenses en légumes secs durant la même période (22,54%), avec une facture de 94,23 millions de dollars, contre 76,9 millions de dollars durant la même période de l’année 2006.
La hausse a concerné également le groupe «viandes» qui a occupé le sixième rang des importations avec 18,64 %. L’Algérie a importé l’équivalent de 71,59 millions de dollars durant la période de référence contre 60,34 millions de dollars en 2006.
Notons que les importations algériennes durant le premier semestre 2007 ont atteint 12,804 milliards de dollars.
Si les importations algériennes en biens alimentaires suivent le rythme du premier semestre 2007, elles pourront atteindre les 4,5 milliards de dollars à la fin de l’année 2007 contre 3,7 milliards de dollars en 2006.
La facture alimentaire demeure toujours lourde et les pouvoirs publics sont encore loin de lever le défi de la réduire.
La Nouvelle Republique
25-07-2007
Bahia A.
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