Salam,
Dans son séclusion, l'homme à tendance à exagérer ses peines, ses douleurs, et enfin ses problèmes. Réagir à une insulte, répondre à une désinvolture, ou simplement voir ses rêves se dissiper au cours des mois, des années, l'homme, ou la femme, blâme son caractère et desespère, et crois que rien sera beau. Ceci est vrai lorsqu'on éxpérience un échec dans tous les domaines possibles de notre vécu. L'algérien (ne) vivant à l'étranger est sujet à ce genre de situations, où les réalités profondes de nous même sont extrêmes.
On a le sentiment de vivre dans le néant, dans le vide, le bonheur est une quête eternele. Pourqoui mes jours ne me sourient pas? Pourquoi le bonheur me fuit à chaque fois? Suis-je enprisonnée pour longtemps dans mes négativités? Ces questions sont l'agenda de tout un chacun., et elles n'épargnent personne.Toutes les catégories d'âge sont touchées. On vit une déchirure à outrance, une ambiguité conflictuelle, même les termes assez profonds et perspicaces d'un Hegel, d'un Bergson, ou enfin d'un Heidegger, sont loins de la décrire. Comment harmoniser les postives tools de civilisation que comptent la société develeppée avec les désirs, et les rêves, puisées dans nos valeurs, traditions, et religieuses?
Enfin, on me ragardant en face dans mon mirroir, ou en pensant, ou en méditant sur moi-même, on se rend compte de cette voix si forte et si intense qui régit notre psyché, notre réalité si profonde, qui des fois est hors notre contrôle, nos pousse vers l'espoir, vers la solution. Quoique vraie, je réponds, plutôt, je suis cette voix intérieure, en voyant au mirroir, un étirement de mes lèvres, et de mes sourcils, et c'est le sourire. Et c'est pourquoi je souris à chaque fois je suis en détresse, en échec, en colère, comme ça, en faisant le sens inverse, je forcerai moi même de me sentir bien. Ah, la force du sourire. Parce que le sourire ( smile, ibtissama) fait l'espoir.
Dans son séclusion, l'homme à tendance à exagérer ses peines, ses douleurs, et enfin ses problèmes. Réagir à une insulte, répondre à une désinvolture, ou simplement voir ses rêves se dissiper au cours des mois, des années, l'homme, ou la femme, blâme son caractère et desespère, et crois que rien sera beau. Ceci est vrai lorsqu'on éxpérience un échec dans tous les domaines possibles de notre vécu. L'algérien (ne) vivant à l'étranger est sujet à ce genre de situations, où les réalités profondes de nous même sont extrêmes.
On a le sentiment de vivre dans le néant, dans le vide, le bonheur est une quête eternele. Pourqoui mes jours ne me sourient pas? Pourquoi le bonheur me fuit à chaque fois? Suis-je enprisonnée pour longtemps dans mes négativités? Ces questions sont l'agenda de tout un chacun., et elles n'épargnent personne.Toutes les catégories d'âge sont touchées. On vit une déchirure à outrance, une ambiguité conflictuelle, même les termes assez profonds et perspicaces d'un Hegel, d'un Bergson, ou enfin d'un Heidegger, sont loins de la décrire. Comment harmoniser les postives tools de civilisation que comptent la société develeppée avec les désirs, et les rêves, puisées dans nos valeurs, traditions, et religieuses?
Enfin, on me ragardant en face dans mon mirroir, ou en pensant, ou en méditant sur moi-même, on se rend compte de cette voix si forte et si intense qui régit notre psyché, notre réalité si profonde, qui des fois est hors notre contrôle, nos pousse vers l'espoir, vers la solution. Quoique vraie, je réponds, plutôt, je suis cette voix intérieure, en voyant au mirroir, un étirement de mes lèvres, et de mes sourcils, et c'est le sourire. Et c'est pourquoi je souris à chaque fois je suis en détresse, en échec, en colère, comme ça, en faisant le sens inverse, je forcerai moi même de me sentir bien. Ah, la force du sourire. Parce que le sourire ( smile, ibtissama) fait l'espoir.
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