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WASHINGTON - La Chambre des représentants des Etats-Unis a approuvé lundi une résolution exigeant des excuses officielles de la part du Japon pour avoir forcé des milliers de femmes à travailler comme esclaves sexuelles pour son armée pendant la Seconde guerre mondiale.
Cette résolution, non contraignante, n'est que symbolique, mais elle a néanmoins provoqué un malaise au Japon et introduit une certaine tension dans une alliance américano-japonaise par ailleurs solide. A Tokyo, on rappelle que les dirigeants japonais, dont l'actuel Premier ministre Shinzo Abe, se sont excusés à plusieurs reprises sur ce dossier.
Dans les années 1930 et 1940, l'Armée impériale japonaise a réduit des milliers de femmes en esclaves sexuelles officiant dans des maisons closes militaires.
Selon les historiens, près de 200.000 femmes, essentiellement des Coréennes et des Chinoises, travaillaient dans ces maisons closes gérées par l'armée japonaise. Les victimes ont raconté qu'elles avaient été forcées de se prostituer et détenues contre leur gré.
Source: AP
WASHINGTON - La Chambre des représentants des Etats-Unis a approuvé lundi une résolution exigeant des excuses officielles de la part du Japon pour avoir forcé des milliers de femmes à travailler comme esclaves sexuelles pour son armée pendant la Seconde guerre mondiale.
Cette résolution, non contraignante, n'est que symbolique, mais elle a néanmoins provoqué un malaise au Japon et introduit une certaine tension dans une alliance américano-japonaise par ailleurs solide. A Tokyo, on rappelle que les dirigeants japonais, dont l'actuel Premier ministre Shinzo Abe, se sont excusés à plusieurs reprises sur ce dossier.
Dans les années 1930 et 1940, l'Armée impériale japonaise a réduit des milliers de femmes en esclaves sexuelles officiant dans des maisons closes militaires.
Selon les historiens, près de 200.000 femmes, essentiellement des Coréennes et des Chinoises, travaillaient dans ces maisons closes gérées par l'armée japonaise. Les victimes ont raconté qu'elles avaient été forcées de se prostituer et détenues contre leur gré.
Source: AP
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