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PARIS - Le domicile de Ségolène Royal à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) a été à nouveau visité par des cambrioleurs dans la nuit de vendredi à samedi.
D'après ce que rapporte mardi «Le Parisien/Aujourd'hui en France» qui cite une source proche de l'enquête.
Selon le quotidien, un ou plusieurs voleurs ont pénétré par une baie vitrée de l'appartement. C'est le fils de l'ancienne candidate à la présidentielle, qui était présent au sous-sol au moment des faits, qui a découvert le cambriolage et averti la police. Le ou les cambrioleurs sont repartis avec 110 euros et un ordinateur portable.
«Aucun document sensible n'a disparu», souligne la source citée par «Le Parisien» qui précise que la policie judiciaire des Hauts-de-Seine a été saisie de l'enquête.
Le domicile de la présidente de la région Poitou-Charentes avait déjà été «visité» il y a près d'un an pendant les vacances du couple Royal-Hollande. Le 18 août dernier, la candidate à l'investiture socialiste avait alors reproché au ministère de l'Intérieur d'avoir divulgué l'information qu'elle souhaitait garder confidentielle, ce que la place Beauvau avait démenti.
Source: AP
PARIS - Le domicile de Ségolène Royal à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) a été à nouveau visité par des cambrioleurs dans la nuit de vendredi à samedi.
D'après ce que rapporte mardi «Le Parisien/Aujourd'hui en France» qui cite une source proche de l'enquête.
Selon le quotidien, un ou plusieurs voleurs ont pénétré par une baie vitrée de l'appartement. C'est le fils de l'ancienne candidate à la présidentielle, qui était présent au sous-sol au moment des faits, qui a découvert le cambriolage et averti la police. Le ou les cambrioleurs sont repartis avec 110 euros et un ordinateur portable.
«Aucun document sensible n'a disparu», souligne la source citée par «Le Parisien» qui précise que la policie judiciaire des Hauts-de-Seine a été saisie de l'enquête.
Le domicile de la présidente de la région Poitou-Charentes avait déjà été «visité» il y a près d'un an pendant les vacances du couple Royal-Hollande. Le 18 août dernier, la candidate à l'investiture socialiste avait alors reproché au ministère de l'Intérieur d'avoir divulgué l'information qu'elle souhaitait garder confidentielle, ce que la place Beauvau avait démenti.
Source: AP
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