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Un Algérien de Guantanamo refuse de rentrer en Algérie

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  • Un Algérien de Guantanamo refuse de rentrer en Algérie

    La vie à Guantanamo est-elle préférable à un retour définitif en Algérie ? Pour Ahmed Belbacha, sans aucun doute.
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    Ahmed Belbacha ne veut pas rentrer en Algérie. Selon le journal britannique Times, cet algérien, détenu pendant plusieurs mois dans la base de Guantanamo, vient d’introduire un recours auprès de la Cour d’appel des Etats-Unis pour demander la suspension de son transfert vers l’Algérie. M. Belbacha fait en effet partie des 17 Algériens de Guantanamo qui seront transférés dans les prochains jours vers l’Algérie.

    La cause ? Une fois en Algérie, il affirme avoir peur d’être torturé par les services de sécurité ou de se faire tuer par les terroristes islamiste. Dans sa démarche, M. Belbacha est soutenu par des associations américaines de défense des droits de l’homme.

    Selon le Times, Ahmed Belbacha, 38 ans, ancien comptable au sein de l’entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach, a fui l’Algérie en 1999, en pleine période des violences terroristes. Il a rejoint la France avant de se réfugier en Grande-Bretagne. En 2001, il part au Pakistan en compagnie d’autres personnes pour, a t-il expliqué, étudier la religion sur place.

    Il a été arrêté par l’armée américaine lors de l’invasion de l’Afghanistan qui a suivi les attentats antiaméricains du 11 septembre 2001, dans un village près de Peshawar, dans le nord-ouest du Pakistan. Il a été libéré de ses charges en février et le gouvernement américain a accepté de l’extrader vers l’Algérie.

    31/07/2007. Tout sur l'Algérie.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

  • #2
    ihhhhhhhhhh

    islamiste mais pas complètement givré
    bOnNe rEfLeXiOn!!!

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    • #3
      Bonsoir

      il affirme avoir peur d’être torturé par les services de sécurité ou de se faire tuer par les terroristes islamiste.
      Qu'est ce qu'il ne faut lire !!

      Il fui l'Algèrie pour rejoindre l'Afghanistan .

      ça doit avoir un rapport direct avec le fait que l'Algérie est cité juste derrière l'Afghanistan dans l'indexe des pays du monde .
      “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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      • #4
        guantanamo

        les plages cubaines sont bien plus reposantes et plus propre que les plages algeriennes..

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        • #5
          les plages cubaines sont bien plus reposantes et plus propre que les plages algeriennes..

          Je dirai ,que les filles cubaines sont plus faciles que les filles Algerienne !
          car d'apres les psychologues comme Professeur Boussebsi , qui ont cerné
          psychologiquement ces individus, 90% parmi eux souffrent de frustration sexuelle, et c'est cette dérnière qui les pousse à la violence .
          ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

          Commentaire


          • #6
            Envoyé par aniasse aniasse
            Les plages cubaines sont bien plus reposantes et plus propre que les plages algeriennes.
            Sans doute aussi qu'on mange mieux dans les prisons américaines qu'algérienne, télévision, salle de culturisme, bibliothèque, pas si fou que ça le type, puisqu'il finira dans une prison fédérale et aura aussi le droit de demander l'asile.
            Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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            • #7
              a fui l’Algérie en 1999, en pleine période des violences terroristes
              En 1999 c'est justement là ou le terrorisme commence à s'estomper, il à vu que le terrorisme perdait du terrain, à preferer mener son combat en afganistan.

              Car si mes souvenir son bon, l'Afganistan n'est pas plus sure que l'Algérie.

              Pour qui veulent-ils faire passer l'Algérie?
              pour un pays tel que l'Afganistan!?

              FAUT VRAIMENT ETRE IDIOT POUR CROIRE CET ARTICLE PLEIN DE NON SENS

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              • #8
                il a tuer des gens mais il a peur de mourir, quel con.
                Pardonner? C'est le travail de DIEU. Moi, Je ne peux pas.

                Commentaire


                • #9
                  moi je proposes un radeau avec quelques trous dans la coque et on le lache dans le pacifique,ça pourra nourrir les requins.

                  Commentaire


                  • #10
                    On prefere aussi qu il reste a guantanamo

                    Commentaire


                    • #11
                      Bonjour

                      ÉTATS-UNIS • Plutôt Guantanamo que l'Algérie
                      Prochainement, 17 Algériens pourront quitter la base militaire américaine pour rejoindre leur pays. Sauf qu'au moins l'un d'entre eux refuse ce transfert et préfère rester à Guantanamo Bay. La terreur des geôles algériennes semble plus forte que le régime de haute sécurité américain.

                      Ahmed Bel Bacha, 38 ans, passe vingt-deux heures par jour dans une cellule de Guantanamo Bay qui, selon son avocat, est "un tombeau […] d'acier sans fenêtre". Pourtant, il préfère y demeurer plutôt que d'être renvoyé dans son pays, l'Algérie.
                      Ahmed Bel Bacha est détenu depuis cinq ans dans la prison militaire américaine de Guantanamo Bay, à Cuba, mais, avec l'aide de maître Zachary Katznelson, de l'association de défense des droits de l'homme Reprieve, il bataille devant les tribunaux des Etats-Unis pour ne pas en sortir, ni être remis aux autorités algériennes. Une délégation de représentants de la police et de la diplomatie algériennes s'est rendue en juin dernier à Guantanamo Bay afin d'identifier les détenus algériens que le Pentagone souhaite renvoyer dans leur pays. On leur a présenté 26 prisonniers (sur un total de 360 terroristes présumés encore détenus sur place), mais la délégation n'en a reconnu que 17. Ceux-là seront rapatriés. "Ils seront jugés conformément à la législation algérienne," a annoncé, le dimanche 29 juillet, le ministre de la Justice Tayeb Belaïz.

                      "Ahmed Bel Bacha a si peur d'être transféré vers l'Algérie et d'y être traité en terroriste qu'il préfère rester à Guantanamo Bay, aussi incroyable et surréaliste que cela puisse paraître," assure Zachary Katznelson dans un entretien qu'il a accordé à El País. Pourtant, dans la prison américaine, l'Algérien est l'un des détenus les moins bien traités. "Il est au Camp 6, une zone de très haute sécurité, de création relativement récente, dans laquelle il a été transféré en décembre 2006", précise l'avocat. Deux mois plus tard, poursuit-il, les autorités américaines ont reconnu que Bel Bacha 'n'avait aucun lien avec des organisations terroristes et ne représentait aucune menace." Zachary Katznelson exprime ainsi son indignation : "Malgré tout, sans explication, il a été maintenu dans ce type de cellule." Lorsque l'homme de loi lui rend visite à Guantnamo Bay, le prisonnier est maintenu au sol les mains menottées.

                      Ahmed Bel Bacha, qui a été emprisonné au Pakistan, a toujours clamé son innocence. Il a fui l'Algérie à la fin des années 1990 aux derniers coups de canon de la guerre civile larvée qui ravageait son pays. Il était comptable dans l'entreprise publique Sonatrach et venait d'être mobilisé pour la énième fois. Il émigre alors vers le Royaume-Uni et demande l'asile. Alors qu'il attend une réponse, il trouve du travail comme agent d'entretien à l'hôtel Highcliff, à Bournemouth. En 1999, raconte le quotidien britannique The Times dans son édition du 31 juillet, il fait ainsi le ménage dans la chambre de John Prescott, alors vice-Premier ministre, qui lui donne un pourboire de 44 euros. Ahmed Bel Bacha raconte qu'en juillet 2001 des amis le persuadent de se rendre au Pakistan pour y suivre un enseignement religieux, qui le conduira en Afghanistan. En décembre de la même année, il est capturé par des paysans près de Peshawar et remis aux autorités pakistanaises, qui, à leur tour, le confient aux Américains.

                      Par l'intermédiaire de son avocat, l'Algérien sollicite l'accueil du Royaume-Uni, mais les autorités britanniques le déboutent de son appel. Il demande donc à un juge fédéral de Washington d'empêcher son rapatriement vers l'Algérie. Mais, vendredi dernier, le juge à son tour rejette sa demande, se déclarant incompétent pour statuer sur les détenus de Guantanamo Bay. Zachary Katznelson présente un recours devant la Cour d'appel fédérale. "Ahmed Bel Bacha n'est pas un cas unique", souligne son avocat. "On dénombre au moins 25 autres prisonniers qui seraient en grave danger s'ils étaient remis aux autorités de leur pays d'origine," et ce même si les autorités américaines obtiennent du pays en question qu'il s'engage à les traiter correctement. En juin, la Tunisie a pris cet engagement afin de pouvoir rapatrier Abdullah Alhaggi, lui aussi défendu par Zachary Katznelson. Mais "il avait à peine posé le pied en Tunisie qu'il était torturé et qu'on menaçait sa femme et sa fille de viol", raconte l'avocat. La justice britannique, elle, semble avoir pris conscience du risque que courent les détenus islamistes en cas de rapatriement. Lundi, la Cour d'appel de Londres a ainsi suspendu l'expulsion de trois Algériens vers leur pays, en raison notamment d'un risque de torture.
                      B. Celis et I. Cembrero
                      El País

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                      • #12
                        Ahmed Bel Bacha, 38 ans, passe vingt-deux heures par jour dans une cellule de Guantanamo Bay qui, selon son avocat, est "un tombeau […] d'acier sans fenêtre". Pourtant, il préfère y demeurer plutôt que d'être renvoyé dans son pays, l'Algérie.

                        Bien fait pour lui, comme ça il apprendra a contrôler ces emotions !!
                        ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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