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La forte baisse du CAC 40 et des principaux indices boursiers européens s'explique toujours par les craintes des opérateurs sur le marché immobilier américain.
La panique s’empare à nouveau des marchés boursiers. Après avoir perdu plus de 3% dans la matinée dans le sillage de la clôture de wall Street et des bourses asiatiques, le Cac 40 regagne progressivement du terrain en milieu d'après-midi. A quelques minutes de l'ouverture des marchés américains, il recule de 1.6%.
Un peu plus tôt, la majeure partie des places asiatiques ont terminé dans le rouge. En Australie, Sydney a même dévissé en clôture de 3,3%, sa plus lourde chute en pourcentage en une journée depuis les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.
Toutes les bourses réagissent très fortement à l'annonce des difficultés rencontrées par la banque de crédit immobilier américaine American Home Mortgage Investment Corp qui a indiqué mardi soir qu'elle était en difficulté financière. Depuis plusieurs semaines, les investisseurs s'inquiètent sur le crédit immobilier à risques, le « subprime.» Une activité économique qui a fait les choux gras des établissements financiers. En accordant aux ménages les moins solvables des crédits immobiliers, ces institutions frôlent maintenant la faillite. Les retards de paiement s’accumulent, et après New Century au mois de mars, Countrywide Financial, American Mortgage Investment et l’australien Macquarie Bank affolent désormais les Bourses mondiales. Tous ces acteurs font face à des défauts de paiement et leurs résultats sont en chute libre. Il n’en fallait pas plus pour immiscer le doute auprès des investisseurs. Leur méfiance s’est généralisée aux autres titres de dettes, notamment ceux des fonds de capital-investissement et les fonds spéculatifs. Deux acteurs qui financent leurs activités à crédit… Pour l’heure, personne ne sait jusqu’où les grandes institutions financières sont engagées dans les opérations de financement de crédit à risque. Mais la peur de voir se propager cette crise du secteur de l’immobilier à l’ensemble de l’économie est récurrente. Pour de nombreux observateurs cependant, les investisseurs ont un comportement irrationnel. La correction devrait même être passagère, les principaux indices rebondiront d’ici la fin de l’année, annoncent les spécialistes.
La panique s’empare à nouveau des marchés boursiers. Après avoir perdu plus de 3% dans la matinée dans le sillage de la clôture de wall Street et des bourses asiatiques, le Cac 40 regagne progressivement du terrain en milieu d'après-midi. A quelques minutes de l'ouverture des marchés américains, il recule de 1.6%.
Un peu plus tôt, la majeure partie des places asiatiques ont terminé dans le rouge. En Australie, Sydney a même dévissé en clôture de 3,3%, sa plus lourde chute en pourcentage en une journée depuis les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis.
Toutes les bourses réagissent très fortement à l'annonce des difficultés rencontrées par la banque de crédit immobilier américaine American Home Mortgage Investment Corp qui a indiqué mardi soir qu'elle était en difficulté financière. Depuis plusieurs semaines, les investisseurs s'inquiètent sur le crédit immobilier à risques, le « subprime.» Une activité économique qui a fait les choux gras des établissements financiers. En accordant aux ménages les moins solvables des crédits immobiliers, ces institutions frôlent maintenant la faillite. Les retards de paiement s’accumulent, et après New Century au mois de mars, Countrywide Financial, American Mortgage Investment et l’australien Macquarie Bank affolent désormais les Bourses mondiales. Tous ces acteurs font face à des défauts de paiement et leurs résultats sont en chute libre. Il n’en fallait pas plus pour immiscer le doute auprès des investisseurs. Leur méfiance s’est généralisée aux autres titres de dettes, notamment ceux des fonds de capital-investissement et les fonds spéculatifs. Deux acteurs qui financent leurs activités à crédit… Pour l’heure, personne ne sait jusqu’où les grandes institutions financières sont engagées dans les opérations de financement de crédit à risque. Mais la peur de voir se propager cette crise du secteur de l’immobilier à l’ensemble de l’économie est récurrente. Pour de nombreux observateurs cependant, les investisseurs ont un comportement irrationnel. La correction devrait même être passagère, les principaux indices rebondiront d’ici la fin de l’année, annoncent les spécialistes.
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