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« J’ai avancé l’idée du départ de Abdesselem et ses déclarations nuisent à l’image de l’Algérie »
L’ancien ministre de la Défense, le Général Khaled Nezzar, a reconnu qu’il a été à l’origine du départ de Belaid Abdesselem de la tête du Gouvernement, lorsqu’il était membre du Haut Conseil d’Etat en 1993.
Dans un article qu’il a rédigé, il revient sur le contenu des mémoires de Belaid Abdesselem dans lesquels l’ancien chef du Gouvernement parle « d’obstacles » qui l’ont empêché de mener à bien sa mission et dont a été à l’origine l’équipe qui dirigeait à l’époque le Haut Conseil d’Etat.
A travers cet article M. Nezzar prend le parti de son ancien compagnon d’armes, le Général Touati qui a répondu aux accusations de Abdesselem dans ses mémoires, l’accusant de « médiocrité » comme explication de son éjection de la présidence du Gouvernement. Nezzar, absent de la scène politique depuis des années, a déclaré que « J’ai avancé l’idée du départ de Abdesselem. Elle fût soumise au Haut Conseil de l’Etat, dirigé par Ali Kafi, qui l’entérina à l’unanimité. Ce n’était ni par calculs politiques ni par intrigues, ni par des manœuvres que nous nous sommes séparés du Chef du Gouvernement ».
Il a défendu Mohamed Touati s’interrogeant sur sa responsabilité dans les obstacles dont a parlé l’ancien chef du Gouvernement et c’est précisément cela qui l’a poussé à répondre.
Il a conclu son article par « que Dieu apporte la sérénité aux cœurs tourmentés et inspire plus de sagesse à Monsieur Abdesselem qui préserverait sa pudeur, en s’abstenant de lancer dans les médias internationaux des affirmations nuisibles à l’image du pays ».
El Khabar
« J’ai avancé l’idée du départ de Abdesselem et ses déclarations nuisent à l’image de l’Algérie »
L’ancien ministre de la Défense, le Général Khaled Nezzar, a reconnu qu’il a été à l’origine du départ de Belaid Abdesselem de la tête du Gouvernement, lorsqu’il était membre du Haut Conseil d’Etat en 1993.
Dans un article qu’il a rédigé, il revient sur le contenu des mémoires de Belaid Abdesselem dans lesquels l’ancien chef du Gouvernement parle « d’obstacles » qui l’ont empêché de mener à bien sa mission et dont a été à l’origine l’équipe qui dirigeait à l’époque le Haut Conseil d’Etat.
A travers cet article M. Nezzar prend le parti de son ancien compagnon d’armes, le Général Touati qui a répondu aux accusations de Abdesselem dans ses mémoires, l’accusant de « médiocrité » comme explication de son éjection de la présidence du Gouvernement. Nezzar, absent de la scène politique depuis des années, a déclaré que « J’ai avancé l’idée du départ de Abdesselem. Elle fût soumise au Haut Conseil de l’Etat, dirigé par Ali Kafi, qui l’entérina à l’unanimité. Ce n’était ni par calculs politiques ni par intrigues, ni par des manœuvres que nous nous sommes séparés du Chef du Gouvernement ».
Il a défendu Mohamed Touati s’interrogeant sur sa responsabilité dans les obstacles dont a parlé l’ancien chef du Gouvernement et c’est précisément cela qui l’a poussé à répondre.
Il a conclu son article par « que Dieu apporte la sérénité aux cœurs tourmentés et inspire plus de sagesse à Monsieur Abdesselem qui préserverait sa pudeur, en s’abstenant de lancer dans les médias internationaux des affirmations nuisibles à l’image du pays ».
El Khabar
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