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Les bombardements du massif forestier de Yakouren, à 50 km à l’est de Tizi Ouzou, ont repris hier matin, apprend-on de sources sûres.
Les forces de l’ANP, en opération de ratissage dans la région depuis presque un mois, ont eu recours à des moyens lourds, indique-t-on. Après une trêve qui a duré près d’une dizaine de jours, les hélicoptères de l’armée n’ont pas cessé durant toute la journée d’hier d’arroser plusieurs endroits de la forêt de leurs bombes. Le bruit des explosions a été accompagné de violents coups de rafales des militaires, estimés à plusieurs milliers dans cette région qui a été transformée par les terroristes du GSPC en camp d’entraînement et en zone de repli des plus sûres. Aucune information concernant les véritables raisons de cette soudaine reprise des bombardements à l’artillerie n’a été livrée. Toutefois, des informations font état de l’encerclement d’éléments importants du GSPC, dont des émirs venus des différentes régions du pays soumises ces derniers jours à une véritable offensive de l’ANP. La présence du fils de Ali Benhadj dans la forêt de Yakouren alimente aussi les discussions chez les observateurs de la scène sécuritaire, qui estiment que les militaires semblent vouloir mettre la main sur Abdelkahar vivant.
El Watan
Les forces de l’ANP, en opération de ratissage dans la région depuis presque un mois, ont eu recours à des moyens lourds, indique-t-on. Après une trêve qui a duré près d’une dizaine de jours, les hélicoptères de l’armée n’ont pas cessé durant toute la journée d’hier d’arroser plusieurs endroits de la forêt de leurs bombes. Le bruit des explosions a été accompagné de violents coups de rafales des militaires, estimés à plusieurs milliers dans cette région qui a été transformée par les terroristes du GSPC en camp d’entraînement et en zone de repli des plus sûres. Aucune information concernant les véritables raisons de cette soudaine reprise des bombardements à l’artillerie n’a été livrée. Toutefois, des informations font état de l’encerclement d’éléments importants du GSPC, dont des émirs venus des différentes régions du pays soumises ces derniers jours à une véritable offensive de l’ANP. La présence du fils de Ali Benhadj dans la forêt de Yakouren alimente aussi les discussions chez les observateurs de la scène sécuritaire, qui estiment que les militaires semblent vouloir mettre la main sur Abdelkahar vivant.
El Watan
mais dis d'abord à ton chef de faire ses bagages et d'enlever la glue qu'il a mis sur son fauteuil 
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