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L’offensive de l’ANP se poursuit. La traque du Gspc Al Qaîda s’accentue à travers les quatre coins du pays. Dans la wilaya de Tébessa où une opération d’envergure a été lancée il y a quelques jours, pas moins d’une vingtaine de terroristes ont été neutralisés. Au moins cinq terroristes ont été capturés au lieudit Fesdis, sur les hauteurs de Bir El Ater.
Poursuivant leur action militaire, les éléments de l’Armée nationale populaire ont réussi à surprendre les cinq terroristes à l’intérieur d’une cache. Ces derniers faisaient le mort. L’abri en question est situé sur un massif de Tébessa, dont les frontières administratives font jonction avec la wilaya de Khenchela. Selon des indications vérifiées, ceux-là mêmes sont des résidus de la katibet El Fath el moubine, une phalange qui agit sous la coupe du Gspc au profit d’Al Qaîda au Maghreb islamique. Cette katiba vient de perdre une trentaine de ses activistes, dont certains ont déjà été identifiés comme étant Matouka, Brahimi et Ouled Amar, tous natifs de la région.
Des informations affirment, également, que cette katiba avait pour mission le recrutement et l’entraînement d’éléments nouveaux. D’ailleurs, dans leur progression, les militaires ont découvert des camps d’entraînement de fortune entre les maquis de Tébessa et Khenchela, comme pour l’opération de Yakouren en Kabylie. La présence de plus d’une centaine de terroristes s’est confirmée, selon des sources sécuritaires. Dans ces conditions, l’ANP vient de renforcer ses troupes en mobilisant davantage de militaires et de matériel sophistiqué pour les besoins de l’opération qui doit durer encore plusieurs semaines.
Cela est indispensable du fait que des renseignements font état de la préparation d’attentats. La traque de ce groupe important, opération supervisée et dirigée par des officiers supérieurs du commandement de la 5e Région militaire, a connu, depuis 48 heures, un impressionnant développement. En effet, coordonnant leur action avec le commandement de la 4e Région militaire, les services de sécurité vont occuper un périmètre plus important. Il touchera les maquis de Khenchela, Tébessa, les Aurès, Biskra et El Oued. C’est le tronçon habituellement utilisé par les terroristes, selon les révélations d’un terroriste repenti. L’armement en leur possession est assez important
Les terroristes tentaient, selon toute vraisemblance, de se réorganiser pour desserrer l’étau sur leurs acolytes traqués sur les hauteurs de la Kabylie, Blida, Aïn Defla et Boumerdès. Par son diktat et son allégeance à Al Qaîda, Droukdel Abdelmalek alias Abou Mossaâb Abdelouadoud, qui s‘est autoproclamé émir national du Gspc, vient de conduire son organisation au fond du gouffre. Ses menaces à l’encontre des services de sécurité et la population, n’ont pas eu d’impact
Il a subi la perte de 50 de ses éléments, rien que pour le mois de juillet. Lâché par les siens, dénoncé par ses proches collaborateurs, Hassan Hattab et Mokhtar Benmokhtar, que tentera-t-il de faire pour se relever?De la propagande, certainement.
Mais, faut-il encore qu’il réussisse, par cette ruse sans conséquence, à atteindre l’opinion publique?
Une opinion publique qui ne peut garder sous silence les actes barbars perpétrés contre des jeunes militaires et les pauvres citoyens.
Par L'Expression
Poursuivant leur action militaire, les éléments de l’Armée nationale populaire ont réussi à surprendre les cinq terroristes à l’intérieur d’une cache. Ces derniers faisaient le mort. L’abri en question est situé sur un massif de Tébessa, dont les frontières administratives font jonction avec la wilaya de Khenchela. Selon des indications vérifiées, ceux-là mêmes sont des résidus de la katibet El Fath el moubine, une phalange qui agit sous la coupe du Gspc au profit d’Al Qaîda au Maghreb islamique. Cette katiba vient de perdre une trentaine de ses activistes, dont certains ont déjà été identifiés comme étant Matouka, Brahimi et Ouled Amar, tous natifs de la région.
Des informations affirment, également, que cette katiba avait pour mission le recrutement et l’entraînement d’éléments nouveaux. D’ailleurs, dans leur progression, les militaires ont découvert des camps d’entraînement de fortune entre les maquis de Tébessa et Khenchela, comme pour l’opération de Yakouren en Kabylie. La présence de plus d’une centaine de terroristes s’est confirmée, selon des sources sécuritaires. Dans ces conditions, l’ANP vient de renforcer ses troupes en mobilisant davantage de militaires et de matériel sophistiqué pour les besoins de l’opération qui doit durer encore plusieurs semaines.
Cela est indispensable du fait que des renseignements font état de la préparation d’attentats. La traque de ce groupe important, opération supervisée et dirigée par des officiers supérieurs du commandement de la 5e Région militaire, a connu, depuis 48 heures, un impressionnant développement. En effet, coordonnant leur action avec le commandement de la 4e Région militaire, les services de sécurité vont occuper un périmètre plus important. Il touchera les maquis de Khenchela, Tébessa, les Aurès, Biskra et El Oued. C’est le tronçon habituellement utilisé par les terroristes, selon les révélations d’un terroriste repenti. L’armement en leur possession est assez important
Les terroristes tentaient, selon toute vraisemblance, de se réorganiser pour desserrer l’étau sur leurs acolytes traqués sur les hauteurs de la Kabylie, Blida, Aïn Defla et Boumerdès. Par son diktat et son allégeance à Al Qaîda, Droukdel Abdelmalek alias Abou Mossaâb Abdelouadoud, qui s‘est autoproclamé émir national du Gspc, vient de conduire son organisation au fond du gouffre. Ses menaces à l’encontre des services de sécurité et la population, n’ont pas eu d’impact
Il a subi la perte de 50 de ses éléments, rien que pour le mois de juillet. Lâché par les siens, dénoncé par ses proches collaborateurs, Hassan Hattab et Mokhtar Benmokhtar, que tentera-t-il de faire pour se relever?De la propagande, certainement.
Mais, faut-il encore qu’il réussisse, par cette ruse sans conséquence, à atteindre l’opinion publique?
Une opinion publique qui ne peut garder sous silence les actes barbars perpétrés contre des jeunes militaires et les pauvres citoyens.
Par L'Expression