Rien ne semble arrêter la colère de l'ancien Premier ministre qui revient à la charge avec de très lourdes charges contre les généraux qui ont géré la décision depuis trente ans, notamment Touati et Nezzar, et qui, surtout, insinue que le décès de Boumediene prête à équivoque.
1. “Nezzar a perdu la tête, il est fou”, il est devenu sénile !”
2. Il reproche à Nezzar le procès intenté, en février 2001, à Souaïdia « “terni l’image de l’Algérie en parlant dans des tribunaux étrangers, français de surcroît”
Depuis 1979 aucune peronnalité, fût-elle de l'opposition, n'avait osé pareille insinuation : la mort de Boumediene est-elle suspecte ? Belaid Abdesselam vient de le faire. Trois simples phrases dans Djazaïr News : “La plus grosse erreur commise par Houari Boumediene est d’avoir laissé l’armée entre les mains de cet individu et celle d’”El Mokh” Touati. Et je crois qu’il s’en était rendu compte, mais c’était trop tard. Et aujourd’hui, il faut que l’on s’entende sur la mort de Boumediene”. L'allusion est claire : Boumediene a été poussé à la mort par les généraux. Le journal « Eldjazair News » avait rapporté de Belaid Abdesselam ses propos concernant la mort du président Houari Boumediene que ce dernier a qualifié de « suspecte », affirmant à El Khabar qu’il « croyait que la mort de Boumediene n’était pas naturelle ». Il a ajouté « pour moi sa mort reste ambiguë, et j’en ai fait part auparavant… ».Voilà une très grave accusation qui rouvre des plaies, une page de l'histoire du pays et surtout le débat polémique. A quel objectif répond cette soudaine et tardive attaque sur la mort de Boumediene de la part d'un des lieutenants les plus proches de l'ancien président ? Faut-il mettre cette accusation sur le dépit contre Nezzar qui s'était mêlé à la controverse Belaid-Nezzar ? Il est vrai que Belaid Abdesselam lance des accusations qu'on dirait incontrôlées contre son adversaire du jour. “Nezzar a perdu la tête, il est fou”, il est devenu sénile, il raconte des mensonges !” Et de continuer en donnant d'autres détails : “Il ment lorsqu’il prétend que nous nous sommes rencontrés deux jours de suite au domicile de Ali Kafi. La vérité est que nous nous sommes rencontrés le 18 juillet 1993 à la Présidence sans pour autant aboutir à un accord et nous nous sommes séparés sur un différend. Nous nous sommes ensuite fixé rendez- vous au domicile du président du Comité d’Etat, Ali Kafi, à Palm- Beach.” Il ne s’arrête pas là ! “Il ment également lorsqu’il prétend que nous nous sommes rencontrés en tête à tête à la résidence Dar-El-Afia. Etait présent avec nous le président du Haut Comité d’Etat.” Et ce n’est pas fini ! Après les louanges faits à Nezzar dans son pamphlet sur le Net, le voilà qu’il l’accuse d’avoir “terni l’image de l’Algérie en parlant dans des tribunaux étrangers, français de surcroît”. Ici, Belaïd Abdesselam reproche à Nezzar le procès intenté, en février 2001, à Habib Souaïdia auteur de la “ Sale guerre” .
A suivre…
1. “Nezzar a perdu la tête, il est fou”, il est devenu sénile !”
2. Il reproche à Nezzar le procès intenté, en février 2001, à Souaïdia « “terni l’image de l’Algérie en parlant dans des tribunaux étrangers, français de surcroît”
Depuis 1979 aucune peronnalité, fût-elle de l'opposition, n'avait osé pareille insinuation : la mort de Boumediene est-elle suspecte ? Belaid Abdesselam vient de le faire. Trois simples phrases dans Djazaïr News : “La plus grosse erreur commise par Houari Boumediene est d’avoir laissé l’armée entre les mains de cet individu et celle d’”El Mokh” Touati. Et je crois qu’il s’en était rendu compte, mais c’était trop tard. Et aujourd’hui, il faut que l’on s’entende sur la mort de Boumediene”. L'allusion est claire : Boumediene a été poussé à la mort par les généraux. Le journal « Eldjazair News » avait rapporté de Belaid Abdesselam ses propos concernant la mort du président Houari Boumediene que ce dernier a qualifié de « suspecte », affirmant à El Khabar qu’il « croyait que la mort de Boumediene n’était pas naturelle ». Il a ajouté « pour moi sa mort reste ambiguë, et j’en ai fait part auparavant… ».Voilà une très grave accusation qui rouvre des plaies, une page de l'histoire du pays et surtout le débat polémique. A quel objectif répond cette soudaine et tardive attaque sur la mort de Boumediene de la part d'un des lieutenants les plus proches de l'ancien président ? Faut-il mettre cette accusation sur le dépit contre Nezzar qui s'était mêlé à la controverse Belaid-Nezzar ? Il est vrai que Belaid Abdesselam lance des accusations qu'on dirait incontrôlées contre son adversaire du jour. “Nezzar a perdu la tête, il est fou”, il est devenu sénile, il raconte des mensonges !” Et de continuer en donnant d'autres détails : “Il ment lorsqu’il prétend que nous nous sommes rencontrés deux jours de suite au domicile de Ali Kafi. La vérité est que nous nous sommes rencontrés le 18 juillet 1993 à la Présidence sans pour autant aboutir à un accord et nous nous sommes séparés sur un différend. Nous nous sommes ensuite fixé rendez- vous au domicile du président du Comité d’Etat, Ali Kafi, à Palm- Beach.” Il ne s’arrête pas là ! “Il ment également lorsqu’il prétend que nous nous sommes rencontrés en tête à tête à la résidence Dar-El-Afia. Etait présent avec nous le président du Haut Comité d’Etat.” Et ce n’est pas fini ! Après les louanges faits à Nezzar dans son pamphlet sur le Net, le voilà qu’il l’accuse d’avoir “terni l’image de l’Algérie en parlant dans des tribunaux étrangers, français de surcroît”. Ici, Belaïd Abdesselam reproche à Nezzar le procès intenté, en février 2001, à Habib Souaïdia auteur de la “ Sale guerre” .
A suivre…
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