Tweet
Virée dans certains marchés et épiceries d’Alger. Cédé chez les détaillants, il y a seulement quelques jours, entre 435 et 455 DA, le bidon d’huile frôle les 520 DA.
En plus de cet aliment vital pour la cuisine, plusieurs autres produits de première nécessité ont connu des hausses substantielles. La semoule n’a pas échappé à cette hausse. Le sac de 25 kg est passé de 720 DA à 950 DA, voire plus dans certains endroits. Cette envolée des prix concerne également les produits laitiers. Le pot de yaourt vendu il y a quelques jours à 10 DA a atteint 12 DA. Ce produit est livré actuellement par les grossistes à 9,90 DA la pièce. Le lait, une denrée également très prisée, connaît une augmentation. C’est le cas de la variété Candia qui est passée de 60 DA à 75 DA. Mais aussi du lait en poudre qui a pris entre 5 et 10 DA de plus en fonction de ses variétés. Et ce n’est pas fini ! « La tendance risque de se généraliser pour d’autres produits dans les prochains jours », nous dit un commerçant de Belcourt qui cite l’exemple du beurre et de la margarine qui risquent de connaître le même sort que les autres produits. Ce gérant d’une épicerie raconte qu’il était hier matin la cible d’une vieille qui l’a traité de « voleur » quand celle-ci a su que le pot de yaourt est passé de 10 à 12 DA.
El Watan
En plus de cet aliment vital pour la cuisine, plusieurs autres produits de première nécessité ont connu des hausses substantielles. La semoule n’a pas échappé à cette hausse. Le sac de 25 kg est passé de 720 DA à 950 DA, voire plus dans certains endroits. Cette envolée des prix concerne également les produits laitiers. Le pot de yaourt vendu il y a quelques jours à 10 DA a atteint 12 DA. Ce produit est livré actuellement par les grossistes à 9,90 DA la pièce. Le lait, une denrée également très prisée, connaît une augmentation. C’est le cas de la variété Candia qui est passée de 60 DA à 75 DA. Mais aussi du lait en poudre qui a pris entre 5 et 10 DA de plus en fonction de ses variétés. Et ce n’est pas fini ! « La tendance risque de se généraliser pour d’autres produits dans les prochains jours », nous dit un commerçant de Belcourt qui cite l’exemple du beurre et de la margarine qui risquent de connaître le même sort que les autres produits. Ce gérant d’une épicerie raconte qu’il était hier matin la cible d’une vieille qui l’a traité de « voleur » quand celle-ci a su que le pot de yaourt est passé de 10 à 12 DA.
El Watan
Commentaire