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Honneur aux paysages d’Algérie
Cette manifestation est organisée dans le cadre de l’événement «Alger, capitale de la culture arabe 2007» et met en exergue la richesse et la beauté du patrimoine algérien. C’est ainsi que l’artiste a évoqué dans ses tableaux, conçus selon la technique de la peinture acrylique sur toile, la casbah d’Alger, l’Amirauté, les paysages des différentes régions du pays dont ceux de la Kabylie et du Sud, sans oublier les ksour dont l’architecture unique au monde témoigne du haut degré de savoir-faire de nos ancêtres.
Lakhdar Khalfaoui, peintre autodidacte qui a opté pour l’expressionnisme «afin de donner plus de mouvement» à ses toiles, a aussi abordé la thématique du patrimoine immatériel dont le costume, la fantasia, la danse targuie, le haïk dont se drapaient majestueusement les femmes d’antan ainsi que le cérémonial des fêtes traditionnelles.
«L’Algérie regorge de richesses culturelles qui sont ma source d’inspiration», a confié l’artiste qui se dit être, chaque jour, «émerveillé par la beauté des paysages et surtout la lumière». «La lumière d’Algérie est unique. Elle a inspiré tant et tant de peintres occidentaux qui ont découvert chez nous la couleur», a indiqué le plasticien qui, malgré sa maîtrise de toutes les techniques et de tous les styles, «continue de se chercher, et ce toujours dans l’expressionnisme, afin d’avoir une peinture personnelle».
Lakhdar Khalfaoui est né le 11 novembre 1955 à El-Hammadia, Bordj Bou Arréridj. Il consacra sa vie entièrement à l’art pictural. Il eut plusieurs distinctions dont un prix du mérite à la 7e Biennale internationale du Koweït en 1981, un prix national du 20e anniversaire de l’indépendance, comme il a été honoré par le président de la République en 1987.
Il a aussi à son actif plusieurs expositions individuelles : à la galerie Mohamed-Racim en 1980, dans le hall de l’ENTV (ex-RTA), ainsi que des expositions collectives à Tripoli et en Russie (ex-URSS) en 1982, à la Biennale internationale d’Alexandrie (Egypte) en 1985, à la 1re Biennale internationale d’Alger en 1987, en France avec une exposition intitulée «Confluences» en 2003, à Budapest en 2003 aussi et à Besançon (France) en 2004.
par R.C, Le jeune Indépendant, le 07-08-07.
Cette manifestation est organisée dans le cadre de l’événement «Alger, capitale de la culture arabe 2007» et met en exergue la richesse et la beauté du patrimoine algérien. C’est ainsi que l’artiste a évoqué dans ses tableaux, conçus selon la technique de la peinture acrylique sur toile, la casbah d’Alger, l’Amirauté, les paysages des différentes régions du pays dont ceux de la Kabylie et du Sud, sans oublier les ksour dont l’architecture unique au monde témoigne du haut degré de savoir-faire de nos ancêtres.
Lakhdar Khalfaoui, peintre autodidacte qui a opté pour l’expressionnisme «afin de donner plus de mouvement» à ses toiles, a aussi abordé la thématique du patrimoine immatériel dont le costume, la fantasia, la danse targuie, le haïk dont se drapaient majestueusement les femmes d’antan ainsi que le cérémonial des fêtes traditionnelles.
«L’Algérie regorge de richesses culturelles qui sont ma source d’inspiration», a confié l’artiste qui se dit être, chaque jour, «émerveillé par la beauté des paysages et surtout la lumière». «La lumière d’Algérie est unique. Elle a inspiré tant et tant de peintres occidentaux qui ont découvert chez nous la couleur», a indiqué le plasticien qui, malgré sa maîtrise de toutes les techniques et de tous les styles, «continue de se chercher, et ce toujours dans l’expressionnisme, afin d’avoir une peinture personnelle».
Lakhdar Khalfaoui est né le 11 novembre 1955 à El-Hammadia, Bordj Bou Arréridj. Il consacra sa vie entièrement à l’art pictural. Il eut plusieurs distinctions dont un prix du mérite à la 7e Biennale internationale du Koweït en 1981, un prix national du 20e anniversaire de l’indépendance, comme il a été honoré par le président de la République en 1987.
Il a aussi à son actif plusieurs expositions individuelles : à la galerie Mohamed-Racim en 1980, dans le hall de l’ENTV (ex-RTA), ainsi que des expositions collectives à Tripoli et en Russie (ex-URSS) en 1982, à la Biennale internationale d’Alexandrie (Egypte) en 1985, à la 1re Biennale internationale d’Alger en 1987, en France avec une exposition intitulée «Confluences» en 2003, à Budapest en 2003 aussi et à Besançon (France) en 2004.
par R.C, Le jeune Indépendant, le 07-08-07.