Le président du Conseil national de la déontologie médicale, Dr Bekat Berkani Mohamed a dénoncé « l’emprisonnement des médecins à cause de fautes professionnelles peu importe leur type », leur nombre a atteint les 50 poursuivis en justice à travers le territoire national et 10 autres qui ont purgé leur peine ou qui se trouvent en prison.
Il a attribué cette situation que vit la pratique médicale à la Justice qui se contente selon lui du rapport de l’expert judiciaire en cas d’erreur professionnelle au lieu de consulter l’organisme du conseil de déontologie médicale.
Le Dr Bekat a parlé à El Khabar des recommandations de la neuvième rencontre sur la déontologie médicale abritée récemment par la wilaya de Constantine, durant laquelle le rôle du conseil médicale dans le diagnostic de l’erreur médicale et la manière d’aider le juge à adapter le jugement, affirmant que les lois actuelles ne préservent pas les droits des médecins lors de l’accomplissement de leur mission autant qu’elles travaille à l’incriminer sans avoir recours à l’avis du conseil pour analyser l’erreur et la classer et sans prendre en considération les conditions de travail qui autorisent un travail complet ».
La même source a ajouté que 60% des médecins en Algérie sont des femmes et un nombre d’entre elles est poursuivi en Justice, parfois certains ont été condamnés « injustement ».
Par El Khabar
Il a attribué cette situation que vit la pratique médicale à la Justice qui se contente selon lui du rapport de l’expert judiciaire en cas d’erreur professionnelle au lieu de consulter l’organisme du conseil de déontologie médicale.
Le Dr Bekat a parlé à El Khabar des recommandations de la neuvième rencontre sur la déontologie médicale abritée récemment par la wilaya de Constantine, durant laquelle le rôle du conseil médicale dans le diagnostic de l’erreur médicale et la manière d’aider le juge à adapter le jugement, affirmant que les lois actuelles ne préservent pas les droits des médecins lors de l’accomplissement de leur mission autant qu’elles travaille à l’incriminer sans avoir recours à l’avis du conseil pour analyser l’erreur et la classer et sans prendre en considération les conditions de travail qui autorisent un travail complet ».
La même source a ajouté que 60% des médecins en Algérie sont des femmes et un nombre d’entre elles est poursuivi en Justice, parfois certains ont été condamnés « injustement ».
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