L'avenir du secteur minier en Algérie s'annonce radieux, selon l'analyse d'Oxford Business Group.
D'après le dernier rapport de ce groupe d'affaires publié cette semaine sous le titre «Un avenir en or», l'Algérie est sur le point de lancer une mini-révolution minière notamment dans le secteur aurifère grâce aux lois régissant l'activité et l'exploitation minières.
«La plupart des sites proposés disposent d'un important réservoir aurifère ou de minerai de cuivre», relève le groupe d'affaires concernant les résultats d'offres d'attribution de marchés de prospection concernant neuf sites miniers. «Les résultats des offres confirment cette tendance», précise encore Oxford Business dans son rapport. Et de noter que l'industrie minière algérienne, en particulier le secteur aurifère, a fait son chemin avec l'adoption d'une nouvelle réglementation. «La nouvelle loi assure le même traitement à tous les investisseurs, autorise la séparation entre la propriété du sol et la propriété du sous-sol, consacre le droit de recours à l'arbitrage international en cas de différends et prévoit des mesures incitatives aux investisseurs qui importent l'équipement nécessaire à la bonne conduite des opérations», note le groupe d'affaires à ce sujet. A cet effet, rappelons que les nouvelles législations ont vu le jour en 2001 dans le cadre de la libéralisation de l'économie à la fin des années 1990. Ce changement a permis aux entreprises étrangères et privées d'investir dans le secteur minier, un secteur qui regorge de richesses.
D'ailleurs, le groupe, citant des spécialistes en la matière, estime que les réserves d'or algériennes non découvertes seraient «très importantes» Et ce, en dépit de la difficulté de les évaluer en raison de «l'insuffisance des activités d'exploitation et d'études de sol». Les études menées dans les années 1980 suggéraient des réserves de l'ordre de 2,8 millions d'onces.
Selon Doug Perkins, P-DG de Gold Mines of Algeria (GMA), des études plus récentes démontraient en effet que ce chiffre pourrait avoir doublé, avec un potentiel minier estimé aux alentours de 5 millions d'onces.
La tribune
D'après le dernier rapport de ce groupe d'affaires publié cette semaine sous le titre «Un avenir en or», l'Algérie est sur le point de lancer une mini-révolution minière notamment dans le secteur aurifère grâce aux lois régissant l'activité et l'exploitation minières.
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«Ce n'est peut-être pas la ruée vers l'or du milieu du 19e siècle en Amérique du Nord, mais l'Algérie entend bien lancer une mini-révolution minière en s'ouvrant aux activités de prospection et d'exploitation», écrit Oxford Business. Un groupe qui avait élaboré un rapport sur l'Algérie «Emerging Algeria» en 2006 après l'ouverture de son bureau d'Alger.«La plupart des sites proposés disposent d'un important réservoir aurifère ou de minerai de cuivre», relève le groupe d'affaires concernant les résultats d'offres d'attribution de marchés de prospection concernant neuf sites miniers. «Les résultats des offres confirment cette tendance», précise encore Oxford Business dans son rapport. Et de noter que l'industrie minière algérienne, en particulier le secteur aurifère, a fait son chemin avec l'adoption d'une nouvelle réglementation. «La nouvelle loi assure le même traitement à tous les investisseurs, autorise la séparation entre la propriété du sol et la propriété du sous-sol, consacre le droit de recours à l'arbitrage international en cas de différends et prévoit des mesures incitatives aux investisseurs qui importent l'équipement nécessaire à la bonne conduite des opérations», note le groupe d'affaires à ce sujet. A cet effet, rappelons que les nouvelles législations ont vu le jour en 2001 dans le cadre de la libéralisation de l'économie à la fin des années 1990. Ce changement a permis aux entreprises étrangères et privées d'investir dans le secteur minier, un secteur qui regorge de richesses.
D'ailleurs, le groupe, citant des spécialistes en la matière, estime que les réserves d'or algériennes non découvertes seraient «très importantes» Et ce, en dépit de la difficulté de les évaluer en raison de «l'insuffisance des activités d'exploitation et d'études de sol». Les études menées dans les années 1980 suggéraient des réserves de l'ordre de 2,8 millions d'onces.
Selon Doug Perkins, P-DG de Gold Mines of Algeria (GMA), des études plus récentes démontraient en effet que ce chiffre pourrait avoir doublé, avec un potentiel minier estimé aux alentours de 5 millions d'onces.
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