Il est temps voire nécessaire de prendre en charge la vie de l’enfant dans la société kabyle dite moderne avec l’adoption des méthodes nouvelles [crèche, préscolaire, école privée] l’enfant perd tous ses repères. J’essayerais d’exposer dans cette modeste contribution quelques propositions susceptibles de corriger un peu le tir.
La prise en charge de l’enfant au niveau du village doit être plus rigoureuse, les pouvoir publics après la société ont des responsabilités, j’ai parcouru les programmes d’action des comités des villages aucun d’eux ne comporte un programme destiné aux enfants la première action à entreprendre est d’obliger les comites à inscrire des programmes destinés aux enfants dans leurs programme d’action respectifs. [La plus grande population qui occupe les villages durant toute la journée est celle des enfants], dans la foulée une coordination des délégués a l’enfance communale sera constituée .
Cette coordination renforcée par des psychologues, sociologues éducateurs spécialisés sera chargée d’élabores un programme spécifique qui prendra en charge tous les domaines qui touchent l’enfants. Même les politiciens devrons présenter un programme pour cette frange.
Les crèches, écoles privées, école publique doivent composer avec cette coordination qui aura le droit de regard sur les programme, activités et sera chargée d’élaborer des programmes extra scolaires.
Cette coordination renforce par des outils juridiques sera chargée de la protection de l’enfance tous les cas seront recensés et répertories dans un fichier local [communale].
La pratique des sports et des activités culturelles seront obligatoires, les emploi du temps seront élaborés par ladite coordination qui est au préalable informée sur les moyens dont dispose chaque village et commune.
L’utilisation des infrastructures existantes doit être rationnelle [comment expliquer la fermeture des écoles primaires durant la période estivale sans penser à les rentabiliser par des actions destinées et conçus exclusivement par et pour les enfants]. Le financement des actions de cette coordination se fera en dehors des subventions, aide et toute autre forme par le versement direct des allocations aux fonds de ces coordinations.
L’idée est former orienter vers un sens d’éducation propre a notre société former une génération capable de s’accepter dans sa différence et sa diversité.
L’immigration, la fuite des cerveaux et toute autres formes de détachement sociale et le résultat d’un vide créé et nourri par un de cette frange qui est sensée bénéficier de tous les privilèges
Je pense qu’il faut lancer un grand débat sur ce sujets les projets peuvent attendre, investissant dans l’enfants le fruit ne peut être que meilleur. Une simple promenade dans nos rues et village nous renseignera sur les cours extra scolaires que reçoit l’enfant et de plus il les assimile plus rapidement que ce qu’il reçoits à l’école.
Les enfants ont perdu confiance en l’école, les parents ont perdu les repères d’éducations, les enfants se mêlent des problèmes des adultes, la société doit offrir une autre alternative aux enfants.
Notre société une société d’adulte où l’enfant n’a pas sa place alors il devient adultent trop tôt pour retrouver sa place, les parents adopte une attitude passive à savoir laisser le soin à la société et à la nature de former leurs enfants.
Dans la société traditionnelle kabyle il y avait des activités propres à l’enfant : être berger après l’école et un tas de jeux de société créer par l’enfant, la djemaa était réserve aux adultes même si en s’ y rendait très jeune on doit se comporter comme un adulte [ et de plus en ne fait qu’écouter les conversations des adultes sans intervenir], l’enfant était sous la responsabilité de tous les adultes sans exception il est rappeler à l’ordre par le premier adulte présent, les parents cautionnent ce mode d’éducation adopte par tout le village et par ricoche par toute la société kabyle.
Une société moderne se construit, se planifie, de grâce ne laissant pas ces enfants à un sort incertain ; la mère et le père travaillent, les enfants sont laissés à leur propre sort différent prenons-les en charge.
Par Zakia Negaâ , La Dépêche de Kabylie
La prise en charge de l’enfant au niveau du village doit être plus rigoureuse, les pouvoir publics après la société ont des responsabilités, j’ai parcouru les programmes d’action des comités des villages aucun d’eux ne comporte un programme destiné aux enfants la première action à entreprendre est d’obliger les comites à inscrire des programmes destinés aux enfants dans leurs programme d’action respectifs. [La plus grande population qui occupe les villages durant toute la journée est celle des enfants], dans la foulée une coordination des délégués a l’enfance communale sera constituée .
Cette coordination renforcée par des psychologues, sociologues éducateurs spécialisés sera chargée d’élabores un programme spécifique qui prendra en charge tous les domaines qui touchent l’enfants. Même les politiciens devrons présenter un programme pour cette frange.
Les crèches, écoles privées, école publique doivent composer avec cette coordination qui aura le droit de regard sur les programme, activités et sera chargée d’élaborer des programmes extra scolaires.
Cette coordination renforce par des outils juridiques sera chargée de la protection de l’enfance tous les cas seront recensés et répertories dans un fichier local [communale].
La pratique des sports et des activités culturelles seront obligatoires, les emploi du temps seront élaborés par ladite coordination qui est au préalable informée sur les moyens dont dispose chaque village et commune.
L’utilisation des infrastructures existantes doit être rationnelle [comment expliquer la fermeture des écoles primaires durant la période estivale sans penser à les rentabiliser par des actions destinées et conçus exclusivement par et pour les enfants]. Le financement des actions de cette coordination se fera en dehors des subventions, aide et toute autre forme par le versement direct des allocations aux fonds de ces coordinations.
L’idée est former orienter vers un sens d’éducation propre a notre société former une génération capable de s’accepter dans sa différence et sa diversité.
L’immigration, la fuite des cerveaux et toute autres formes de détachement sociale et le résultat d’un vide créé et nourri par un de cette frange qui est sensée bénéficier de tous les privilèges
Je pense qu’il faut lancer un grand débat sur ce sujets les projets peuvent attendre, investissant dans l’enfants le fruit ne peut être que meilleur. Une simple promenade dans nos rues et village nous renseignera sur les cours extra scolaires que reçoit l’enfant et de plus il les assimile plus rapidement que ce qu’il reçoits à l’école.
Les enfants ont perdu confiance en l’école, les parents ont perdu les repères d’éducations, les enfants se mêlent des problèmes des adultes, la société doit offrir une autre alternative aux enfants.
Notre société une société d’adulte où l’enfant n’a pas sa place alors il devient adultent trop tôt pour retrouver sa place, les parents adopte une attitude passive à savoir laisser le soin à la société et à la nature de former leurs enfants.
Dans la société traditionnelle kabyle il y avait des activités propres à l’enfant : être berger après l’école et un tas de jeux de société créer par l’enfant, la djemaa était réserve aux adultes même si en s’ y rendait très jeune on doit se comporter comme un adulte [ et de plus en ne fait qu’écouter les conversations des adultes sans intervenir], l’enfant était sous la responsabilité de tous les adultes sans exception il est rappeler à l’ordre par le premier adulte présent, les parents cautionnent ce mode d’éducation adopte par tout le village et par ricoche par toute la société kabyle.
Une société moderne se construit, se planifie, de grâce ne laissant pas ces enfants à un sort incertain ; la mère et le père travaillent, les enfants sont laissés à leur propre sort différent prenons-les en charge.
Par Zakia Negaâ , La Dépêche de Kabylie
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