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Enfant d'été

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  • Enfant d'été

    Enfant d'été



    Une plage,
    Un Enfant,
    Un visage
    Souriant

    Et il joue
    Indifférence
    Superbe
    A tout ce qui l'entoure

    Muet, attentif
    Seulement
    A son monde
    Intérieur,
    Suspendu
    Hors du Temps...





    Un Enfant,
    Une plage,
    Un rivage,
    Sable blanc

    Et le sable s'écoule,
    Ruisselant
    Dans les doigts
    De l'Enfant

    Qui sourit
    Imperceptiblement
    Au sablier
    Doré
    De sa Vie...





    Une plage,
    Un Enfant,
    Un rivage dormant

    Et la mer
    Qui se laisse
    Un moment
    Taquiner
    Tendrement,

    Se faisant
    Pour un temps,
    Mais pour un temps
    Seulement
    Douce,
    Aimante,
    Attentive

    A l'Enfant.




    © Tazerwalt

  • #2
    Merci Tazerwalt pour ce moment de tendresse et d'innocence.
    Très beau poème.

    Nostalgie quand tu me tiens ..

    Commentaire


    • #3
      Penser aux enfants, a leur innocence, insouciance, leurs douceur d'enfance...nous fait oublier momentanément la dureté de cette vie, et nous plongeons comme eux dans ce monde de paix éternel.

      Des souvenirs…., nous étions tous enfants et nous gardons en nous ce cote fragil, rêveur et tout simplement enfantin libre de toute contrainte.


      c'est un bel hommage a l’innocence…merci
      Bonne journee,

      Commentaire


      • #4
        magnifique TAZERWALT! c'est rés beau
        “If you think education is expensive, try ignorance”
        Derek Bok

        Commentaire


        • #5
          Nous gardons en nous la nostalgie de l'enfance,
          du moins quand elle a été heureuse... Et l'innocence
          est une chose fragile, qu'il nous faut préserver et protéger.

          Merci, Stan, Thirga et Diadème... de vos mots à vous.
          Et belle soirée, peut être sur une plage, avec un enfant
          auprès de vous... Qui sait ?


          Tazerwalt

          Commentaire


          • #6
            Bonsoir Diadème, Thirga, Stan, Tazerwalt ,

            Merci Tazerwalt pour ce doux voyage. J'ai bien aimé ton poème. Un peu trop même car le temps a suspendu son envol ne reste que l'enfant, le sable fin, l'odeur de la mer et le ressac des vagues.

            Belle et douce soirée

            Commentaire


            • #7
              Bonsoir à tous!

              Tazerwelt, ton poéme est superbe, j'aime beaucoup la tournure! De plus, il est trés joli.
              merci

              bisous à tous, bonne soirée

              Commentaire


              • #8
                Tazerwalt;

                Tu as su donner vie à cet enfant et à la mer qui le baigne grâce à ta façon incomparable de choisir et d'ordonner les mots et les images.

                Merci de revenir de temps en temps pour nous gratifier de ces parcelles de bonheur.

                Commentaire


                • #9
                  Merci à toi de ces mots également...
                  Je viens juste de m'apercevoir que je ne t'avais pas remercié de ta visite.

                  L'enfant est un monde à lui tout seul, mais nous gardons, quelque soit notre âge, et souvent profondément caché en nous, l'enfant que nous avons été.
                  Le faire ressurgir en notre coeur permet souvent de s'ouvrir un peu plus à la vie.
                  C'est par l'enfance que peut nous être redonnée une certaine pureté, du moins je le crois.

                  Mes amitiés à toi, en tout cas.

                  Tazerwalt

                  Commentaire


                  • #10
                    Très bel hommage à l'enfance. Et comme toujours, c'est un pur plaisir que de te lire, dear Tazerwalt. Merci de l'avoir partagé avec nous.

                    Commentaire


                    • #11
                      Merci à toi, Nassim

                      Je te suppose bien occupé, alors merci de ta visite,
                      elle me fait plaisir. Amitiés,

                      Tazerwalt

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                      • #12
                        c'est comme si on y était!
                        Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

                        Dionysios Solomos

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                        • #13
                          L’amour d’une mère pour son fils. Je trouve le poème formidable.
                          Rien Ne peut faire taire les racines de l’honneur quand t-ils sont trompés dans la source de la liberté.
                          J. Amrouche.

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                          • #14
                            Merci à toi également, Akessil.
                            C'est un poème tout en douceur...
                            Comme ont pu l'être les vagues pour l'enfant...

                            Amicalement,

                            Tazerwalt

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                            • #15
                              Que de talent.
                              Bien que tes poèmes soient beaux, doux et presque candides, à te lire, il y a dans tes poèmes des vagues de tristesse en filigrane et dont je ne parviens pas à cerner le pourquoi ni l'origine.
                              T'es bien douée, on passe par toutes les gammes d'émotions quand on se laisse pénétrer par tes poèmes.
                              Gracias.
                              Dernière modification par Bachi, 14 juin 2005, 23h09.

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