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Quelque 16.000 soldats irakiens et américains ont lancé une vaste opération contre des insurgés sunnites et chiites qui ont fui une précédente opération à Bakouba, au nord-est de Bagdad, a annoncé l'armée américaine mardi.
L'opération "Lightning hammer" ("marteau foudroyant") a été lancée lundi soir par une attaque aérienne sur Diyala, au nord de Bagdad. Elle s'inscrit dans l'offensive plus vaste qui entend toucher les milices sunnites liées à Al-Qaïda et les combattants chiites proches de l'Iran à Bagdad et dans les environs.
Le général Benjamin Nixon, qui dirige les troupes américaines dans le nord de l'Irak, a expliqué que ses hommes poursuivaient notamment des cellules d'Al-Qaïda qui avaient dû fuir ou se cacher en raison de précédentes attaques.
"Notre objectif principal avec 'Lightning hammer' est d'éliminer des organisations terroristes (...) et de leur montrer qu'ils ne sont en sécurité nulle part, en particulier pas à Diyala", a-t-il affirmé dans un communiqué.
L'armée n'a pas expliqué à quels résultats elle était parvenue par à cette opération, toujours en cours. Le porte-parole Michael Donnelly a précisé que cette nouvelle attaque ne s'accompagnerait d'aucune interruption des opérations contre Bakouba, où chiites et sunnites sont engagés dans de violents combats.
L'armée américaine affirme avoir fait des progrès dans la ville, mais a aussi dû reconnaître que des combattants avaient fui dans des zones plus éloignées de la ville. Les attaques dans ces zones se sont multipliées.
Par ailleurs, des responsables locaux ont annoncé que quatre civils, dont une fillette de trois ans, ont été tuées mardi au cours d'une opération commune des armées irakienne et américaine à Sadr City, un quartier chiite de Bagdad. L'armée américaine a rapporté la mort de quatre activistes armés après une intense fusillade, mais affirmait n'avoir pas connaissance de la mort de civils.
Par AP
L'opération "Lightning hammer" ("marteau foudroyant") a été lancée lundi soir par une attaque aérienne sur Diyala, au nord de Bagdad. Elle s'inscrit dans l'offensive plus vaste qui entend toucher les milices sunnites liées à Al-Qaïda et les combattants chiites proches de l'Iran à Bagdad et dans les environs.
Le général Benjamin Nixon, qui dirige les troupes américaines dans le nord de l'Irak, a expliqué que ses hommes poursuivaient notamment des cellules d'Al-Qaïda qui avaient dû fuir ou se cacher en raison de précédentes attaques.
"Notre objectif principal avec 'Lightning hammer' est d'éliminer des organisations terroristes (...) et de leur montrer qu'ils ne sont en sécurité nulle part, en particulier pas à Diyala", a-t-il affirmé dans un communiqué.
L'armée n'a pas expliqué à quels résultats elle était parvenue par à cette opération, toujours en cours. Le porte-parole Michael Donnelly a précisé que cette nouvelle attaque ne s'accompagnerait d'aucune interruption des opérations contre Bakouba, où chiites et sunnites sont engagés dans de violents combats.
L'armée américaine affirme avoir fait des progrès dans la ville, mais a aussi dû reconnaître que des combattants avaient fui dans des zones plus éloignées de la ville. Les attaques dans ces zones se sont multipliées.
Par ailleurs, des responsables locaux ont annoncé que quatre civils, dont une fillette de trois ans, ont été tuées mardi au cours d'une opération commune des armées irakienne et américaine à Sadr City, un quartier chiite de Bagdad. L'armée américaine a rapporté la mort de quatre activistes armés après une intense fusillade, mais affirmait n'avoir pas connaissance de la mort de civils.
Par AP