Je vous invites a lire cet article, et d´apprécier la théorie du complot étaler en toute pièce par ce journaliste... appréciez surtout l´argumentation de l´article qui est digne d´un "Protocoles des sages de Sion" :-)
Certain journaux en Algérie en mal d´inspiration se fondent dans la science fiction, la theorie du complot, la manipulation et un anti-marocanisme primaire... à vrais-dire "Abdelkamel Science-fiction" à pas mal d´adeptes en Algérie!
Je n´ai aucun autre commentaire à faire a ce journaliste a part le suivant: s´il pensait vraiment a ce qu´il ecrivait, alors il aurait oublié que tout les marocains sont des "ultras" Sahara marocain, mais en Algérie la classe politique et les généraux compte malheuresement beaucoup d´"ultras" anti-Maroc. Simplement !
Quand on pense que la presse est le 4 eme pouvoir dans une démocratie et qui est de facto un faiseur d´opinion, et je lis ce genre d´articles, je constate que le grand Maghreb unis est encore un rêve lointain.
:-)
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SAHARA OCCIDENTAL ET SÉCURITÉ AU MAGHREB
Les «gros» intérêts manipulent le terrorisme
15 Août 2007
Les ultras d’un Sahara marocain ont toujours fait capoter toute tentative de coordination entre Alger et Rabat dans la lutte contre le terrorisme.
L’Algérie fait-elle face à un complot visant à la déstabilisation au moment où les Algériens s’apprêtent à vivre une rentrée sociale annoncée «chaude»? La question mérite d’être posée, car si la situation ne donne aucun signe d’effervescence, le calme ambiant est très précaire. Sur le plan social, l’atmosphère est lourde et les pouvoirs publics ne font pas montre de perspicacité. Un contexte lourd sur tous les plans, où vient se greffer le défi sécuritaire.
Durant ces derniers mois, l’Algérie a été secouée par des attentats meurtriers. Mais les opérations en guise de ripostes, déclenchées par les forces de l’Armée nationale populaire, n’ont pas tardé à décimer partiellement le Gspc, auteur des carnages.
Pour de nombreux observateurs, qui ont eu à s’exprimer à travers les colonnes de la presse ou les chaînes satellitaires, «Seif El Hadjadj» va enfin décapiter le terrorisme appelé «résiduel». C’est ce contexte qu’ont choisi les commanditaires des groupes armés dans le but de revoir leur stratégie criminelle. Les infiltrations de terroristes du côté des frontières de l’Ouest sont fréquemment signalées.
Les réseaux de recrutement, théoriquement destinés à envoyer des combattants en Irak, s’éveillent et recommencent à activer malgré les coups de boutoir des services de sécurité. Inquiétante recrudescence des réseaux de soutien qui utilisent la filière irakienne pour renforcer un Gspc très mal en point. Elle coïncide avec une phase historique pour le peuple sahraoui qui lutte pour son indépendance. Elle coïncide aussi avec la montée au créneau des cercles influents au Maroc et en Europe. Ces derniers, que l’indépendance réclamée par le Polisario n’arrange pas, tentent de maintenir le statu quo pour préserver leurs immenses privilèges. Selon ces cercles, il est urgent de «brouiller» la voix algérienne. Les «durs» du Makhzen, qui contrôlent des pans entiers du trafic de drogue et d’armes au Maroc, s’agitent de plus en plus fort. Tout est mobilisé pour nuire à l’Algérie et porter un coup à sa stabilité. Faux barrages, provocations frontalières, mais qui ne sont en fait que des diversions, tentatives de manipulation d’une partie de la presse internationale, ne sont que la partie visible de l’iceberg. De tout temps, des officiels marocains ont appelé à une coopération avec l’Algérie pour lutter contre le terrorisme.
Cependant, les ultras d’un Sahara marocain, malgré la volonté de son peuple, ont toujours fait capoter toute tentative de coordination entre les deux pays. Il y a eu, cependant, des moments où les services de sécurité des deux pays ont réussi à travailler ensemble. Et cela a beaucoup gêné les va-t-en-guerre.
Au fond, ni la stabilité du Maroc, ni celle de l’Algérie ne les intéressent. Par contre, le Sahara occidental et les richesses minières que contient son sol, et ses côtes, voilà le véritable enjeu dans la perspective de conserver sous leur contrôle ces richesses. Quitte à utiliser le terrorisme et à mettre à feu et à sang les deux pays.
Ikram GHIOUA
Certain journaux en Algérie en mal d´inspiration se fondent dans la science fiction, la theorie du complot, la manipulation et un anti-marocanisme primaire... à vrais-dire "Abdelkamel Science-fiction" à pas mal d´adeptes en Algérie!
Je n´ai aucun autre commentaire à faire a ce journaliste a part le suivant: s´il pensait vraiment a ce qu´il ecrivait, alors il aurait oublié que tout les marocains sont des "ultras" Sahara marocain, mais en Algérie la classe politique et les généraux compte malheuresement beaucoup d´"ultras" anti-Maroc. Simplement !
Quand on pense que la presse est le 4 eme pouvoir dans une démocratie et qui est de facto un faiseur d´opinion, et je lis ce genre d´articles, je constate que le grand Maghreb unis est encore un rêve lointain.
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SAHARA OCCIDENTAL ET SÉCURITÉ AU MAGHREB
Les «gros» intérêts manipulent le terrorisme
15 Août 2007
Les ultras d’un Sahara marocain ont toujours fait capoter toute tentative de coordination entre Alger et Rabat dans la lutte contre le terrorisme.
L’Algérie fait-elle face à un complot visant à la déstabilisation au moment où les Algériens s’apprêtent à vivre une rentrée sociale annoncée «chaude»? La question mérite d’être posée, car si la situation ne donne aucun signe d’effervescence, le calme ambiant est très précaire. Sur le plan social, l’atmosphère est lourde et les pouvoirs publics ne font pas montre de perspicacité. Un contexte lourd sur tous les plans, où vient se greffer le défi sécuritaire.
Durant ces derniers mois, l’Algérie a été secouée par des attentats meurtriers. Mais les opérations en guise de ripostes, déclenchées par les forces de l’Armée nationale populaire, n’ont pas tardé à décimer partiellement le Gspc, auteur des carnages.
Pour de nombreux observateurs, qui ont eu à s’exprimer à travers les colonnes de la presse ou les chaînes satellitaires, «Seif El Hadjadj» va enfin décapiter le terrorisme appelé «résiduel». C’est ce contexte qu’ont choisi les commanditaires des groupes armés dans le but de revoir leur stratégie criminelle. Les infiltrations de terroristes du côté des frontières de l’Ouest sont fréquemment signalées.
Les réseaux de recrutement, théoriquement destinés à envoyer des combattants en Irak, s’éveillent et recommencent à activer malgré les coups de boutoir des services de sécurité. Inquiétante recrudescence des réseaux de soutien qui utilisent la filière irakienne pour renforcer un Gspc très mal en point. Elle coïncide avec une phase historique pour le peuple sahraoui qui lutte pour son indépendance. Elle coïncide aussi avec la montée au créneau des cercles influents au Maroc et en Europe. Ces derniers, que l’indépendance réclamée par le Polisario n’arrange pas, tentent de maintenir le statu quo pour préserver leurs immenses privilèges. Selon ces cercles, il est urgent de «brouiller» la voix algérienne. Les «durs» du Makhzen, qui contrôlent des pans entiers du trafic de drogue et d’armes au Maroc, s’agitent de plus en plus fort. Tout est mobilisé pour nuire à l’Algérie et porter un coup à sa stabilité. Faux barrages, provocations frontalières, mais qui ne sont en fait que des diversions, tentatives de manipulation d’une partie de la presse internationale, ne sont que la partie visible de l’iceberg. De tout temps, des officiels marocains ont appelé à une coopération avec l’Algérie pour lutter contre le terrorisme.
Cependant, les ultras d’un Sahara marocain, malgré la volonté de son peuple, ont toujours fait capoter toute tentative de coordination entre les deux pays. Il y a eu, cependant, des moments où les services de sécurité des deux pays ont réussi à travailler ensemble. Et cela a beaucoup gêné les va-t-en-guerre.
Au fond, ni la stabilité du Maroc, ni celle de l’Algérie ne les intéressent. Par contre, le Sahara occidental et les richesses minières que contient son sol, et ses côtes, voilà le véritable enjeu dans la perspective de conserver sous leur contrôle ces richesses. Quitte à utiliser le terrorisme et à mettre à feu et à sang les deux pays.
Ikram GHIOUA
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