Noctambules,
Bulles de lucioles,
Folle est la nuit,
La nuit me poursuit.
Les lampadaires clignotent des yeux,
Et les lumières par-terre font le couvre-feu,
Le ciel se travestit de sa robe bleue,
Mettant aux joues des étoiles un peu de feu.
Les papillons insomniaques font les chauves-souris,
Accrochés aux empoules amoniaquées,
Les voitures fourmillent sur cette nuit arborée de fantaisies,
Fauchant les ombres qui se promènent,
Tels des fantômes en quête de bohème.
Les télé allumées par les gens épluchés,
Grésillent,
La nuit vexée qu'on la regarde plus,
Fait du zèle dans les rues.
Elle convie les lucioles,
et toutes les autres bestioles,
A festoyer avant que le jour ne décide de se lever.
La nuit ainsi s'efface, et le jour glorieux prend sa place,
le cargo de nuit quitte le bord de son lit,
Et attend, somnolent les douze coups de minuit.
Bulles de lucioles,
Folle est la nuit,
La nuit me poursuit.
Les lampadaires clignotent des yeux,
Et les lumières par-terre font le couvre-feu,
Le ciel se travestit de sa robe bleue,
Mettant aux joues des étoiles un peu de feu.
Les papillons insomniaques font les chauves-souris,
Accrochés aux empoules amoniaquées,
Les voitures fourmillent sur cette nuit arborée de fantaisies,
Fauchant les ombres qui se promènent,
Tels des fantômes en quête de bohème.
Les télé allumées par les gens épluchés,
Grésillent,
La nuit vexée qu'on la regarde plus,
Fait du zèle dans les rues.
Elle convie les lucioles,
et toutes les autres bestioles,
A festoyer avant que le jour ne décide de se lever.
La nuit ainsi s'efface, et le jour glorieux prend sa place,
le cargo de nuit quitte le bord de son lit,
Et attend, somnolent les douze coups de minuit.
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