Bonjour,
Face à la deferlante des satellites espions ces derniérres années, l'Algerie semble etre bien parti pour se rattraper son retard sur ce domaine.
Le satellite algerien Alsat-1 ; lancé le 28 novemebre 2004 de Baikounour reflete une volonté poltique de l'état algerien de securiser son territoire via l'espace.
Plusieurs institutions nationales (agriculture, aménagement du territoire et de l'environnement, ressources hydriques, énergie et mines…) utilisent les images fournies par Alsat-1, téléchargées à partir de la station au sol du Centre National des Techniques Spatiales à Arzew.
Pour allez un peu plus, et briser des tabous, je voudrais soulever certaines questions :
1- L'armée nationale utilise t-elle ce satellite ?
2- Quelle est sa resolution
3- Est-il securisé, je ne pense pas qu'il est gére par le centre d'arzew simplement, du moment que son constructeur MATRA et son lanceur russe sont étrangers.
4- A t-il éte utilisé pour la traquer les groupes armées ? et pour la lutte anti-teroriste en géneral ?
5- A t-il éte utilisé, pour "espionné" nos voisins, le Maroc ou bien la France ? en fait quel est sa plage d'action ?
6- Quels sont les satellites, qui sont gesotastionnaires par rapport à notre territoire ?
7- A-t-on accées aux images confidientiels et de hautes resolutions type SPOT-5, de notre territoires?
Le satellite algerien Alsat-1.
Bon samedi.
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Extrait du numéro 2593, du quotidien d'oran.
L’Algérie lancera à la fin 2004 et dans le courant du mois de mai 2005 deux nouveaux satellites, Alsat2 et Alsat3. Alsat2 sera aussi petit que le premier, Alsat1, et sera mis au bénéfice des secteurs de l’environnement et de l’aménagement du territoire et de l’agriculture.
Il sera spécialisé dans la cartographie. Le troisième satellite est destiné, quant à lui, à renforcer le secteur des télécommunications. Ces deux nouveaux satellites seront conçus totalement par des spécialistes algériens.
«Avec l’expérience acquise avec Alsat1, grâce au partenariat avec l’agence britannique de Surrey, le Centre national des techniques spatiales (Oran) s’estime en mesure de concevoir à 100% les nouveaux satellites et de réaliser une partie de leurs composants», a déclaré, hier, à Alger, à l’ouverture des journées d’étude sur le programme spatial national, M. Oussedik, directeur de l’Agence spatiale algérienne (ASAL) qui vient d’être créée. Le directeur de l’ASAL a indiqué, par ailleurs, qu’un avis d’appel d’offres est lancé pour une étude sur la réalisation d’une unité de production de micro-satellites. «Cela fait parti du programme qui intègre la formation, la conception, la réalisation et l’exploitation spatiale», a-t-il souligné.
Les résultats enregistrés depuis le lancement, le 28 novembre 2002, d’Alsat1 sont encourageants, en ce sens qu’ils permettent une exploitation très large des images fournies. En effet, les images prises par Alsat1, des différentes régions du pays, fournissent un matériau et des données fiables, précises et précieuses dont beaucoup d’institutions ont besoin pour mener leurs études. C’est le cas notamment des institutions chargées de l’élaboration des programmes de développement. Une raison qui a incité les décideurs à miser dans l’industrie spatiale. Par ailleurs, ASAL, en collaboration avec le CRAAG et le Centre national de cartographie, est chargée d’établir la carte sismique du pays. Interrogé sur le partenariat entre le centre de Surrey et l’ASAL, M. John Cooksley, chargé d’études au sein du centre de recherche britannique, a indiqué que le rôle des Britanniques se limite au transfert de technologie. «Les chercheurs algériens sont compétents en matière de conception, mais l’Angleterre dispose d’une industrie spatiale, c’est là où nous intervenons», a-t-il précisé. M. Oussedik a indiqué, pour sa part, que «cette collaboration va se réduire quand les Algériens auront une maîtrise suffisante de l’industrie spatiale».
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Face à la deferlante des satellites espions ces derniérres années, l'Algerie semble etre bien parti pour se rattraper son retard sur ce domaine.
Le satellite algerien Alsat-1 ; lancé le 28 novemebre 2004 de Baikounour reflete une volonté poltique de l'état algerien de securiser son territoire via l'espace.
Plusieurs institutions nationales (agriculture, aménagement du territoire et de l'environnement, ressources hydriques, énergie et mines…) utilisent les images fournies par Alsat-1, téléchargées à partir de la station au sol du Centre National des Techniques Spatiales à Arzew.
Pour allez un peu plus, et briser des tabous, je voudrais soulever certaines questions :
1- L'armée nationale utilise t-elle ce satellite ?
2- Quelle est sa resolution
3- Est-il securisé, je ne pense pas qu'il est gére par le centre d'arzew simplement, du moment que son constructeur MATRA et son lanceur russe sont étrangers.
4- A t-il éte utilisé pour la traquer les groupes armées ? et pour la lutte anti-teroriste en géneral ?
5- A t-il éte utilisé, pour "espionné" nos voisins, le Maroc ou bien la France ? en fait quel est sa plage d'action ?
6- Quels sont les satellites, qui sont gesotastionnaires par rapport à notre territoire ?
7- A-t-on accées aux images confidientiels et de hautes resolutions type SPOT-5, de notre territoires?
Le satellite algerien Alsat-1.
Bon samedi.
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Extrait du numéro 2593, du quotidien d'oran.
L’Algérie lancera à la fin 2004 et dans le courant du mois de mai 2005 deux nouveaux satellites, Alsat2 et Alsat3. Alsat2 sera aussi petit que le premier, Alsat1, et sera mis au bénéfice des secteurs de l’environnement et de l’aménagement du territoire et de l’agriculture.
Il sera spécialisé dans la cartographie. Le troisième satellite est destiné, quant à lui, à renforcer le secteur des télécommunications. Ces deux nouveaux satellites seront conçus totalement par des spécialistes algériens.
«Avec l’expérience acquise avec Alsat1, grâce au partenariat avec l’agence britannique de Surrey, le Centre national des techniques spatiales (Oran) s’estime en mesure de concevoir à 100% les nouveaux satellites et de réaliser une partie de leurs composants», a déclaré, hier, à Alger, à l’ouverture des journées d’étude sur le programme spatial national, M. Oussedik, directeur de l’Agence spatiale algérienne (ASAL) qui vient d’être créée. Le directeur de l’ASAL a indiqué, par ailleurs, qu’un avis d’appel d’offres est lancé pour une étude sur la réalisation d’une unité de production de micro-satellites. «Cela fait parti du programme qui intègre la formation, la conception, la réalisation et l’exploitation spatiale», a-t-il souligné.
Les résultats enregistrés depuis le lancement, le 28 novembre 2002, d’Alsat1 sont encourageants, en ce sens qu’ils permettent une exploitation très large des images fournies. En effet, les images prises par Alsat1, des différentes régions du pays, fournissent un matériau et des données fiables, précises et précieuses dont beaucoup d’institutions ont besoin pour mener leurs études. C’est le cas notamment des institutions chargées de l’élaboration des programmes de développement. Une raison qui a incité les décideurs à miser dans l’industrie spatiale. Par ailleurs, ASAL, en collaboration avec le CRAAG et le Centre national de cartographie, est chargée d’établir la carte sismique du pays. Interrogé sur le partenariat entre le centre de Surrey et l’ASAL, M. John Cooksley, chargé d’études au sein du centre de recherche britannique, a indiqué que le rôle des Britanniques se limite au transfert de technologie. «Les chercheurs algériens sont compétents en matière de conception, mais l’Angleterre dispose d’une industrie spatiale, c’est là où nous intervenons», a-t-il précisé. M. Oussedik a indiqué, pour sa part, que «cette collaboration va se réduire quand les Algériens auront une maîtrise suffisante de l’industrie spatiale».
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